mercredi 31 juillet 2013

Le pouvoir des asservis se résume à 30 secondes dans l'isoloir tous les 5 ans, en France, entre deux "présidentielles" :

Pour :
http://www.radio-silence.org/

Chroniques reprises ou citées aux liens principaux suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
- http://www.cncombattants.org
- http://www.francisrichard.net/
- http://www.echodufrioul.eu


CHRONIQUE ÉCONOMIQUE « FINANCES – VÉRITÉS »
N°108

MERCREDI 31 JUILLET 2013


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

     Le Président de « LA République », vient d'annoncer 100.000 formations afin de recoller celles des chômeurs à celles recherchées par « LES entreprises ». Dans le même temps, il supprime 550 millions € d'aides aux entreprises pour l'embauche d'apprentis et embauche 40.000 fonctionnaires de plus dans l'Éducation Nationale. Cela veut dire que les entreprises doivent être conditionnées à n'embaucher que des diplômés sortant de l'Enseignement professionnel géré par le ministère de tutelle de cette branche, que CHEVENEMENT, en son temps, à fait pousser à l'arbre de l'enseignement étatique. Il jugeait, avec MITTERRAND et MAUROIS, inadmissible que seules les entreprises monopolisent l'enseignement professionnel ! Donc, les entreprises doivent être handicapées par des Prélèvements Obligatoires (P.O.) qui ne doivent plus être partiellement compensés par des ristournes, autrefois établies pour compenser elles-mêmes, pourtant, les obligations légales imposées à l'apprentissage et coûteuses pour l'entreprise… ce qui pose le problème de la qualité des employables fournis par l'Etat ? A cette question la réponse vient de tomber dont on va voir ensuite tous les dégâts :

     Rapportée par l'Express d'abord, puis reprise par d'autres comme Planet.fr, la nouvelle a fait bondir et puis… a subitement disparu des écrans en 24 heures. Certaines Académies, les régions de l'Éducation « Nationale », ont laissé apparaître qu'elles avaient abaissé le seuil des notes aux épreuves d'admissibilité du concours de « Professeur des Écoles » à 4/20 à Créteil, 4,5/20 à Versailles, 5/20 à Paris ou encore 7/20 à Strasbourg, par exemple. Il s'agirait d'une solution « désespérée » faute de résultats suffisamment nombreux à 10/20 ! Les Rectorats refusent de répondre sur cette question…
Alors, je vais répondre à leur place : j'ai tout lieu d'observer depuis des décennies que la fameuse MOYENNE est devenue la barre visée par tous les enseignants, au point que les élèves des écoles, collèges et lycées, y compris dits « professionnels », ont fini par s'y accoutumer comme à une situation qu'ils ont été dressés à croire… normale. Or, c'est le 20/20 qu'il faut toujours viser. Si on vise le 20/20 on aura beaucoup plus de chances d'aboutir à un 15 de moyenne générale annuelle dans chaque matière… tout du moins pour ceux qui travaillent, et sont capables au niveau où ils sont admis. Par contre, si on se contente du 10/20, qui ne représente que la moitié du travail fait, rappelons-le, alors il y a toutes les chances, et c'est bien ce que l'on observe partout depuis 35 ans, que la moyenne générale baisse dans chaque matière, plus ou moins en-dessous, avec des écarts de résultats entre 3 et 9/20, de plus obtenus par surnotages… devenus systématiques dans les corrections des copies ! La moyenne générale, elle, toutes matières confondues, aux examens flirtant avec le 6 à 9/20, elle est remontée par décisions du ministère, annuellement, au fameux 10/20… Moyennant quoi, il y a donc… 80% de réussite au bac, dans toutes les séries spécialisées pour masquer le désastre. Ce diplôme est complètement dévalué. Quoi d'étonnant alors que la moyenne aux épreuves d'admissibilité des candidats « professeurs » voisine le 5/20 ? Eux, qui ne sont que le produit fini du système. Le Gouvernement veut des enseignants, requalifiés pompeusement « Professeurs », aussi nuls que possible, afin de dispenser l'enseignement pédant, tronqué, tendancieux, primaire, conforme aux buts du conditionnement général de la population à l'obéissance absolue aux dogmes de la Franc-maçonnerie et de sa « ripouxblique ». Des élèves devenus adultes, littéralement programmés pour se satisfaire de toutes les contrevérités, non-sens, contresens, absurdités, assénés par les « médias » quotidiennement toute leur vie ! Et bien sûr, dressés durant plus de vingt ans à croire qu'il leur suffira de produire la moitié du travail pour être en DROIT d'exiger toute la paye…  

Quoi de plus normal, dès lors, que le gouvernement imposé grâce à la réécriture de l'Histoire depuis 1789 au profit de l'idéologie révolutionnaire sectaire qui est tout sauf « républicaine », manie l' « éducation nationale », qualificatif fasciste s'il en est, avec comme outils ses enseignements dévalués, pour placer toute la population, rendue inconsciente et naïve :

« SOUS LA TUTELLE du NÉANT !… »


1) Dans l' ACTUALITE ÉCONOMIQUE GÉNÉRALE : ECO 1 :

« LE PIB truqué !… »

La composition des agrégats du P.I.B. des États-Unis d'Amérique est changé en ce Mercredi 31 Juillet 2013. Latribune.fr rappelle, quant à elle, que ce changement a pour conséquence, évidemment recherchée, de l'augmenter de l'équivalent du PIB de la Belgique soit de … +3% ! Dans l'attente des comptes eux-mêmes, il est cependant possible de se rendre compte que les frais généraux des entreprises publiques ou privées consacrés aux dépenses de Recherche et Développement (RD) vont être comptabilisées différemment et ressortir en diverses dotations aux « provisions » ou aux « amortissements », donc remontées dans ce que l'on appelle d'habitude la FORMATION BRUTE de CAPITAL FIXE (FBCF). Du coup, ces dépenses de gestion vont devenir des PRODUCTIONS retenues pour augmenter le PIB américain. Qui plus est, une « rétropolation », c'est-à-dire un re-calcul des PIB des années précédentes sur la base de la nouvelle comptabilité nationale américaine va permettre, par exemple, d'augmenter le PIB de 2007 de… +2% ! Tout le monde gagne à cette manœuvre : les entreprises qui voient leurs résultats augmenter et l'Etat fédéral qui peut, du coup, dépenser et emprunter plus… L'aspect hollywoodien de la manœuvre procure par exemple 70 Milliards de $US de plus à la production artistique ! Je ne résiste pas à crier : SALUT l'ARTISTE ! Transformer un coût en… production alors qu'elle déjà comptabilisée comme telle une première fois dans la valeur ajoutée du sous-traitant, relève du trucage cinématographique en studios avec images de synthèse… En matière comptable, financière et en écritures publiques cela s'appelle de l'escroquerie. Comment ne pas être tenté de rétropoler jusqu'en… 1929 ! ? Il paraît, toujours selon latribune.fr, que le BEA (l'INSEE américaine), se réjouit de voir le ratio d'endettement public baisser ainsi depuis la grande crise et se voir réduit artificiellement et mensongèrement à 73% « seulement » pour 2012. C'est-y pas merveilleux, tout ça ! ? Mais ce n'est pas tout, la fameuse « croissance » s'en trouve elle aussi améliorée au point d'inverser la récession et de la transformer, mais oui, en … CROISSANCE ! Comme dirait Louis de FUNES dans la célèbre série des « gendarmes de St-Tropez » : « Quel beau mot, ma biche » !

Notez que nous n'avons rien à dire, depuis la France, où près de la moitié du PIB officiel, celui qui la place au premier rang de l'UE selon une interview du directeur de l'agence pour le développement des entreprises en Russie par PRORUSSIA.TV, est composé de… dépenses publiques comptabilisées comme une… production ! Le vrai PIB, je vous en ai déjà parlé, doit voisiner 43% de l'officiel seulement. Quelle dégringolade en perspective du COCORICO les pieds dans la fiente, au silence honteux du bec dans la merde !

Conclusion d'ECO 1 : Bref, comme dirait Charles SANNAT dans son édito du « CONTRARIEN – Matin » du 18 Juillet dernier, « lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur LIBERTE »… Car, en fait tout est là, il faut toujours plus asservir les peuples par la promotion de la perversion des mots. Napoléon, dialogué par Sacha GUITRY, disait à AUSTERLITZ : « ici, ils ont des mots imprononçables, nous les changerons ». Depuis l'avènement du 1er Empire maçonnique, et depuis le 10 Mai 1981, « le ministère des mots » est érigé en système de gouvernement. Dailleurs, quand on en arrive à nous sortir des lois qui parlent de mariage de paires homosexuelles, en pervertissant le sens du mot « mariage », il faut bien comprendre que la perversion des termes, des agrégats des comptes publics n'a plus d'autre objectif que de tondre le peuple à sang, mais avec des mots qui disent le contraire, évidemment…
 

2) Dans l' ACTUALITE ÉCONOMIQUE FINANCIÈRE : ECO 2 :

« La génération Financière spontanée !… »

Vous vous souvenez certainement de la titrisation que je vous ai déjà expliquée en long, en large et en travers. Eh ! Bien, maintenant, figurez-vous que dès le contrat de prêt, votre banque vous demande d'accepter au milieu de 30 pages de « contrat » imposé, qu'elle puisse céder à un organisme de titrisation le montant de votre prêt. Ce qui fait qu'en somme, il est devenu normal de transformer votre dette totale – alors que vous ne la rembourserez que mensuellement durant  6 ou 10 ans - , en créance servant de base à la création d'autant de monnaie sortie du néant actuel de vos comptes. D'entrée de jeu, il est donc officiellement convenu que les sommes que vous allez dépenser fort justement par le débit de votre compte immédiatement en totalité, en raison même de votre emprunt sont, DE FACTO, sorties du NÉANT !  

Chypre, est cette 'île d'Aphrodite, aux parfums méditerranéens réputés aphrodisiaques depuis l'Antiquité. Cette grande île si « douce » est d'abord devenue le porte-avions turc avec la colonisation partielle de l'île en RTCN et l'épuration ethnique des chypriotes expulsés de leurs maisons par les Turcs dans la ligne historique de Mustapha KEMAL. Elle est maintenant rabaissée au statut de souffre-douleurs de la réputée « TROÏKA » (FMI+UE+BCE). Toujours latribune.fr de ce jour rappelle la facture salée imposée aux chypriotes, déjà déracinés, résidents dans la partie dite « libre » : 47,5% des dépôts de 100.000 $US minimum sont obligatoirement investis de force en actions de la Banque Centrale Nationale, la Banque Of Cyprus (BOC), pour aider l'île à se resolvabiliser. Quant au reste, tenez-vous bien… il est « gelé », en pleine canicule. C'est dire le mépris du peuple de ces pseudos « autorités » internationales ! Eh ! Bien, l'exemple de Chypre nous montre le devenir prévisible et prévu, devenu incontournable en 2013 des résidents en France ! PARIS sera pire que NICOSIE ! Et les campagnes plus vivables que les villes…

Conclusion d'ECO 2 : Voilà où nous mène la « génération spontanée » de monnaie inventée, obtenue par titrisation, c'est-à-dire par transformation de vos dettes en créances, mobilisables par les banques auprès de la BCE, la « Banque des banques », qui les accepte dans ses contreparties monétaires comme s'ils s'agissaient d'actifs tangibles, de pouvoir d'achat immédiat, international en plus ! L'impossible crédit sorti du néant « pour soutenir la croissance », habillé de statistiques rendues flatteuses par le même procédé dans la comptabilité nationale, ramène au… néant : la misère chypriote. Mais si la misère est moins pénible au soleil de Chypre, elle devient insupportable au pays gris et vert des Gaules, gelées 10 mois de l'année…


3) Dans l' ACTUALITE ÉCONOMIQUE MONÉTAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« La MONNAIE DISPARUE !… »

Dans :
Cybernethics Liberty, Ethics and Information (Cybernétique, Liberté, Éthique et Information) eyes black and white Political Welfare is Pure Waste (Redistribution = Dissipation) de George Carlin au lien :
 http://fare.livejournal.com/32611.html
Nous lisons : « Un jour que j'avais le privilège de discuter pendant quelques minutes de visu avec le discret érudit libéral François Guillaumat, celui-ci m'expliqua la loi de Bitur-Camember, intéressante loi de l'économie politique : à tout "gain" quelconque occasionné par l'intervention de l'autorité politique correspond une destruction préalable de valeur quasi-équivalente en efforts pour capter ce "gain" ».

Voici comment démontrer cette loi économique : PIB = Valeur réelle créée + valeur consommée par redistribution collectiviste = +43% - ( - 57% ) = 100% . Voilà ce qu'écrivent les « économistes » alignés sur les dogmes officiels : un tour de passe-passe algébrique ! Alors qu'il faut écrire naturellement : PIB français = +43 – 57 = - 14 ! Et non pas 100…

Suis-je assez clair ! ? Comment faut-il dire cette réalité officielle en 2012 habillée par la haute couture gouvernementale en PIB de 100… en croissance bien sûr ? !…  Aucun élève sorti de l'E.N. ne voit cette évidence ! Personne n'a plus le droit de la clamer. C'est politiquement incorrect, presque de la trahison.

Nous lisons au lien :
http://fr.scribd.com/doc/57840202/Francois-Guillaumat-Hyper-resume-de-Bitur-Camember  
« La « Loi de Bitur-Camember » énonce que la spoliation légale doit nécessairement, en tendance, détruire, en finale, des richesses égales à celles dont elle s'empare : que tout écart par rapport à cette égalité ne saurait être qu'un accident : le seul produit de l'incertitude et de l'ignorance humaines. Cette « Loi de Bitur-Camember » se démontre donc en faisant abstraction de l'incertitude, comme il y a lieu de le faire pour toute étude des effets contraignants des politiques et des institutions, afin de leur appliquer normalement le raisonnement comptable et le raisonnement à l'équilibre, les deux premiers niveaux de la théorie économique. Dans ces conditions, la relation qui existe entre les richesses volées et les richesses détruites par la spoliation légale apparaît comme celle d'une égalité comptable nécessaire, laquelle, jusqu'à présent, était demeurée méconnue. C'est cette nature d'égalité comptable nécessaire et méconnue qui donne son nom à la « Loi de Bitur-Camember », laquelle tire son nom de l'épisode des « Aventures du Sapeur Camember », où le Sergent Bitur méconnaît également une autre égalité comptable nécessaire lorsqu'il punit le Sapeur Camember pour n'avoir pas "creusé un trou assez grand pour y mettre à la fois sa propre terre et celle de l'autre trou" ».

Conclusion d'ECO 3 : Bref, après avoir consommé TOUTES les RICHESSES RÉELLES PRIVÉES de 43%, l'Etat français républicain, a dépassé, dans son élan majestueusement écrasant, le montant total des susdites. Officiellement, la dépense publique dépasse les 57% du PIB en France dixit J-M AYRAULT, Premier Ministre… C'est là que les Sapeurs Camember(s) du gouvernement, emboîtant le pas à leurs maîtres « maçons », grands architectes de toutes les escroqueries républicaines du monde anglo-saxon et de leurs affidés européo-bruxellois, habitants de la colonne tronquée dans son triangle parlementaire, se sont mis à creuser le deuxième trou en créant de la monnaie ex-nihilo pour continuer à dissiper des richesses privées devenues inexistantes. Désormais, grâce à la « politique accommodante » de la FED et de la BCE, l'Etat français peut faire croire au fonctionnement normal de la machine fiscale alors qu'elle n'est plus alimentée que par du néant. La monnaie a disparue… reste le pouvoir absolu totalitaire.
 

Conclusion Générale du jour : Le pêcheur de brochet « à la tirette » qui râcle le fond du Lac du Bourget sur la chaîne de TV d'Orange « Chasse et Pêche », avec sa canne à lancer depuis sa barque motorisée, localisant à l'écho-sondeur le seul brochet existant encore caché par 19 mètres de fond est le dernier survivant de cette race française qui vivait encore des ressources de la nature. Avec le dernier franc encore vaillant à leur crédit, a disparu voici 27 ans, la solvabilité des banques chez la Banque de France. Depuis 1986, aucune banque ne tire plus de « chèque de banque » sur son compte chez la banque des banques où elles n'ont plus rien que des dettes. Leurs actifs inventés ont de la peine à couvrir 9% de leurs bilans, quant aux actifs réels, il faut les chercher au Microscope Électronique à Balayage (MEB) dans les postes comptables surévalués. La monnaie inventée drogue même le bilan de la BCE et de l'eurosystème. Elle drogue le système de la redistribution de richesses devenues inexistantes vers 7.600.000 fonctionnaires directs, indirects et assimilés plus les bénéficiaires de tous les « transferts sociaux ». Pour survivre, l'Etat maçonico-républicain, en est réduit aux mensonges et aux falsifications de tous les comptes, en permanence masquées par la production de monnaie inventée par les banques cartellisées dont la moindre ligne de crédit est désormais titrisée. Qui a écrit déjà : « Plus dure sera la chute ! » ?

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