mercredi 31 octobre 2012

Le projet communiste avance vite :

Pour :
http://www.radio-silence.org/

Chroniques reprises ou citées aux liens principaux suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
- http://www.cncombattants.org
- http://www.echodufrioul.eu


CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 90


MERCREDI 31 OCTOBRE 2012



Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Les « réformes » prétendues des retraites se succèdent à une cadence accélérée et, désormais, le gouvernement de la France avoue sa volonté d'en finir avec les vieux. Je tombe, en effet, sur ces précisions concernant l'âge légal de départ à la retraite arrêté pour l'instant à 62 ans au moins en… 2017. Il s'agit de fixer en fait, la DUREE de votre retraite autrement dit la durée pendant laquelle le pouvoir communiste va accepter de vous entretenir par « ses » pensions dans le cadre du régime par répartition, sous-entendu par répartition des sommes que vous avez versées aux autres et qui n'existent plus, et des sommes que les autres versent en pure perte pour eux et que le pouvoir, à regret, dirigent vers vous partiellement, mais… le moins longtemps possible.

Cette durée est désormais fixée l'année de vos 56 ans, en fonction de l'évolution de l'espérance de vie à 60 ans, c'est-à-dire du nombre d'années qu'il vous reste à vivre à cet âge-là selon les démographes. Pour les assurés nés en 1956, elle sera fixée par décret avant fin 2012. Pour ceux qui sont nés en 1957, elle le sera en 2013. Si vous n'avez pas le nombre de trimestres suffisant, vos pensions seront minorées. Et si, à l'inverse, vous avez fait le plein avant l'heure, il faudra patienter le temps d'atteindre l'âge requis, sauf si votre cas personnel vous permet de prendre une retraite anticipée.

Et voilà, désormais c'est le gouvernement qui va fixer la date de votre mort ! Vous ne pourrez plus l'ignorer… Et si jamais il vous prend la fantaisie de… durer plus longtemps, rien n'interdit plus, juridiquement, de se demander si l'euthanasie ne sera pas la solution démographique à un souci financier après 2017 ? L'idée germe donc que le gouvernement nous achemine progressivement :


 « VERS LA SOLUTION FINALE démographique !… »



1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :

« Par l'inquisition jusque dans votre lit !… »

Evens Salies, économiste au département innovation et concurrence de l'OFCE (Sciences-Po), décryptait le 19 OCT dernier, sur Capital.fr, que nous citons ci-dessous, la « tarification progressive » de l'électricité et du gaz, nouveau dispositif, en cours d'examen à l'Assemblée nationale sur la proposition du gouvernement et que le Sénat vient d'amender hier mais avec peu de chance de succès final, selon moi, puisque s'agissant du programme présidentiel porté par François HOLLANDE. L'idée générale est d'imposer, encore, l'obligation de ne pas « gaspiller » aux ménages, au moyen d'un système déjà bien rôdé par ailleurs, de BONUS-MALUS. Voici des extraits de l'interview :

« Capital : Où en est la tarification progressive de l'énergie, qui était une des promesses de campagne de François Hollande ?
Evens Salies : … La loi sera discutée en séance publique les 30 et 31 octobre, ainsi que le 5 novembre 2012. Son rapporteur, François Brottes, député de l'Isère, a l'ambition de « préparer la transition vers un système énergétique sobre ». Sa vocation est double : inciter les consommateurs à ne pas gaspiller l'énergie, tout en mettant davantage d'équité dans la tarification appliquée aux ménages.

NDLR : Dès que l'on parle de mettre de l'équité quelque part, la volonté dirigiste devient on ne peut plus évidente !…

Evens Salies  précise que la loi en préparation définit un processus par étapes, d'abord :
1- Un «volume de référence» par type d'énergie : c'est à dire pour le gaz, l'électricité, l'eau. Il s'agit des volumes de consommation qui permettent à un individu de couvrir ses besoins essentiels : par exemple, le nombre de kilowatts/heure électriques qui lui servent à chauffer décemment son domicile, de préparer ses repas, de regarder la télévision ou de laver son linge… Puis, à partir de ces « volumes de référence », les pouvoirs publics établiront des «volumes de base» de consommation pour la résidence principale du ménage. Ces volumes de base tiendront compte du nombre d'individus qui composent le ménage. A notre avis, le nombre d'unités de consommation serait plus précis dans la mesure où si l'on chauffe pour un, on chauffe aussi pour deux.

NDLR : Et voilà, le plan communiste, établit sur des bases normatives imposées par le gouvernement, recadrées dans le plan quinquennal, remit récemment au goût du jour socialo-communiste-vert…

2- Ensuite, la future loi tiendra compte du climat à travers la localisation géographique. Quiconque habite une région froide aura droit, toute chose égale par ailleurs, de consommer plus qu'un habitant de la Côte d'Azur, par exemple. Ce deuxième critère retiendra une valeur pour chaque commune française : une par code postal.

NDLR : Et voilà, le plan communiste fixe même le CLIMAT normatif imposé officiellement…

3- Un troisième critère tiendra compte des modes de chauffage – « tout électrique »… – …
4- Un quatrième du mode de production d'eau chaude. Le volume de base sera majoré lorsque l'âge d'un des membres du foyer fiscal dépassera un certain seuil, et en cas d'utilisation d'équipements électriques spécifiques pour des soins à domicile.

NDLR : Et voilà, le plan communiste va retoquer les déclarations d'impôts IRPP de manière à exiger encore plus de précisions du genre :  âges des enfants, matériels de soins utilisés, volume évidemment fixé arbitrairement du congélateur et du réfrigérateur, puissance de la chaudière etc …

Evens Salies, quant à lui, pense que « faire ainsi dépendre la facture d'énergie de ces différents critères est un moyen d'introduire plus d'équité dans la tarification. C'est donc reconnaître que la péréquation géographique appliquée aux tarifs en vigueur n'atténue pas assez les inégalités d'accès à l'énergie. Ainsi, un ménage qui consomme moins que le volume de base bénéficiera d'un bonus pouvant atteindre un centime d'euros par kilowatt/heure consommé. S'il dépasse légèrement ce volume, il paiera un malus sur l'excédent de consommation.

Capital : Ce malus incitera-t-il vraiment à être plus économe ?
Evens Salies : Oui. Cela fonctionnera par tranches, comme pour l'impôt sur le revenu, puisqu'il s'agira d'une tarification progressive. Il y aura deux tranches de malus, la seconde se déclenchant à une fois et demie (soit 150%) du volume de base de consommation alloué au ménage.

NDLR : Et voilà, le plan communiste vous allouera une quantité d'énergie, autrement dit vous voilà rationnés arbitrairement…

Capital : Pourquoi ce chiffre de 150% ? Est-il pertinent ?
Evens Salies : … On appréciera la pertinence du seuil de 150% à l'usage… Mais quelle que soit sa valeur, elle devra servir à déterminer les prix du bonus et des malus. Ces prix, qui ne sont pas encore fixés, pourraient être au plus de 0,3 centime par kilowatt/heure pour la première tranche, et de un centime par kilowatt/heure pour la seconde.

Capital : Alors que fera-t-on quand on aura un malus ?
Evens Salies : La première année, on paiera. Puis on réduira sa consommation, si on veut et, surtout, si on peut le faire (problème de l'isolation etc…) ! Dans le cas d'une location, si la surconsommation est due à une mauvaise isolation, le bailleur paiera une fraction du malus. C'est donc ce dernier qui sera incité à entreprendre les travaux qui permettront de réduire le gaspillage dont le locataire n'est pas responsable.

NDLR : Arrivé à ce point, le commentateur ne se pose plus qu'une question dans sa tête, à quelle sauce vais-je être bouffé ?  

Evens SALIES, lui se pose la seule question suivante : … Est-ce que ces deux informations que sont le volume de base et la performance énergétique seront suffisamment exhaustives pour réussir à faire la distinction entre cette surconsommation et celle qui résulte d'un comportement gaspilleur du ménage ? Car, en effet, ce n'est que lorsque les diagnostics de performance énergétique seront devenus fiables, que cette distinction sera possible. Or, pour l'instant, on ne sait pas bien mesurer le gaspillage alors que c'est bien à cela que la proposition de loi essaie de s'attaquer.

NDLR : Tout à coup CAPIAL.fr se pose la question du coût en impôts de cette nouvelle usine à gaz :

Capital : S'il y a plus de bonus que de malus, cela va coûter cher aux caisses de l'Etat ! ?…
Evens Salies : Le système est prévu pour s'autofinancer, c'est-à-dire que la somme des malus devrait couvrir celle des bonus. En principe, car… on peut douter que cela se passe ainsi.
Que vont faire en effet les gens qui seront surtarifés ? On constate, en général, qu'une augmentation de 1% des tarifs de l'énergie se traduit par une baisse de 0,4% de la consommation. L'année suivante, ils baisseront leur chauffage d'un degré et éteindront plus systématiquement les lumières des pièces inoccupées, pour réduire leur malus, et peut-être pour bénéficier d'un bonus. Résultat : il rentrera moins de malus la deuxième année. A l'inverse, les bénéficiaires d'un bonus vont se relâcher un peu dans la limite de leur volume de base… A l'arrivée, l'équilibre financier du système sera donc (peut-être) difficile à trouver.

NDLR : Ce qui annonce de futures nouvelles « usines à gaz » ( avec jeu de mots ) et l'obligation de peler de froid dans la maison si par hasard vous n'étiez pas jusqu'ici gaspilleur !

Capital : Et pour le gaz, on va faire comment ?
Evens Salies : Les volumes de base seront ajustés selon le type d'usage (chauffage, cuisson, etc.). Mais il est peu probable que l'on aboutisse à une réduction de la consommation française de gaz naturel, car il s'agit d'une énergie plus difficile à gaspiller que l'électricité. On peut oublier d'éteindre la lumière en remontant de la cave, mais il arrive rarement que l'on oublie d'éteindre la cuisinière lorsque le repas est prêt…

NDLR : Le plan communiste va donc vous imposer aussi combien de casseroles d'eau pour les pâtes vous aurez le droit de faire bouillir, combien de steacks vous aurez le droit de faire griller ou combien de temps vous aurez le droit de laisser fonctionner la chaudière…

Conclusion d'ECO 1 : L'inquisition va trop loin ! Bien sûr, avec l'alibi de l'équité qui vaut celui de la sécurité sur les routes, tous les tracas, toutes les impositions, tous les règlements, tous les contrôles et toutes les sanctions deviennent donc obligatoirement « légales », même si elles sont illégitimes. Est-ce que, dans le coût de cette recherche d'équité par l'entremise de Messieurs Bonus et Malus, ils ont compté les jours/an de congés maladies, la baisse de carburant pour des déplacements réduits dans le cadre du quota d'essence et donc les hausses de Prélèvements Obligatoires prévisibles pour compenser les baisses de consommations ? Est-ce qu'ils ont compté aussi l'abrutissement réglementaire dont sont victimes les pauvres gens ! ? Nous voilà revenus au temps du Dr JIVAGO et de l'avènement radieux des Bolcheviques au pouvoir… Les Malheurs du Peuple n'ont pas fini de s'abattre ! Préparez-vous à calculer à la seconde près la durée de l'éclairage de votre lampe de chevet… Sinon, gare ! Dormez, lavez-vous, mangez, regardez la TV dans le noir, sans chauffage et sans eau chaude, bonnes gens, les bolcheviques sont là !…


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :


« Par l'éclatement du ballon financier !… »

Chaque année le ballon de l'endettement total de l'Etat totalitaire et de ses subdivisions administratives locales baptisées communes, agglomérations, groupements, départements, régions, Pays… gonfle, GONFLE !… En 2012 de l'ordre de 135 Milliards, et en 2013 pareil… VGE ne comptait pas, disait-on au-dessous du Milliard ?… Dorénavant le gouvernement ne compte plus au-dessous des 100 Milliards… 100 fois en 35 ans. C'est là que l'on voit la psychologie gouvernementale irresponsable rejoindre l'inflation galopante entretenue par la grosse machine euro-anti-monétaire. La parois du ballon s'aminçit, se distend, va péter !…
 
Chaque année l'endettement des ménages grimpe à due concurrence de l'endettement collectif pour payer les « sommations » - tiens, le mot est joliment trouvé, n'est-ce pas ! ? – quotidiennes du monstre totalitaire. Car cela fait 26 ans que la somme des Prélèvements dits « Obligatoires » n'est plus payable par le Peuple. Depuis 1986 d'après mes pointages sur les stats de la Banque de France.

Le ballon financier collectiviste se dégonfle un peu chaque année en transférant ses dettes aux ménages mais il se gonfle davantage en final à cause des déficits annuels, non seulement répétés depuis 35 ans, mais en augmentations constantes en plus !… La courbe de l'inflation par les prix prend donc l'allure d'une suite géométrique de catastrophes financières annuelles en raison de la lâcheté et des caprices politiciens soucieux uniquement du clientélisme électoral inhérent au « système » politique en vigueur.

Conclusion d'ECO 2 : Cette courbe ascensionnelle, chaque année redressée toujours plus à la verticale, de la quantité de signes monétaires de singes nécessaires aux moindres achats, rétrécit la durée de vie des enfants et des vieux, autrement dit s'attaque aux plus fragiles, et protège les plus forts. Les revenus du travail comme les retraites des vieux deviennent chaque mois plus insuffisants pour payer l'énergie, la nourriture, les déplacements, en sus majorés d'une quantité ascensionnelle ultra-rapide des Prélèvements opérés par la mafia au pouvoir, au point de leur serrer la ceinture à la taille d'une guêpe. On connaît la chanson de Pierre PERRET…


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« Par la descente vers ZERO de la valeur monétaire !… »


Il paraît que le plus gros nominal ayant jamais figuré sur un billet de banque fut de 500 Milliards de X… Je pense que nous nous acheminons tout droit vers de futurs timbres poste à… 1 Milliard d'euros d'ici dix ans, comme au bon vieux temps du REISCHTAG, lequel traumatise encore les Allemands.

Dores et déjà, la valeur du Franc français à travers l'euro actuel à 6,55857 pour 1, s'établit ce matin 31 OCT 2012 au 1/100.000ème de sa valeur dite de « Germinal » en 1803. Quant au dollar US il s'établit, ce matin aussi, à 29/100.000ème de sa valeur de 1789. Il est évident, dans le contexte mondial d'un asservissement du prix de l'Or par les Banques Centrales dans le cadre du jeu d'appropriation, privée désormais à 97% des stocks d'Or, et pour les 3% restants par la « Chine Nouvelle », que les deux monnaies citées (€ et $US) vont encore davantage se rapprocher du zéro orthonormé de manière asymptotique, par bonds d'un facteur mille à chaque fois. C'est, dailleurs, ce qui gêne le plus les Banques Centrales et les gouvernements : les gens peuvent toujours comparer leurs monnaies de singes, en valeur, au prix de l'Or au cours du moment, d'où également le souci d'apaiser l'apparence de la dégringolade par une stabilité momentanée du prix, imposé, mais dans l'ignorance du « grand public ». CHIRAC, Président, a fait mieux de son temps : il a carrément supprimé le « Marché de l'Or » en France ! Aujourd'hui, donc, raccroché à celui de Londres, que les Chinois viennent de s'approprier… Pauvre Jean YANNE (Film : « Les Chinois à Paris »), les Chinois négligent Paris et envahissent de préférence LONDRES, qui compte bien davantage.

Notons également que le prix de l'Argent est largement sous-évalué dans le rapport de 1 pour l'Or à 53,33 pour l'Argent ce matin (32,19 $/Oz pour 1.716,66 $/Oz). Puisque ce n'est pas l'Or qui est surévalué, au contraire !

Conclusion d'ECO 3 : L'usure monétaire tend donc à réduire la valeur des monnaies imposées de force aux peuples vers ZERO dans une courbe asymptotique, mais logarithmique en raison des à-coups résultants des STOP imposés momentanément, à grands frais pour notre souveraineté, à une évolution qui reste cependant inéluctable, vers le zéro absolu et des prix nominaux de Milliards pour une baguette de pain ou un timbre-poste déjà bien en vue. Si vous gagnez au loto une somme conséquente, vous devrez impérativement la convertir le plus vite possible en biens réels, conseil d'ami ! Ne gardez pas longtemps vos signes monétaires en plongeon mortel…

-):(-

Conclusion Générale du jour : Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, la SOLUTION FINALE démographique est donc poursuivit par tous les moyens indirects possibles : faire mourir les gens de froid chez eux à cause du prix exorbitant de l'énergie qui a augmenté, par exemple de plus de 63% sur le gaz depuis 2009 (1), réduire leurs revenus à coups d'agios et de Prélèvements « Obligatoires » en augmentations constantes, épuiser les porte-monnaie par la dévaluation de la monnaie de singe papier, plastique ou électronique. Si, par hasard, certains résistent, il restera toujours la solution finale médicamenteuse à la première alerte du SAMU, aussitôt que possible, après la date de votre mort, rappelons-le : fixée par décret, sur études de démographes devenus tout puissants !… 1984 risque fort d'être : 2014.

1) FR2 hier soir au JT national a rappelé qu'une personne sur deux, en France, en 2012, ne pouvait pas se chauffer correctement à cause du prix !

dimanche 14 octobre 2012

Le NIVEAU d'ENDETTEMENT des PAYS dits "Riches" ATTEINT le NIVEAU de GUERRE !

Pour :
http://www.radio-silence.org/

Chroniques reprises ou citées aux liens principaux suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
- http://www.cncombattants.org
- http://www.echodufrioul.eu


CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 89

MERCREDI 17 OCTOBRE 2012


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Christine LAGARDE vient de constater que « le niveau d'endettement des Pays riches atteignait celui des temps de guerres », lequel USE toujours la valeur de la monnaie, comme nous l'avons explicité, notamment au long de notre histoire de la monnaie de la chronique N°1 à la N°31, appauvrissant les épargnants, les rentiers et les travailleurs, c'est-à-dire tout le monde.

Ce qui m'amène à me pencher pour vous sur les usures naturelles et celles qui ne le sont pas et relèvent de la malveillance humaine envers Autrui. Nous distinguerons donc :


 « Les TROIS USURES !… »


1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« 1ère USURE : celle, NATURELLE, de tous les BIENS !… »

Nous nous attacherons à celle de l'IMMOBILIER, exemple d'usure à long terme au taux rampant.

La comptabilité nous enseigne qu'un bien immobilier voit sa détérioration progressive mesurable. Sa valeur est donc décroissante en monnaie constante. Cette décroissance est reconnue par le fisc français, pourtant connu pour n'accorder aucun « avantage » aux contribuables, pourchassés pire que des gangsters ! Cette décroissance annuelle de la valeur d'un bien immobilier est chiffrée généralement de – 1 % à – 3% l'an environ, correspondant à une obsolescence finale envisagée au bout de 30 à 90 ans. Depuis fin 1998, depuis 14 ans : - 14 à - 42 %. Le bien immobilier payé 100 en 1998 ne vaut donc plus qu'entre 86 et 58. C'est si vrai que la dotation aux amortissements pour dépréciations des biens immobiliers peut s'élever en franchise d'impôts sur les revenus immobiliers et, pour les entreprises, sur l'ensemble de la décomposition de leur valeur ajoutée à… due concurrence.

L'INSEE vient, entre autres indices, de m'envoyer celui des loyers pour le troisième trimestre 2012. Cet indice s'établit à 123.55 contre 100.00 fin 1998. Soit une hausse de + 23.55 % en 14 ans donc + 1.68 % /an en moyenne. Il augmente cependant de + 2.15 % depuis un an à T3-2012, donc plus que la moyenne. Comme cette augmentation de la quantité de signes monétaires exigibles par les propriétaires-bailleurs de locaux à usage d'habitation principale depuis la Loi du 6 Juillet 1989, apparaît immédiatement plus faible que l'indice des prix à la consommation « ressenti », pour parler comme les météorologues, regardons-y de plus près. Cet indice des loyers est calculé, depuis la loi N°2008-111 du 8 Février 2008 dans son article 9, selon la moyenne de l'IPC général, DOM compris, sauf Mayotte (seulement en 2016), hors tabac et hors loyers… sur les douze derniers mois, publié par trimestres. Comme on le voit, il ne s'agit pas d'un indice calculé strictement sur les loyers pratiqués mais, indirectement, par différences d'agrégats de références dans l'Indice général des Prix à la Consommation français. C'est un indice macro-économique.

L'IPC, (au passage redevenu Indice DES Prix à la Consommation, moins scrupuleux (1)) au même moment, fin Septembre dernier, atteint brut 126.31, même base 100 fin 1998. Ce même IPC hors loyers et hors tabac atteint 124.20, variant de + 1.80 % depuis un an. La composante totale : Loyers, eau et ordures ménagères atteint 137.40… et entre dans l'indice général pour l'augmenter. Les loyers tirent l'IPC vers le haut.

On voit donc que l'exigibilité des quantités de signes monétaires est entraînée mécaniquement dans le sillage direct de l'IPC général Hors Tabac et hors loyers. Concrètement, ce qui était loué 100 fin 1998, est louable actuellement à 123.55.

1) Il y a encore quelques années, l'INSEE parlait de son Indice DE Prix à la consommation, refusant son universalisation et donc montrant des scrupules qui n'existent plus en 2012…

Conclusion d'ECO 1 : Un locataire qui payait 3% de la valeur de 1998 d'un logement à usage d'habitation a payé l'intégralité de la dotation à l'amortissement pour dépréciation (au même taux) du bien concerné entre les mains du propriétaire, voire jusqu'au double. Lequel propriétaire peut donc faire tous les travaux de rénovations exigés par la détérioration due au vieillissement du bien, sa mise aux normes etc… à hauteur de 42% de la valeur de 1998 en 2012 fin Septembre. Qui plus est, le locataire a peut-être payé progressivement chaque année un loyer réévalué à la hauteur de l'inflation indicielle. Le propriétaire ne peut donc pas se plaindre de la hausse des prix sur la période. Ceci d'autant plus que, si l'on compare le rendement nominal chaque année plus élevé, passant de 3% en 1998 à celui de 123,55 % de 3 soit 3,7065 pour une valeur louée réduite progressivement à 58, soit un rendement de 6,39 % versé pour celle-ci en 2012 ! Jamais le Livret A de l'Etat, hors impôt, ne suit une telle courbe… L'USURE du bien que le propriétaire se doit d'amortir en bon gestionnaire se trouve donc couverte par le locataire, ce qui constitue déjà une suffisante compensation à son usufruit réservé, d'autant qu'il doit, en plus, l'usure qu'il aurait lui-même causée, au-delà de l'usage normal, par un mauvais usage du bien. Il est donc clair qu'il convient de ne pas céder aux revendications de certains propriétaires qui voudraient augmenter les loyers pour les aligner sur une valeur augmentée par un soit-disant « marché » de leurs biens immobiliers, alors qu'elle a diminuée en monnaie constante.


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :

« 2ème USURE : la CYNIQUE FINANCIERE !… »

La définition même de l'usurier est contenue dans le personnage d' HARPAGON dans la pièce de Molière : « L'AVARE ». Apre au gain, ce père n'hésite pas à exiger de son fils des agios insupportables pour un prêt dont il lui fait reproche d'accepter à de telles conditions. La caractéristique de l'usurier est qu'il va toujours exiger le maximum d'une malheureuse victime d'un accident de la vie, ou d'un autre escroc, voire de décisions bâclées d'une Cour dite « de Justice » ayant même inversé les rôles au bénéfice de « frères de la Secte Noire » contre leur victime, ou simplement d'une mauvaise gestion due à la jeunesse ou à l'ignorance… C'est ainsi qu'il n'y a aucune limite aux exigences des usuriers que celles au-delà desquelles les victimes vont tout de même renoncer… Tout leur effort consiste donc à détecter ces limites du supportable pour leurs victimes. Un prêt d'usurier peut parfaitement dépasser, en agios, les 100% par jour… comme on le voit dans des films et séries US ! Un autre usurier caricaturé dans la fameuse pièce de SHAKESPEARE : « Le MARCHAND de VENISE », SHYLOCK, exige même en sus d'agios financiers insupportables une livre de chair à prélever à l'endroit choisit par la victime, comble de la torture. Cette pièce est interdite en France depuis quelques années car elle stigmatise un… usurier Juif ! Dans les années cinquante, je l'ai reçue en Prix d'Anglais ! ! ! Mesurons donc la distance parcourue dans l'asservissement à la fameuse P.U.T. .
 
L'usure financière, comme son nom l'indique clairement, use toutes les ressources et tous les biens des victimes aux profits d'êtres dangereux : les Usuriers. Si dangereux que notre grand ROI et SAINT : LOUIS IX a imposé dans son édit de 1238 le port d'une étole jaune bien visible par les dangereux personnages…  Du temps de Saint-Louis, « le prêt à intérêt s'apparentait au vol, l'usurier s'enrichissait en dormant, en vendant du temps, or le temps n'appartenait qu'à Dieu. Sur le chantier du progrès humain, il faisait figure de déserteur » selon un blog dont je n'ai pas retenu le nom. Toutes mes excuses. La Chrétienté combat l'usure de tous temps…

Plus récemment, sur :
http://www.blanrue.blogspot.fr/2012/04/les-usuriers-provoquent-des-guerres.html :
"Les usuriers provoquent des guerres pour créer des dettes dont ils jouissent des intérêts, ainsi que des profits résultant des fluctuations de la valeur de l'unité monétaire" (Ezra Pound). "Voici pourquoi se font les guerres : pour créer des dettes qui sont payées dans une monnaie haussée. La guerre est le suprême sabotage ; c'en est la forme la plus atroce. Pour dissimuler l'abondance existante ou virtuelle, les usuriers suscitent les guerres, et ce, pour créer la disette. Car il est plus difficile d'obtenir le monopole de matières qui abondent que de celles qui sont rares. Les usuriers déclenchent des guerres pour établir des monopoles à leur avantage, et pour ensuite étrangler le monde. Les usuriers provoquent des guerres pour créer des dettes dont ils jouissent des intérêts, ainsi que des profits résultant des fluctuations de la valeur de l'unité monétaire " (Ezra Pound, Le Travail et l'Usure, Éditions L'Âge d'Homme, Lausanne, 1968). Nous avons un exemple précis de ce problème dont je vous ai déjà parlé dans de précédentes chroniques dans la soudaine augmentation des dépenses militaires américaines au VIETNAM dès la mort de KENNEDY et son remplacement par le V-P Lyndon Baines JOHNSON. Ces dépenses n'étaient nullement nécessaires… car le seul Porte-Avions atomique ENTERPRISE, croisant au large, suffisait à niveler l'ennemi une fois pour toutes, ce qui fut amplement souligné à l'époque et rappelé par Jean LARTEGUY dans ses livres et ses articles de PARIS-MATCH. Le « LOBBY » militaro-industriel soutenu par les banques a alors gagné le droit de tondre le contribuable américain jusqu'au sang après les manœuvres de 14-18, de 1929 et celles de 39-45, voilà les usuriers désignés à l'origine de la grande dépression économique que nous vivons en 1998-2012.

Conclusion d'ECO 2 : L'usure financière, d'abord le fait d'individus peu recommandables, dangers publics désignés, pécheurs invétérés jamais repentis, exploiteurs de leur prochain, devînt progressivement une industrie. Des « complexes » alliances occultes entre banquiers et industriels convinrent cyniquement d'exploiter le Peuple des naïfs qui croiraient à leurs, officiellement supposées, bonnes intentions, affichées notamment lors de campagnes électorales outrancières de la part de leurs pantins. A mourir de rire… Jaune.


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« 3ème USURE : la DELIBEREE, MONETAIRE !… »

Comme toujours les conflits usent les monnaies et les déprécient par un mécanisme que nous avons déjà démonté dans mes précédentes chroniques combinant réévaluations avec dépréciations, la dernière en 1959 en France… Toujours plus de monnaie à trouver pour n'avoir que toujours moins de biens et de services réels. L'usure de la monnaie c'est le pousse au crime subtil de l'oligarchie qui augmente les prix sans cesse aux limites du payable par les Peuples tondus comme des bêtes de sommes et transfère le produit monétaire via les tuyaux bancaires vers les usuriers sus-désignés.

Arrivés au « POINT LIMITE ZERO », où HENRY FONDA, interprétant le rôle du Président des Etats-Unis obligé, pour enrayer la machine infernale, par ailleurs dénoncée par un Dr FOLAMOUR réaliste, d'ordonner le suicide des USA par le bombardement de NEW-YORK par l'un des pilotes de l'USAF, les usuriers mondiaux ont ordonné leur prise du pouvoir global au moyen de la création ex-nihilo de crédit sans monnaie préalablement détenue aux Etats gouvernés par leurs pantins qui viennent sans cesse, sur leurs ordres, leur emprunter à genoux. Les Peuples n'ont plus d'autre choix que de tomber dans l'escarcelle des usuriers comme des olives secouées au verger dans le filet des récoltants. Les Usuriers prélèvent leur livre de chair tels des SHYLOCKS effrayants de mégalomanie criminelle.

Les usuriers mondiaux ont conduit les peuples du monde à ne plus utiliser qu'une monnaie inexistante, virtuelle, uniquement destinée, par la signature de papiers des pantins de gouvernements, à transférer la totalité du produit du travail des esclaves, vers leurs grandes lessiveuses bancaires à recycler leurs dettes en nouvelles dettes sans cesse augmentées, renouvelées à seule fin de maintenir les esclaves dans leur rôle éternel de condamnés à l'abattage comme tout « Cochon de Payant » sui se respecte.

Conclusion d'ECO 3 : L'usure monétaire c'est donc la baisse de pouvoir d'achat, devenue continue, de la monnaie, imposée avec cours forcé en toute illégitimité. C'est aussi fort logiquement, en parallèle, l'interdiction de tout retour à une monnaie réelle, concrète, qui mettrait à nouveau tout le monde, y compris les usuriers que sont devenus les cartels militaro-industriels et les mafias, sur un plan d'égalité avec tout un chacun ! Les AGIOS en remettent une couche qui n'est même plus nécessaire pour entretenir la machine à tondre. Dénoncer les agios de nos jours, c'est tirer à côté de la cible, dans le tas de terre. Ce qu'il faut dénoncer c'est la monnaie imposée comme outil d'asservissement. Ce que je ne cesse de faire pour tenter de sauver au moins ceux qui m'écoutent… .


Conclusion Générale du jour : Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,  « EN VERITE, JE VOUS LE DIS », m'inscrivant dans la ligne droite de la VERITE vers la LUMIERE du SALUT de tous et de chacun, le seul moyen de nous affranchir des usuriers est de nous passer immédiatement de leur fausse monnaie incarnée par la fameuse « PEAU DE CHAGRIN » où le DIABLE nous vend un bien inexistant, et ne peut donc en exiger le prix, que nous sommes trop bêtes de payer sans le devoir, puisqu'escroqués par lui. Revenir aussi à des échanges honnêtes sans chercher à tirer plus d'AUTRUI que le minimum nécessaire et légitime. Le bailleur ne doit jamais louer plus cher que le minimum nécessaire, le vendeur ne doit pas exiger une valeur surestimée, l'employeur ne doit pas sous-payer son employé, le bénévolat doit être illégal car c'est du vol. Bref, il faut en revenir à la BONNE FOI de nos ancêtres du temps de LOUIS IX, celui que le BON PEUPLE a justement surnommé SAINT LOUIS, à la regrettée bonne JUSTICE franche et claire.