mercredi 23 novembre 2011

Premier interview à l'ECHO du FRIOUL : www.echodufrioul.eu

Questions de Claude Vanucci et Olmeto (Corse) : « Comment s'en sortir ? Combien de temps ? Changement politique ? L'Argentine, le Canada, s'en sont sortis et nous ? Combien doit-on exactement » ?
Je vais répondre au fil des réponses aux questions ci-dessous, en passant… Vous en déduirez aisément, comme moi, à l'appui de toutes mes chroniques incluant « UNE HISTOIRE de la MONNAIE » de FV1 à FV31 que le seul moyen de sortir de l'impasse dans laquelle nous a engagé, précipité ce régime politique est d'en changer complètement, tout en restaurant des comportements dans des Parlements réellement « républicains », comme sous « l'Ancien régime », au sens de la définition de Victor HUGO de la République (« Histoire d'un crime » et « Napoléon III le petit »). Il faut mettre à bas la collectivité totalitaire et restaurer la SOCIÉTÉ des personnes LIBRES. Par exemple, le ministère actuel a fait un graphique camembert qui démontre que l'État actuel dépense 42 % dans des activités non régaliennes et pour ce faire il réalise 22% de déficit annuel (TOUT LE PROBLÈME de la faillite actuelle). Si on les supprime, on fait l'année suivante 20% d'excédents… que je répartirais : 10% pour le chèque scolaire et 10% pour rembourser réellement les dettes… Voilà mon « Œuf de Colomb » ! Il faut suivre aussi l'exemple de l'Islande, qui s'en sort, contre les instructions de l'UE de Bruxelles archi-totalitaire !

Question de « Michel (Marseille) » sur le PIB : « Qu'est-ce que c'est, comment ça marche » ?
Le PIB (Produit INTÉRIEUR Brut) actuel s'élève pour 2010 à : 1.978,1 Mds d'Euros.
C'est un Total général des différents AGRÉGATS STATISTIQUES qui concourent à son élaboration, effectué par l'INSEE en France, avec le concours des administrations publiques diverses comme les Douanes, la BDF...

C'est un concept anglo-saxon imposé par VGE en 1977 en remplacement de notre bon vieux PNB (Produit NATIONAL Brut). Le PIB est plus restrictif que le PNB. Par exemple : une entreprise à capitaux français travaillant avec des Français, payant des Impôts en France sur l'ensemble de ses activités en France et ailleurs, mais avec usine (PSA, RENAULT) implantée aux Indes aurait compté dans le PNB français, mais aussi dans le PIB des Indes… Pour éviter le doublon, la France s'est abaissée. Pas les USA ! Lesquels continuent de compter, ce que j'appellerais plus un PNB qu'un PIB, avec les revenus et avoirs de leurs citoyens ou entreprises partout dans le monde…

Le PIB comporte des sous-totaux comme le REVENU NATIONAL. Notez que les CONSOMMATIONS des ADMINISTRATIONS PUBLIQUES comptent comme une PRODUCTION et sont une composante du PIB qui augmente donc à chaque fonctionnaire embauché lequel pourtant est une charge… La consommation des administrations publiques ôtée, aboutirait à un PIB français fortement diminué et du coup à un ratio d'endettement énormément supérieur. Nous allons pour 2015 jusqu'à 94% d'endettement public garanti avec le PIB actuellement calculé, vous voyez le topo ! ?… C'est aussi un élément très important de la COMPTABILITE NATIONALE de chaque PAYS du monde, dans la mesure toutefois où ils sont capables de le déterminer. La plupart du temps faux, il est établi d'abord par Trimestres puis sommationné annuellement. Il est corrigé plusieurs fois ensuite durant les années suivantes. Le chiffre de 2010 ressort d'un tableau qui remonte aux années 50 grâce à une RETROPOLATION en euros d'anciens chiffres en Francs français qui, au passage, ont fait l'objet de bien des « rectifications » par rapport aux tableaux originaux que je possède, année par année depuis 60 ans, et par décennies depuis la France de LOUIS XIV… (Mon ancêtre fut « Contrôleur Général des Finances » de LOUIS XIV). Etudier le PIB suppose donc un travail de fourmi avec un excellent Professeur disposant des chiffres originaux. Tout ce que les médias donnent est pipé. Aucun étudiant ne peut s'y retrouver et les instructions sont justement de les empêcher d'y arriver ! Je l'ai vérifié à mes dépens en 1992…

On détermine ainsi d'une année sur l'autre (toutes les estimations intermédiaires sont « politiciennes » et sujettes à cautions diverses…) le pourcentage d'évolution qui sera baptisé croissance s'il est positif, ou récession s'il est négatif (1). Je vous affirme personnellement que cette évolution, quel que soit son signe, ne préjuge de RIEN ! Ni appauvrissement, ni enrichissement national obligatoires... La Croissance comme la Récession est un déséquilibre toujours difficile à gérer par des gouvernements dont la mission théorique est de rechercher la stabilité en fonction de la démographie. La CROISSANCE n'est donc nécessaire que du fait de l'augmentation de population. Les capacités de production, de consommation, de défense, etc… doivent être constantes, ou adaptées sur l'épargne (FBCF : Formation Brute de Capital Fixe), composante aussi du PIB. Toute hausse du PIB total doit résulter de la hausse des productions et de la productivité générale du travail qui, en France est l'une des meilleures du monde. Vous constaterez, comme moi, dans les tableaux aux liens ci-dessous, que les Importations sont supérieures aux Exportations et augmentent artificiellement le PIB alors qu'elles constituent une CHARGE. Encore un trucage…

La sommation des déficits extérieurs résultante, a conduit à une sommation des dettes extérieures de l'État qui a correspondu ces dernières années à dépenser dans la gabegie française plus de la moitié des réserves de changes de la BCE constituées principalement par l'excédent du Commerce extérieur de l'Allemagne, d'où ses « coups de semonces répétés » ! Raison, à mon sens principale, de la CONVOCATION SÉANCE TENANTE de SARKOZY à BERLIN, à peine élu, en Mai 2007, avant même les cérémonies…

Le PIB a servi d'instrument de sélection des États en lieu et place de l'ancienne comparaison avec la population, chère à Napoléon 1er, grand consommateur de conscrits, ceci jusqu'en 1992. Depuis il est devenu une référence rationnelle à des paramètres comme l'endettement, le déficit, les prix… Ce furent les fameux « critères de Moëstricht » (Maastricht) comme le plafond de 60% de l'endettement ou les 3% du déficit public total d'un Pays, relativement au PIB de la même année. Seuls la France, le Luxembourg et la Finlande respectaient les 5 critères de Maastricht en 1998. Pourtant en violation du Traité, J-C TRICHET a conduit, alors gouverneur de la BDF, à la mise en place d'une nouvelle monnaie jamais connue auparavant en 1999, inventée en 1996 : « l'Euro ». L'Italie avait déjà 120% d'endettement public total, la Grèce en 2002 pareil. Pourquoi nous en fait-on un plat en 2011 ? Pour nous amener à applaudir à l'abandon de notre souveraineté en 2013 avec le MES qui remplacera le FESF actuel et la « convergence » budgétaire contrainte sous la tutelle de l'Allemagne DANS les critères de Maastricht. Voilà comment on nous asservit.

Voici 6 liens en direction de mes chroniques 56,57,65,66,67,68 qui vous en diront encore plus :
http://www.radio-silence.org/Sons/2011/LMD/pdf/lmd20111116.pdf
http://www.radio-silence.org/Sons/2011/LMD/pdf/lmd20111102.pdf
http://www.radio-silence.org/Sons/2011/LMD/pdf/lmd20111019.pdf
http://www.radio-silence.org/Sons/2011/LMD/pdf/lmd20111005.pdf
http://www.radio-silence.org/Sons/2011/LMD/pdf/lmd20110615.pdf
http://www.radio-silence.org/Sons/2011/LMD/pdf/lmd20110601.pdf

1) Exemple de récessions : 1975 : 789.867 sur 1974 : 797.625 => - 0,97  % ; 1993 : 1.202.374 sur 1992 : 1.213.461 => - 0,92 % ; 2009 : 1.923,5 sur 2008 : 1.973,9 => - 2,55 %. Une récession en 2012 n'est ni nouveau ni forcément un mal. C'est possible. Mais pas forcément. J'ai répondu à mes étudiants en 1992 : « Le gouvernement, qui parle de croissance, vous dit ce qu'il veut, moi je vous dis la VÉRITÉ parce que je vous la dois : et nous sommes en RÉCESSION ! ». J'ai été le seul sur 500 Professeurs à dire la VÉRITÉ ! Tout le monde répétait l'antienne officielle au mépris de la définition… Les tableaux officiels suivants sur le PIB français vous le montreront officiellement calculé :
http://www.insee.fr/fr/themes/comptes-nationaux/tableau.asp?sous_theme=1&xml=t_1101
http://www.insee.fr/fr/themes/comptes-nationaux/tableau.asp?sous_theme=8.1&xml=t_pib_val

Question de « Béatrice (Frioul) » : « On nous classe AAA ou CCC. Aurons-nous moins de possibilité de rembourser si nous dégringolons (sur l'échelle) ? Ne peut-on pas emprunter ailleurs » ?
Ce jour Mardi 22 NOV 2011, MOODY'S affiche clairement qu'elle ne veut plus du AAA français. Cette agence de notation de l'ensemble des paramètres financiers, et économiques de la France, agréée par le gouvernement français et ceux des autres pays occidentaux, estime donc que la note de la France doit être abaissée car le risque politique et le risque de non-remboursement augmente, ou tout du moins le risque d'immobilisation des capitaux prêtés. La note risque donc de descendre à Aaa ou Aab avec une orientation à la descente donc connotée : Aab- par exemple… Le risque politique est grand car Paris n'arrive pas à sabrer dans les dépenses publiques et ne montre que des petites mesures fiscales d'augmentation timides des recettes avec une diminution lente des dépenses dans de faibles proportions. Le changement de majorité en  2012 n'améliorera rien et peut-être le détériorera… La « règle d'or » est faible, truquée et même pas en place. Le risque d'immobilisation des capitaux prêtés découle du fait prouvé depuis 30 ans que Paris ne rembourse chaque année qu'en empruntant ce qu'il rembourse, à nouveau,  et, en plus, emprunte encore davantage pour le courant annuel suivant ! ! ! Le risque de non paiement s'élève donc chaque année davantage et atteint maintenant un niveau tel que la faillite est bel et bien là ! Déjà PH. SEGUIN, alors Pdt de l'A.N. déclarait qu'il y avait eu un « problème évité de justesse », il y a donc 15 ans environ. Fr. FILLON à déclaré à juste raison en 2007  « qu'il avait hérité d'un État en faillite » ! Et il vient de noter que « le mot n'est plus tabou » ! Nous vivons au-dessus de nos moyens avec le secours de statistiques truquées. Désormais non seulement cela se sait, se voit, mais maintenant se déclare officiellement partout… La propagande interne essaye d'éviter que les Français le sachent car le gouvernement sectaire a peur des Français. La république n'est pas ce qu'elle déclare être. Suite de la réponse dans la réponse ci-dessous :

Question de « Danielle (Frioul) » : « On parle d'emprunts de sommes faramineuses, mais qui prête ? Qui a cet argent ? Qui est plus riche que les États » ?
En Août dernier 2011, l'endettement public total français s'élevait à 1.698,7 Mds d'Euros ! Soit 85,87 % du PIB de 2010 cité au début de mes propos. Soit encore… 93.92 % de la masse monétaire française (M3) en circulation ! ! ! Et cela s'aggrave de jour en jour ! ! ! Croyez-vous que les étrangers qui prêtent ne voient rien ? Personne n'a dailleurs cet argent qui n'existe pas et qui est INVENTE EX NIHILO par le système bancaire à partir de presque rien : moins de 2% de monnaie de la Banque centrale. Tout est inventé par le système ancien dit : « Loans make deposits » mais cela c'est tout un cours à part, un autre jour… Les banques veulent le pouvoir depuis plus de 2 siècles : voyez ma chronique dernière FV 68…

Nous empruntons sur les marchés primaires intérieurs et extérieurs via « l'Agence France TRÉSOR » ( http://www.aft.fr ), charnière entre la BDF, le Trésor Public, le ministère des Finances… Par le biais des banques, nos dettes se retrouvent réescomptées par la BCE qui contourne les Traités, et qui se couvre par la possibilité de les revendre au FESF ? Bientôt au MES (Mécanisme Européen de Stabilité) présidé par le Pdt du Conseil Européen Herman VON ROMPUY le 1er Janvier 2013 qui aura immunité diplomatique totale et s'ingérera dans le gouvernement budgétaire de la France sans que ni notre Parlement ni nous-mêmes puissions y faire RIEN ! ! ! La boucle est bouclée : tous les prêteurs ont été utilisés, c'est fini…

N'importe qui de puissant financièrement peut maintenant faire sauter la BDF ( en faillite déjà en 1985 ! ) et la BCE ! Je vous rappelle Georges SOROS qui fit sauter la Banque d'Angleterre ! Je résume mais c'est cela… Voyez mes chroniques FINANCES-VÉRITÉS… Cela fait déjà plus de 100 ans que des firmes sont à elles seules plus puissantes que les États, et dernièrement plus riches en CASH que les USA depuis Août dernier !

Question de « Michel (Marseille) » et « Danielle (Frioul) » sur le CAC 40 : « Je n'y comprends rien, qu'est-ce que c'est, comment ça marche ! » ?

Le CAC 40 date de 1984, publié en 1987 et il fut prétentieusement copié sur le DOW JONES et ses fameuses « BLUES CHIPS ». La propagande de l'époque disait que le CAC 40 était au même niveau (environ 2.700). Depuis le DJ est monté trois fois plus haut et le CAC 40 est au même niveau 25 ans plus tard… DE GAULLE disait que la politique de la France ne devait pas se faire à la Corbeille. C'est une des rares fois où il eu raison ! Il ne faut pas confondre le marché secondaire avec la POLITIQUE véritable. Quand les politiciens se déclarent liés par les marchés c'est qu'ils ont fait trop de « conneries » ! J'ai vécu depuis mon enfance dans le milieu boursier par mon Père, fondé de pouvoirs de la Charge CHEVREUX DE VIRIEU. Jusqu'à la réforme de 1984, le CAC était l'indice GENERAL de la Cie des Agents de Changes, Officiers ministériels. Il donnait chaque jour l'indice ramené à la base 100 d'origine de la valeur totale (capitalisation) de toutes les actions cotées de toutes les sociétés. Le marché était librement ouvert à tous les particuliers qui pouvaient s'y rendre dans les Bourses des valeurs : Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes et Nancy. De nos jours : le marché de l'or est supprimé, les cotations sont faites par le New-York Stock Exhange qui a phagocyté l'EURONEXT qui a détruit les charges d'Agents de changes et la Bourse de Paris. Les salles de marchés des banques sont fermées au Commun des Mortels ! Les banques interviennent pour leurs comptes alors qu'elles devraient rester simples intermédiaires et spéculent contre les gens ! Voici des liens qui vous renseigneront pleinement :
http://www.caef.bercy.gouv.fr/collections_SAEF/archives/autres_fonds/cac_presentation.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Compagnie_des_agents_de_change
http://fr.wikipedia.org/wiki/CAC_40
http://bourse.lesechos.fr/bourse/



vendredi 26 août 2011

Maîtres et serviteurs...

CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 62

24 Août 2011


Madame, Mademoiselle, Monsieur,  Auditeurs de http://www.Radio-Silence.org , dans ma dernière chronique N°61 du 10 Août, je vous ai parlé du SIDA économique et social. Maintenant je vais vous parler CRÛ ! Nous ne sommes plus malades, nous sommes morts, morts en tant qu'hommes libres, majeurs, souverains de nos vies. Nous subissons maintenant le pire régime politique possible, celui de la tyrannie, celui de :


« L'ESCLAVAGE OFFICIEL !… »


1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :

« MAÎTRES et SERVITEURS !… »

Tolstoï est dépassé… Les 7,6 millions de « maîtres » subalternes directs, indirects, discrets ou officiels, leurs « maîtres » supérieurs hauts fonctionnaires, les « Sages » dirigeants politiques consacrés par les urnes comme les osties sortant des ciboires, toujours si souriants, si gentils, si attentionnés, de la Nomemklatura, ont dépassé depuis 25 ans ce concept archaïque du trajet, où le maître fouette aussi bien son cheval que son serviteur. Le grand art actuel consiste à entretenir l'illusion de la liberté chez leurs esclaves en achetant leurs complices les « maîtres » appelés fort justement : « fonctionnaires », puisqu'ils font fonctionner la machine infernale oppressante et que l'ami des souffrants Loïc LE RIBAULT qualifiait de « Fonctionnâtres ».

C'est ainsi que nous voyons parader les ministres sortant de l'Elysée et leurs « hauts fonctionnâtres » sous l'œil souriant et complaisant des pseudos « journalistes », gourmands des sourires, ce matin encore sur BFM TV, d'une Ségolène « ROYAL » déclarant que les bénéficiaires du « bouclier fiscal », et donc des chèques de ristournes du Trésor Public depuis 4 ans, devraient rendre l'argent au Trésor Public. Elle ajouta même, sous-entendu, qu'ils achèteraient alors une relative clémence provisoire en attendant l'inévitable enfer fiscal auxquels elle les voue. Et elle recueillait facilement l'assentiment de tous les complices médiatiques du système socialo-soviétique dominant l'Occident, l'Europe et la France. Elle fait partie des socialo-soviétiques de gauche pour lesquels les ponctions dans les poches travailleuses ne sont jamais assez lourdes. L'ancien « Patron » soviétique Georges MARCHAIS déclarait même qu'il ne voulait rien laisser aux esclaves, acceptant cyniquement de profiter personnellement du « système » de désespérance des « masses »… Ce matin, ce que je regardais, c'était : « LA PRAVDA » en direct, avec ses « speakers », et surtout ses « speakerines » calibrés…

Ainsi, le fait de contraindre par la force tous les non fonctionnaires à vider leurs poches de leurs revenus et épargnes disponibles est un dogme socialiste qui ne souffre plus aucun frein ni même remise en cause. Les non fonctionnaires n'ont aucun droit sauf d'être volés par leurs maîtres : les fonctionnaires. Lesquels maîtres, au fouet monétaire centimétrique implacable, servent leurs dirigeants pour garder leurs privilèges de « maîtres ». Ils n'ont évidemment pas la moralité d'un BEN-HUR… D'ailleurs le « Petit Père du Peuple » (J. CHIRAC) n'a-t-il pas déclaré officiellement qu'aucune morale ne devait passer par-dessus les lois votées par ses frères trois points dans un « Parlement » où il est devenu impossible de parler librement ?

On vit ce matin le défilé des ministres socialo-soviétiques de droite souriants à l'énoncé des prochaines ponctions « inévitables » sur le pauvre peuple laborieux et esclave, tandis que les « riches » du pays tentaient d'acheter leur tranquillité depuis 3 jours en réclamant eux-mêmes leur propre taxation à condition qu'elle reste modérée. De toutes façons, le vol total des personnes privées les plus riches de France ne permettrait pas le renflouement des finances publiques, sauf partiellement et très provisoirement. Alors, tout le monde sera taxé avec le souci socialiste de rendre l'impôt alourdi non létal. Voilà le contenu enfin dévoilé du fameux « PLAN ORSEC » sarkozyste annoncé le 11 Août pour la fin du mois. Ce plan « ORganise les  SECours » à l'ETAT-PROVIDENCE socialo-soviétique, et fasciste au sens propre de la définition mussolinienne, CONTRE les travailleurs non fonctionnaires qui, eux, sont réduits à l'état d'espérer toucher un salaire généré par leur travail, que l'Etat ne leur laissera que diminué de ses ponctions sans cesse alourdies. Ceux qui luttent encore contre le prélèvement fiscal systémique et systématique « à la source » sont lourdement pénalisés de majorations pour retards de paiements s'ils n'arrivent pas à payer dans les temps imposés, après avoir touché ce qu'ils pouvaient encore… C'est bien l'esclavage cela quand même !

Aucune des vraies « réformes » nécessaires n'est évoquée. Voyez-vous dans les entreprises en difficulté le PDG décider d'aller voler dans la poche de toutes les personnes extérieures à l'entreprise les sommes nécessaires au renflouement de ses comptes en faillite ? Oblige-t-on, par gendarmes si nécessaire, les actionnaires à se saigner à blanc pour souscrire une augmentation de capital rendue nécessaire par la gabegie du PDG et de ses cadres qu'il est interdit par leur loi de spolier de leurs rentes et prébendes quand bien même il seraient remerciés ? Non, les comptes doivent être remis en ordre par de réelles économies, des recettes honnêtes, c'est-à-dire non contraintes, et nouvelles, doivent être trouvées ou l'entreprise doit fermer. Voyez-vous l'Etat admettre de devoir FERMER ? Voyez-vous l'Etat et ses collectivités subsidiaires « solliciter » de la bienveillante compréhension des travailleurs une « souscription » libre pour tenter de faire une partie de l'effort en augmentant le capital social ? Voyez-vous, en somme, les maîtres et leurs cadres dirigeants proposer de licencier une partie notable du personnel des maîtres fonctionnaires subalternes pour tenter de renflouer le navire qui coule en complément de l'effort de souscription des travailleurs esclaves ? NON ! L'ETAT continue à vivre aux dépens des esclaves sans remettre en cause aucun des privilèges des fonctionnaires ni son « surpoids ». Les esclaves paieront ou crèveront, la belle affaire, n'est-ce pas ! ?

J'avais ici prévu de vous parler du Code d'Hammourabi ( plutôt : HAMURAPI), recueil des plus anciennes lois écrites trouvées. Lequel fut réalisé sur l'initiative du roi de Babylone, Hammourabi, vers 1730 avant Jésus Christ, soit il y a 3741 ans… Ce texte ne répond pas à l'acception légaliste du droit républicain (Codes français), mais correspond plutôt au droit jurisprudentiel (Common law britannique) : il recense les arrêts de justice du roi. Le Roi règne en s'efforçant alors de régler les conflits entre les individus sans jamais s'y impliquer ni comme percepteur ni comme pourvoyeur de fonds... Mais à quoi bon ! ? La clef de notre problème actuel réside dans le constat d'évidence que la pseudo « République » en vigueur, le pire des régimes politiques, a déjà engendré, comme prévu, la tyrannie depuis 30 ans. Et là, le « système » socialo-soviétique en vigueur s'implique, lui, toujours à fonds : il prend tout en ne laissant que l'illusion, et ne redistribue que ce qu'il ne prend pas d'abord pour lui-même. Le « système » coûte plus cher que ce qu'il apporte de service et ceci sans aucun bénéfice pour le Peuple. C'est un CANCER. Il n'y a plus de Justice.

Conclusion : Dès lors, l'espoir du peuple ne réside plus que dans une seule brèche possible : refuser de payer un centime d'impôt avant que le système ne soit mort. C'est donc la révolte à la Gandhi où la NON VIOLENCE est bien plus forte que la violence. Esclaves ! Cessez de travailler et de payer dans un système où les entreprises sont autant de percepteurs du « système », ce qu'on appelle l'oligarchie. Troquez entre vous et ne déclarez plus rien. Ne payez plus rien sauf le prix du produit à votre Prochain, sans taxe aucune pour aucun parasite. C'est le seul espoir. Couper les vivres au « système » ! Jésus-CHRIST à dit : « Il suffit de dire NON » !


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :

« L'ESCLAVAGE FINANCIER !… »

C 'est l'esclavage par les « AGIOS ».  

La sommation des « agios » financiers dépassait déjà l'ensemble des capitaux empruntés publics et privés il y a 30 ans ! De plus, et je vous en ai déjà parlé dans mes chroniques précédentes, ils dépassaient même, à eux seuls très largement la masse monétaire en circulation et ceci rien qu'en France. Ce qui fait que les banques ont collectivement fait faillites multiples et donc cartellisé leur « système » après avoir marginalisé la Banque Centrale Nationale. En somme, elles ont dire « Merde » à l'Etat en 1986 ! Elles ont pris le pouvoir après avoir vu la BDF faire faillite en 1985.

Quand ces « AGIOS » réclamés aux centimes près par les créanciers dépassent non seulement l'ensemble de la monnaie disponible mais également les capitaux empruntés, cela démontre que nous avons affaire à des SHYLOCKS, à des vampires qui transforment leurs prêts en moyens de vous tuer après vous avoir pressés comme des citrons. Ce sont des usuriers de la pire espèce celle des gangsters, des mafieux, des sadiques. Quand, en plus, le régime politique qui devrait vous protéger non seulement les aide, eux, et vous enfonce, vous, dans l'obligation d'emprunter en vous reprochant d'en mourir, nous avons affaire à une mafia qui ne veut qu'une seule chose : asservir les Peuples.

Comme certains auditeurs, stupéfaits de ma crudité de langage qu'ils qualifieront peut-être même de cruauté voire de délire justifiant mon incarcération en asile psychiatrique, je vous indique ici un lien vers un discours bien plus dur que le mien et « qui appelle un chat, un chat », Max Keiser clame :  

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ZlDnbSuet2Q

 « This is a war. This is World War III. This is the new war using financial derivatives. And the objective is to preserve the speculative rates given to the Wall Street bankers of zero percent »… Et j'ajoute le maximum de pour cents sur les dos publics et privés, comme autant de coups de fouets et de biopsies IN VIVO de livres et de livres de chair !…

L a plupart des Etats occidentaux et le Japon sont en faillites, nous dit Pierre LECONTE qui ajoute : « Cette  fois-ci, avec leurs faillites avérées, l'on s'approche de la fin du système monétaire européen et occidental. Les vaines tentatives pour dissimuler cette situation font long feu les unes après les autres. Ni le pseudo « sauvetage » de la Grèce et de la « monnaie unique européenne » sans réforme structurelle de la zone euro, ni le relèvement de la dette publique US sans coupes drastiques dans les dépenses publiques, ne changeront l'évidence que les politiques monétaires et budgétaires irresponsables menées depuis des décennies, par les banques Centrales et les Etats concernés, ont abouti à un endettement jamais atteint dans l'Histoire, à la récession économique généralisée provoquant un chômage de masse débridé ».

Dans une relation des plus pertinentes, Adrian ASH (24hGold : bullionvault.com), nous rappelle la formidable leçon d'un des plus grands « défauts » ( = faillite d'Etat ) de l'histoire, celui de l'Angleterre d'EDOUARD 1er : « Il fut vaincu par le Roi de France PHILIPPE IV « LE BEL » en 1294. Voulant sa revanche, il s'allia à des ennemis déclarés de la famille des Valois comme les banquiers RICCARDI de Toscane. Philippe IV qui tenait les affaires « ROIDEMENT » confisqua alors tous leurs biens en France, ce qui les empêcha de prêter quelque « trésor de monnaies concrètes » que ce soit à EDOUARD 1er. Bien vu… Mais EDOUARD chercha du secours financier chez les FRESCOBALDI, cette fois de FLORENCE, lesquels devaient être fort mal remerciés en 1311 par son fils et successeur, mais passons. Ces banquiers connurent donc presque deux décennies de prospérité sur le dos de la Couronne d'Angleterre qui leur concéda, obligée, le commerce de la laine. On rapporte que déjà ( il y a donc 7 siècles ) leurs conditions de prêts très agressives (agios élevés !) leur permettait potentiellement de couvrir toute la dette publique anglaise de l'ordre de 150.000 Livres tournois. Ils laissèrent donc EDOUARD faire faillite en 1340 avec une dette de DIX FOIS ses revenus annuels ! On assista alors à la toute première « crise » internationale de la dette qui entraîna alors les faillites bancaires des PERUZZI et des BARDI : 1343-1346. Le paradigme de Carlo CIPOLLA qui implique que l'excès de crédit destiné à consolider des situations économiques non viables aboutit à la faillite des créanciers dès lors que les débiteurs dilapident le crédit dans des opérations sans contreparties économiques certaines ». C'est ce que le dicton américain actuel énonce de la manière suivante : «  A new dollar after a bad dollar become a new bad dollar ». Ce paradigme se vérifie donc avec la « crise de liquidités » des années soixante dix, couverte par un afflux de crédits sans base monétaire par des banques piégées, aboutissant à la crise des « Pays émergents » de 1982 puis à la « crise » des faillites publiques résultant de politiques irresponsables en 2008-2013. Le « système » est devenu à ce point cartellisé que les banques et les Etats dépendent tellement les uns des autres, qu'ils s'entendent pour agioter les privés à des taux usuraires de l'ordre de 20% l'an tandis qu'ils se renvoient les balles à 3 %, se soutenant discrètement  à zéro pour cent ! Les Rois médiévaux devaient eux payer du 14%, du 20%, voire du 40% et en monnaie sonnante et trébuchante, eux !… J'ai dailleurs parlé dans mon histoire de la monnaie de la sinistre année 1295 en France.

L'année 2011 en France voit la France la plus exploitée avec des taux de plus de 4%, de tous les Pays notés encore AAA. La France socialo-soviétique de gauche et de droite rassemblées par SARKOZY n'est donc pas rose et ne « vaut pas son pesant d'Or » comme le souligne un article du MONDE du 22 Août…

Notons au passage, qu'hier 23 Août, j'apprenais, comme vous sans doute, avec un sourire narquois que le malheureux « Président » de STANDARD & POOR's Mr Deven SHAMALE est remplacé, valeur 12 Septembre par un arrivant de la City Bank Mr Douglas PETERSON. Saluons le courage suicidaire de celui qui a osé tenter de clamer au monde la Verité en abaissant la note des USA. Ne doutons pas que cette note revienne «  à la normale » sous peu… Comme disait Guy BEART : « Il a dit la VERITE, il devait être exécuté » ! Pendant ce temps, on s'en serait douté, les Britanniques refusent la taxe Sarkozy-Merkel qui est donc mort-née…

Conclusion : Les monstres bancaires, comme étatiques, s'entendent au XXIème siècle sur le dos du « Bon Peuple » ravalé au rang d'esclave de l'antiquité. Les fonctionnâtres disposant, eux, du rang subalterne de citoyen manipulé, manipulant les esclaves, pour le compte de l'Oligarchie sectaire. A tout prendre, je ne les envie pas ! Allons, un peu de courage : démissionnez !


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« L'ESCLAVAGE ANTI-MONETAIRE !…  »

Un vieil adage proclame que : « Toute faute avouée doit être à moitié pardonnée ».

Malheureusement les fautifs socialo-soviétiques franco-européens n'avouent aucune faute commise par eux mais seulement la vérité d'évidence que proclame Jacques DELORS: « L'Euro et l'Europe sont au bord du gouffre » ! Rien moins que le père, écouté de sa fille candidate à la présidentielle 2012, il ajoute que les Etats-membres n'ont que le choix de coopérer ou de transférer encore plus de pouvoirs à l'Union » ! Socialo-soviétique déjà, tout ce monde politicien de gauche et de droite allié, veut carrément ressusciter l'ex-URSS. Comme si la sommation des dettes consolidées allait changer quoi que ce soit au ratio incontournable : DETTES sur MASSE MONETAIRE, lequel restera de toutes façons toujours aussi impayable. Mais ils veulent justifier l'injustifiable : l'abandon de toute souveraineté de la France et du peuple français.

Dans ces conditions, la question posée par Thomas DI LORENZO et reprise par 24hGold le 23 Août, hier : « La FED est-elle un traître ! ?»,  jette une clarté crue sur la statue de la monnaie qui change la Vénus de MILO en vieille décharnée et vérolée à faire peur. Encore un qui a dit la vérité et qui est exécuté : le Gouverneur texan Rick PERRY. Il a osé déclaré dans un discours de candidat républicain à l'investiture pour la Présidence des USA que « l'impression massive de billets par la FED était un danger pour l'économie et un acte de trahison » ! Bigre… Aussi sec plus personne ne le soutient.

C'est que, l'article 3 de la Constitution originelle des Etats-Unis d'AMERIQUE qualifiait de trahison toute aide ou confort à des ennemis fusse par simple procuration. Ce qui condamnait Abraham LINCOLN, lequel fit donc modifier ladite Constitution pour réduire la trahison à la seule critique de son gouvernement ! Pourquoi ? Parce qu'il s'est mis à faire la guerre aux Etats du SUD pour les empêcher de regagner leur indépendance ! Lui et ses généraux étaient donc tous des traîtres au sens initial de la Constitution. Je note pour ma part que c'est pour empêcher l'hémorragie d'Or et d'Argent pour le trésor nordiste que déjà le NORD fit la guerre au SUD dont les ressources minières étaient supérieures. Notons encore que l'existence du dollar fédéral, monnaie unique de la fédération créé en 1785 n'a pas empêché cette guerre civile 75 ans plus tard !

Bref, Rick PERRY a soulevé un lièvre de taille : c'est bien l'impression de billets en masses illimitées qui a permis les deux guerres mondiales de 14-18 et 39-44 en sus de la guerre de sécession et de la post guerre dite « froide » depuis 45. Sinon aucune de ces guerres n'aurait pu être menée en monnaie sonnante et trébuchante de masse insuffisante pour payer les armements et les soldats. C'est donc sans l'accord des Peuples, contre eux et dans le but de les asservir que l'avalanche de monnaies dématérialisées a en outre enrichi les puissances bancaires et d'armements ! Lorsque KENNEDY est assassiné, aussitôt la reprise des dépenses d'armements pour le VIET NAM est financée par les banques indépendamment des possibilités du trésor.

Là-dessus, grâce à la FED les Présidents des USA, comme leurs suiveurs européens avec la BCE, sont en mesure de conduire des guerres sans le consentement des Parlements et des Peuples et même contre eux, donc de se conduire en dictateurs ! Ceci est dailleurs illustré par le Patriot act aux USA et les modifications continuelles de la Constitution française sans l'avis, ni encore moins le consentement, des deux Peuples.

Quand Alan GREENSPAN (LE TRIBUNE d'Hier 23 Août) crie que « si les Etats-Unis vont mal en ce moment c'est la faute à l'Europe », il n'a pas tort non plus ! Je dispose de toutes les preuves, dont je vous ai déjà donné de larges extraits dans mes chroniques précédentes, que les banques commerciales, actuellement soutenues par les Banques Centrales européennes et la BCE surtout, ont créé des masses inouïes de faux dollars US en comptes ouverts à Paris p.e. depuis 1970 environ. On les a appelés les euro-dollars ( dollars créés en Europe par des banques européennes ) bien qu'ils s'agissaient plus précisément de xéno-dollars et pour l'essentiel destinés à « payer » nos factures pétrolières à des prix insensés imposés par le cartel de l'OPEP, dont Harold WILSON, souvenons-nous en à tout jamais, se solidarisa ipso facto après la découverte de pétrole britannique en Mer du Nord ! C'est donc bien les banques européennes qui imposèrent aux USA de créer des contreparties économiques à plus de 30.000 Milliards de faux dollars inventés en Europe et dont un solde introuvable de 9.000 Mds de $US ( 9 Trillions ) fit scandale au Sénat américain il y a peu !

Résultat : tandis que l'objectif du LIBOR est de se rapprocher de zéro, objectif servit par l'émission de quelques Milliards de FS par la BNS récemment, l'EURIBOR, lui, grimpe allègrement, renchérissant les agios sur l'Europe continentale…

Conclusion : Quelle qu'en soit l'excuse, l'émission totalement débridée de monnaie fiduciaire entraînant à son tour une émission encore plus illimitée de monnaie scripturale à déconnecté totalement les peuples de toute possibilité de freiner leurs gouvernants dans la poursuite de leur mythomanie et, plus grave, de leur mégalomanie qui relègue « le DITACTEUR » de Charlie CHAPLIN au rang d'apprenti naïf.


vendredi 15 juillet 2011

J'AI FAIT un RÊVE :

CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 58

Madame, Mademoiselle, Monsieur, ma chronique d'aujourd'hui pour Radio-Silence.org a traité du nécessaire rétablissement de l'honnêteté dans la vie économique par le retour à l'usage chrétien dans la vie sociale. De manière évidente, il a été voulu, décidé, organisé et réalisé en cinquante ans un renversement complet de la vie sociale en France : selon un sondage récent, elle était chrétienne à 85% en 1961 et les mauvais comportements de certaines franges sociales étaient alors marginalisés, réduits au silence : l'usure de quelques uns et la Charia de quelques autres. En 2011, ces méchants se sont vengés de siècles d'asservissement à l'ordre moral : ils ont emporté 85% des comportements, autrefois sains, dans l'immoralité, engendrée par l'amoralité publique, et réussit à réduire l'usage chrétien à 15%. Alors :


« J'AI FAIT UN RÊVE !… »


1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1,

« Le RÊVE de la STABILITE ECONOMIQUE retrouvée »

En 2011, l'instabilité fait tanguer le navire européen et les conteneurs les plus gros entraînent les petits vers l'abîme. Les gros essayent de se sauver en écrasant les petits. Pas joli tout ça…

On voit bien que l'effort normal d'un gouvernement honnête consiste à atteindre la stabilité. Non pas à encourager et entretenir l'instabilité pour le bénéfice des usuriers et des spéculateurs ignorants du sens profond honnête de la « spéculation », laquelle est fondée sur un risque vrai, aujourd'hui entièrement nié par des procédés douteux.  

L a conjonction des évolutions démographiques, avec les emplois des trois grandes catégories anciennement connues (Plébéiens, Equites, Patriciens), la fiscalité pesant sur le patrimoine de chacun, la production des biens et leurs transformations, les prix, la quantité et la qualité monétaire, la sobriété de l'emploi des ressources naturelles, l'offre de services et de loisirs, la santé, constituent un effort qu'un gouvernement soucieux du bien public doit réussir. Une fois atteinte, la stabilité, exige une attention soutenue du gouvernement pour la maintenir.

Voilà donc un gouvernement européen qui veut instaurer une fiscalité supplémentaire aux fiscalités nationales, et locales ! Qui veut aussi forcer tous les « Gentils-Membres » à maintenir leurs frontières grandes ouvertes à tous les produits et services arrivant de Pays non membres et souvent à grands frais des antipodes ! Qui favorise donc le dumping économique, monétaire, financier et social des Pays étrangers, provoquant le chômage grandissant en Europe ! Qui veut écraser les méchants membres rebelles sous son poids totalitaire !

Voilà donc un gouvernement français qui traite toute opposition à cette politique imposée de sotte, crétine, imbécile, bref, folle ! Qui creuse les déficits collectifs dans des proportions jamais vues ! Qui augmente les dettes publiques avec pour conséquence l'augmentation des dettes privées ! Qui encourage l'usure, toutes les perversités, la pression totalitaire !

Il est clair que l'instabilité comme but et finalité, sous des prétextes idéologiques, est criminelle et cause de grands malheurs à nos Peuples !

En regardant nos gouvernants et ceux qui aspirent à augmenter leurs pouvoirs déstabilisants et appauvrissants du Peuple, alors, oui, j'ai fait un rêve : celui de l'arrivée providentielle au poste de CHEF de l'ETAT en 2012 d'un HOMME dévoué au BIEN PUBLIC qui gérerait « Les AFFAIRES » en « BON Père de la famille française ».


LMDM


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2

« Le RÊVE de la STABILITE FINANCIERE retrouvée »

La stabilité des règles financières et fiscales à très long terme garantit la Paix sociale.

Les fluctuations permanentes des taux d'intérêts sur toutes les durées aboutissent à des situations économiques invivables comme celle du fameux « STOP and GO ». Le maniement des taux par les B.C.N. (Banques Centrales Nationales) comme arme contre les dérapages récessionnistes ou les emballements expansionnistes par les prix, l'inflation ou la déflation monétaire, est une absurdité. Elle est imposée par les usuriers qui ont intérêt (avec jeu de mot) à ces changements aryhtmiques à cycles et contre-cycles. Tous ces « ajustements » par les taux permettent la tonte délibérée des moutons… jusqu'au sang !

De toutes façons, le fait d'imposer des intérêts de 25% l'an à un Pays comme à un Particulier, une famille ou une localité, qui ne s'enrichit qu'avec de la peine de +2 ou +3% dans les bonnes années, et qui actuellement connaît la récession et un chômage de 40% des jeunes, représente de toute évidence un acte ouvertement commis de tentative de confiscation de ses biens propres par chantage : si tu payes 25%, nous limiterons là nos exigences, disent les usuriers, sinon on te prends tout ! Que l'usurier soit privé, semi-privé ou « public », la belle affaire ! S'il est « public », c'est une déclaration de guerre au débiteur, s'il est privé c'est un usurier amoral, voilà la seule différence qui réunit leur immoralité commune.

Que je sache, l'usure est un crime, le vol est un crime, le chantage aussi... Et de toutes façons, cet acte n'est pas Chrétien. Tous ces crimes sont autant de péchés ! C'est si vrai que la fameuse pièce, que j'ai apprise par coeur au collège entre 1959 et 1963, de SHAKESPEARE : "Le MARCHAND de VENISE", est aujourd'hui interdite dans les établissements d'enseignements français car elle montre l'usurier juif SHYLOCK en train d'exiger en procès  la livre de chair prévue au contrat, de son débiteur en défaut ! Je possède ce livre que je reçu en PRIX d'anglais en fin d'année scolaire ! Comme quoi il y a bien eu un changement radical avec disparition programmée de la Chrétienté de France, remplacée par les extrémistes d'autres religions de 1963 à 2011 ! Et l'USURE n'a rien à voir avec le "capitalisme" !... Les Grecs sont bien les victimes... d'une INJUSTICE que combattit SAINT-LOUIS IX avec son Edit de 1269.

Le retour à la STABILITE financière exige la stabilité des taux d'intérêts dans une fourchette comprise entre ZERO et le taux d'augmentation d'une année sur la précédente de l'ensemble du patrimoine du pays, ce qu'en France nous chiffrions, avant le passage à l'Euro dans les Agrégats financiers P1 et P2 et que la presse à appelé « la FORTUNE des Français » (43.000 Mds de FF en 1999). Car il est impossible, honnêtement, de prétendre prendre plus que la valorisation par le débiteur des capitaux empruntés par lui, et c'est même idiot, car impossible, sauf à vouloir transformer le prêt en instrument d'asservissement confiscatoire. Ce qui se voit clairement avec l'affaire grecque… Des Chrétiens n'abuseraient pas ainsi de la situation !

Cette stabilité financière exige également entre ces deux butoirs, une hiérarchie des taux, proches de zéro à court terme et du maximum défini ci-dessus, à long terme.

La stabilité financière retrouvée aura une conséquence fâcheuse pour les escrocs, mais salvatrice pour les honnêtes gens : la restauration d'une hiérarchie sociale basée sur le mérite, lui-même conséquence visible du savoir-faire professionnel et privé comme de la gestion saine, « en bon père de famille », des capitaux empruntés, pour l'enrichissement mutuel des capitalistes et des travailleurs. Le sens des responsabilités des prêteurs comme des emprunteurs, sera aiguisé et ne requerra plus l'inflation des textes légaux et réglementaires, et même permettra un retour à la stabilité juridique, complémentaire…


LMDM



3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3

« ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM »

« Le RÊVE de la STABILITE MONETAIRE retrouvée »

La presse allemande enterrait la Grèce ce 22 Juin 2011 et éditait le certificat « POST MORTEM » de l'Euro, au portrait encadré de bleu européen, barré d'un crêpe noir : 
L e très influent DER SPIEGEL titrait ainsi : «  Progrès ou destruction ? L'Union monétaire devient le plus grand danger pour l'avenir de l'Europe : l'Euro enchaîne des économies nationales qui ne s'accordent pas. Pourtant, les hommes politiques misent sur des programmes d'aide toujours nouveaux. ES IST DER FALSCHE WEG ! (C'est le mauvais chemin !)

L ' EUROLAND, le grand "parc d'attraction" couvrant 14 Pays en 2011, de la MONNAIE réputée abusivement, mensongèrement, idéologiquement : UNIQUE, est un SOUS-ENSEMBLE supposé ( en plus ! ) de l'UE à 27 Pays. Le très officiel drapeau de cette UE est imprimé sur les Billets de la BCE, afin de travailler à installer cette confusion dans l'esprit des Peuples européens. C'est une escroquerie conçue et organisée...

A partir de là, il est évident que les Grecs, qui ne se sont laissés intégrer qu'avec retard dans cette COQCYGRUE, ont des raisons sérieuses de rancoeur envers les créateurs, moteurs et mastodontes de l'UE : les 6 piliers du Traité de Rome : la France, l'Allemagne, le BE.NE.LUX., l'Italie.

Petite histoire personnelle : un jour que je me trouvais à ANTWERPEN en 1980, un néerlandais, « prophète en son pays », comme on dit, me déclara, très sincèrement convaincu : « Le jour où les mastodontes comme la France, s'empareront de l'Europe, il la détruiront ». Pour lui, l'Europe c'était le Bénélux (Belgique, Nederland, Luxembourg) trois petits Pays, équilibrés entre eux… Il ajouta, tout triste, « C'en sera fini de nous ». A l'époque, les panneaux routiers étaient verts sur nos autoroutes comme ceux des USA. Ceux du BENELUX étaient bleus. C'est la seule chose que nous avons reconnue au BENELUX, en contrepartie de sa digestion dans l'Union Européenne des « mastodontes »… A l'époque je me suis demandé pourquoi tous nos panneaux devenaient bleus   C'était parce que le plan occulte allait faire du bleu le fond du drapeau européen, tiens  …

Entendez-vous, comme moi, ces contradictions terribles ? « Les Nations, la Souveraineté, seraient la guerre », déclara Mitterrand. La « monnaie unique » garantirait la paix, la main dans la main avec le Chancelier KOHL ! Pourtant, à peine 15 ans après l'accouchement d'un Euro révolutionnaire en rupture totale avec le passé, les évidences des conflits se révèlent au grand jour. La guerre menace… Et c'est justement la « monnaie unique » qui en est la cause ! La guerre, en 2011, se déclare à coups de chantages à la saisie de tous les biens nationaux chez le Pays débiteur, via des taux d'intérêts confiscatoires de 25 puis même 30% l'an ! En d'autres temps, le gouvernement grec ainsi menacé aurait pris acte de cette déclaration de guerre des autres membres de l'EUROLAND et aurait lancé ses divisions de chars d'assauts contre eux. L'EURO est devenu très vite, beaucoup plus vite encore que l'on pouvait le craindre dès sa conception en 1996, un instrument de déstabilisation de l'Europe, et bienheureux sont les Pays qui ont refusé de s'y intégrer, eux restent en paix et recueillent les fruits économiques de leur choix judicieux d'indépendance monétaire…

Chacun doit rester Maître chez lui, voilà la règle qui favorise la PAIX entre voisins aux rythmes, productivités, productions et consommations différentes. Chacun doit avoir sa monnaie. Les droits de douanes assurant l'équité économique et sociale contre toutes les tentatives de DUMPING monétaire, lesquelles ravagent l'EUROLAND du SUD comme du Nord. L'Allemagne est en récession de – 4,50% l'année dernière, la France de -2,7% ! Depuis des années nous crions « casse-cou » aux parents communistes comme Jean MONET, de nationalité soviétique accordée par STALINE, fondateurs de l'UE qui, au lieu de protéger leur bébé, l'ont livré à tous les vents dominants le monde et donc à la mort rapide.

Nous avons connu une monnaie commune : la pièce de 20 F–Or en Europe entre Pays différents : l'UNION LATINE. La monnaie – Or commune survécut aux guerres et n'en fut pas la cause. Par contre, la monnaie unique en Amérique du Nord fut la cause fondamentale de la guerre de sécession. Les Etats du SUD reprirent leur autonomie monétaire parce qu'ils voulaient sauver leur mode de vie différent de celui des Nordistes. Or le NORD ne put admettre cette amputation qui le privait de la suprématie économique et financière dont il avait besoin pour prendre le contrôle du monde, 60 ans plus tard en 1944 à BRETTON-WOODS. Le même scénario est en train de se reproduire en Europe et la cause en est d'abord la volonté idéologique d'imposer une monnaie unique inutile et dommageable.

Avant que la guerre et ses atrocités ne ravage à nouveau le continent européen pour cause de monnaie unique au Sud asservie au Nord, il est plus que tant de revenir à une monnaie commune laissant libre les monnaies composantes : l'ECU composite. Bref, il faut refaire du SME BIS actuel entre l'EURO et les 13 autres monnaies européennes, un SME général entre 27 monnaies… comme avant 1999 et cet avatar idéologique, dommageable à tous, et dangereux pour la stabilité non seulement monétaire de l'Europe, mais aussi dangereux pour sa stabilité tout court. La stabilité passe par le respect de la diversité, y compris dans le domaine monétaire.


LMDM

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CONCLUSION générale : Les Révolutions capitalo-communistes usuraires et totalitaires portées par le rêve commun aux deux fractions militantes extrémistes, juive contre les Juifs comme contre les Chrétiens et Islamique dure encore contre les Chrétiens mais aussi contre les Juifs, nous a littéralement sidérés par la rapidité de sa réalisation dans une France qui se croyait enracinée dans la Chrétienté et à l'abri. En France chrétienne, les Juifs étaient bienvenus, tolérés, et disciplinés contre les mauvais penchants de certains d'entre eux. En France chrétienne, les musulmans étaient aussi bienvenus et disciplinés de même. L'équilibre avait été trouvé dans une France chrétienne qui réunissait sans difficulté, toutes les races sous le drapeau tricolore de LOUIS XVI. La France était restée monarchique même en république ! Mais en cinquante ans, le désastre s'étale aux UNES de tous les journaux tous les jours, la vie chrétienne ne discipline plus personne et l'œcuménisme à fait des ravages qui dresse les uns contre les autres. La France est devenue un champ de batailles !… La RESISTANCE chrétienne DOIT impérativement remettre les choses au STATU QUO ANTE. Pour le BIEN de TOUS !… Car nous reviendrons alors à la STABILITE.

Voilà mon rêve et je m'appelle, non pas MARTIN LUTHER-KING, mais :

A.D. Laurent MARTIN Desmaretz de Maillebois.


jeudi 2 juin 2011

Situation agrégée de l'Eurosystème : pas brillante !

« LACHETE POLITIQUE AMENE FAILLITE MONETAIRE !… »

Les avoirs en Or de la BCE figurant à l'Actif de son Bilan au 1er Avril 2011 s'élevaient à 350,667 Mds €, au prix du marché. Même si cette valeur est corrigée par la tenue d'un compte de réévaluation à son passif, de manière prudente, comme le faisait autrefois la Banque de France depuis 1979, il faut estimer à 333.970.000 onces le stock-or sur la base d'un prix de marché arrondi de 1.050 euros/Oz. Le Stock d'Or a donc diminué de -17 % depuis l'ouverture de la BCE le 1er Janvier 1999, moment où il était de 404.131.000 onces, sommation des apports des Banques Centrales de la zone euro, alors estimée à 99,6 Mds €.

Même chose avec la hausse énorme en signes monétaires qui cache en fait une perte de substance conséquente. Les avoirs nets en devises (Créances en devises moins engagements), toujours au 1er Avril 2011, s'élevaient à 230,04 Mds €. Ils étaient de 199,8 Mds € le 1er Janvier 1999 par les apports additionnés des mêmes banques Centrales. En apparence, ils ont donc augmenté, mais l'Euro étant maintenant réévalué à environ 1,40 dollar US, contre 1,168 USD le 4 janvier 1999 (Wikipédia), la valeur de 230,04 Mds doit donc être ramenée à 191,92 Mds, valeur à la création de la BCE, soit une diminution du stock de devises par rapport au départ d'environ - 4 % (191.92/199.8).

N otons que le même phénomène s'était déjà amorcé rien que dans l'année 1999 où, du 1er janvier au 31 Décembre, j'avais pu chiffrer, sous le pseudonyme de Juno MONETA dans le mensuel « LE PETRIN » N° 7 de Mai-Juin 2000, à –4,3% la perte de stock Or et devises totale. Cette perte totale se maintient donc en Mars 2011 à –4%. Comme on le voit la hausse de l'Euro survenue après sa forte baisse des premières années n'a réussi à produire qu'une perte de pouvoir d'achat extérieur en Or et en Devises.

Dans le même temps, le total des billets en euros qui s'élevait à 246 Mds € début 2002, s'élève ce même 1er Avril 2011 à 826 Mds € soit une hausse de + 236 % ! Dont près de 100% rien que dans une seule année sur les dix de la période… Il apparaît également que j'avais raison à l'époque de considérer qu'il s'agissait d'une thésaurisation en euros appelée par des étrangers en masse et qui les ont, semble-t-il, pour l'essentiel, conservés encore pour la même raison. Les billets en euros ainsi imprimés constituent donc une « monnaie de réserve » à l'étranger et donc une dette de la BCE. L'étranger peut exiger la reconversion de ses euros en devises (USD, Yens, £g etc…) à n'importe quel moment… C'est une « épée de Damoclès » qui représente environ 550 Mds € puisque la zone euro utilise nous dit-on environ 250 Mds en billets et pièces seulement, stables… Or 550 Mds € en billets euros sur 581 Mds de réserves en Or et devises implique l'assèchement complet des capacités de changes de la BCE ! La faillite menace avec tout billet supplémentaire…

La France a participé à ce processus. Alors que la masse monétaire fiduciaire en Francs fin 1998, à la veille de la conversion, s'élevait à environ 250 Mds FF soit environ 38 Mds €, la part de la France dans la masse des billets et pièces au 1er Avril 2011 s'élève à 85,2 Mds € soit une hausse de +124 % !… La part proportionnelle de la France dans la masse fiduciaire de la zone euro est donc de 85,2/826 = 10,31%. En baisse sur 2002 où elle s'établissait à 38/246 => 15 % . Notre part a baissé d'un tiers.

La BCE a un Capital et des réserves d'un total de 80,46 Mds € sur un total de son bilan de… 1.888,496 Mds € soit … 4,26 % ! ! ! Un ratio ultra-faible qui révèle la situation hypertendue de ce début de XXIème siècle pour l'Europe face au reste du monde.

Dans le domaine de la masse quasi monétaire, je veux dire scripturale, la totalité M3 des agrégats de droit allemand manié par la BCE s'élève à 9.524 Mds € fin Décembre 2010 soit plus de dix fois la masse fiduciaire actuelle ! Vous voyez la menace pour la BCE ! ?… La part de la France dans cette masse M3 est de 1.774,60 Mds € soit 18,63 %, donc plus grande que notre part dans la masse fiduciaire. Notre part augmente cependant encore de 5,5% en rythme annualisé en Avril 2011, en accélération sur 2010 qui était de +2,1%…

Ce différentiel est typiquement français. Nous n'employons que moins de 8% des « gros billets  de 200 et 500 € » en circulation dans tout l'Euroland et laissons disparaître l'usage de la monnaie fiduciaire au bénéfice de la masse scripturale… et cela s'accroît !  

Qui dit M3 dit donc : banques. L'ensemble des dépôts et autres ressources =< 2 ans des banques de l'EUROZONE s'élève à 10.606,9 Mds € en DEC 2010. Avec l'addition de toutes les autres ressources plus longues, cela donne une assiette totale de 18.948,1 Mds €. Sur la première catégorie les réserves obligatoires constituées à la BCE doivent être de 2% et sur la seconde catégorie de 0% ! Le total des réserves bancaires s'élève à 212,5 Mds € soit 1,12% !… Pour l'instant le ratio se maintient à ce niveau.

L'appel potentiel à la monnaie centrale sous deux ans est donc de 18.948,1 Mds € en cas de véritable « CRISE » avec… rien en face, puisque les réserves de changes sont déjà mangées potentiellement par les billets en circulation à l'étranger.

Que pensez-vous de ces menaces et de cette situation ? Moi, je suis écoeuré par la lâcheté politique qui aboutit à cette situation en 36 ans. Elle est impardonnable et constitue une haute trahison des gouvernants quelles que soient leurs apparences politiciennes.

CONCLUSION : Prenons garde que ce retour à nos origines grecques et à la nécessaire défense du Parthénon contre les macrophages financiers mondiaux ne nous précipite six pieds sous terre au fond du cratère que va creuser la vrille des politiques de nos gouvernants irresponsables…

Sources des données commentées ici : Bulletins de la BDF, INSEE, EUROSTAT et Bulletin d'Avril 2011 de la BCE. Et autres sources citées dans le texte.

mercredi 13 avril 2011

L'économie politique est dévoyée !

« HAUTE TRAHISON !… »

Vous avez dû entendre et voir, la semaine dernière sur telle ou telle « chaîne » de télévision le gouverneur de la Banque Centrale Européenne J-C TRICHET parlé de la hausse de 0,25% du taux directeur qui venait d'être décidée. Conformément à ses statuts, officiellement, il continuait à ne se préoccuper que du taux d'inflation économique dans toute la « zone euro » donc consolidée et regroupant dit-il : 331 millions d'habitants. Contrairement à son affirmation, il ne s'agit pas de 331 millions d'Européens seulement… Il situait officiellement ce taux de dérive des prix consolidé à + 2,3% l'an. Il n'a pas souligné que ce taux dépasse le taux maximal statutaire autorisé de 2% (Critère de Maastricht, Traité = base légale de tout). Il n'a pas dit un mot non plus des écarts entre les Pays. Il n'a aucunement évoqué non plus la conséquence immédiate de cette révision du taux directeur à la hausse sur le « marché » des changes et il a nié que cette hausse s'inscrive comme premier pas à une suite à venir, comme une « rumeur » l'a laissé entendre il y a quelques semaines.

La dérive des prix dans l'ensemble des 14 Pays de la « Zone », outre qu'elle offre la vision graphique d'un écart-type allant de 1 à 25% minimum qui démontre l'impossibilité de tenir cet ensemble confédéré, démontre en même temps la justification pour ces gouverneurs européens de foncer vers une fédéralisation totalitaire de l'Union Européenne. La récente époque de la progression secrète SUI GENERIS depuis 30 ans est révolue. Officiellement maintenant, lui, et ses collègues, conduisent l'UE vers un seul Etat fédéral européen ! Mais les « régions européennes », découpant les Etats, ne sont pas encore prêtes, ce qui leur pose un problème et contrarie la nécessité ( selon eux, évidemment ) de mettre fin aux indépendances nationales qui continuent d'exister DE JURE même si elles n'existent presque plus DE FACTO. Inutile de rappeler que ces statistiques de prix IPCH sont toutes manipulées et sont en réalité bien plus sévères pour les populations que ne l'admet TRICHET, qui le sait très bien, et ment « comme un arracheur de dents »…

J ' ACCUSE TRICHET de HAUTE TRAHISON ! Non seulement de HAUTE TRAHISON envers la France dont il est le ressortissant, et qu'il doit servir prioritairement, mais également envers cette fraction d'Union Européenne qu'est la « Zone Euro » (14 Pays sur 27) !

E n effet, la hausse unilatérale du taux directeur de la BCE, qui, bizarrement, a été anticipée dès les deux jours précédents sur les pseudos « marchés » des changes auxquels il ose faire allusion comme tels, a provoqué la hausse du cours de l'Euro contre Dollar US. Alors que celui-ci affichait un cours de 0,71 Euros environ, il a baissé jusqu'à 0,68902 le matin européen du Mercredi 13 Avril dernier, soit une baisse de – 3 % environ en une semaine, et donc au taux annuel de MOINS 150 %. Toute nouvelle hausse unilatérale augmentera la surévaluation de l'Euro sur le Dollar. La FED restant à 0,25% de taux directeur central et officiel. Et c'est là qu'intervient justement la HAUTE TRAHISON : en effet, le principe actuellement en vigueur dit des « Taux de changes flottants » sert depuis sa conception, entre 1970 et 1976, année de sa finalisation dans « L'ACCORD de la JAMAÏQUE », de COURROIE DE TRANSMISSION du CHÔMAGE du Pays Débiteur vers le Pays Créancier. Comme J-C TRICHET l'a dit, le solde extérieur des échanges de l'ensemble de la « Zone Euro » est légèrement positif vis-à-vis du reste du monde. Donc la « zone » qui trinquera d'un chômage importé de la « Zone Dollar US », c'est-à-dire du reste du monde entier, celle qui va souffrir sur le plan économique et social, c'est donc bien la « Zone Euro » ! La conséquence de la politique monétaire suivie est donc bien grave pour nos Pays européens utilisant l'Euro. Il y a donc bien trahison ! Qui plus est, commandée par la « zone dollar » et sa banque centrale : la FED, et plus précisément encore, par les individus, congénères de J-C TRICHET, qui commandent, ceux siégeant au Federal reserve Board ! … Comme la France est incluse dans l'EUROLAND, elle subira les effets dévastateurs de cette politique monétaire sur laquelle elle n'a aucune prise réelle étant minoritaire. Il y a donc bien, aussi, trahison envers la France !…

L e Gouverneur TRICHET de la BCE devait s'assurer de n'augmenter le taux directeur qu'après une hausse de celui de la FED, décidée par le Federal Reserve Board. Ces deux taux devraient être a égalité quel qu'en soit le pourcentage défini ! Car, seulement dans ce cas, serait alors éliminée la perversion des cours, flottants de manière ici très impure sur les « marchés », en plus continuellement fermés à tout intervenant libre, parce que réservés aux salles des intermédiaires monopolisateurs contre toute morale ! Nous sommes loin de nos jours du flottement pur sur des marchés de changes LIBRES, et donc OUVERTS à tout intervenant, que d'aucun croient en vigueur contre toute évidence… La Transparence, L'Ouverture, sont la caractéristique de la LIBERTE. Cette liberté n'existe plus car elle contrarierait toutes ces manipulations totalitaires au service de l'avènement d'un gouvernement mondial servi par J-C TRICHET et les autres au mépris de leurs obligations morales, civiles, militaires, sociales nationales.

I l nous faut donc des gouvernants LIBRES et INDEPENDANTS de la SECTE NOIRE qui s'empare du monde pour faire arrêter et pendre des gens comme TRICHET. Cela ne pourra arriver que grâce à un RAZ de MAREE populaire. Cela peut arriver dans le calme ou dans la révolte armée. J'ai toujours recherché, en informant tout le monde de ce que je sais, la formule calme, à froid… Mais, malheureusement, faute de compréhension populaire, nous allons vers des malheurs impensables bien que déjà vécus de nombreuses fois dans l'histoire, faute que le Peuple la connaisse, du fait même de la désinformation de tous les traîtres.

vendredi 4 février 2011

L'Hypertaxation persécutante totalitaire conduit l'Occident à l'asservissement aux autres continents.

La FISCALITE MAFIEUSE

http://www.24hgold.com/francais/contributor.aspx?article=3235149336G10020&redirect=false&contributor=Toni+Straka.&mk=2

http://www.24hgold.com/francais/contributor.aspx?article=3329598642G10020&redirect=false&contributor=Olivier+Crottaz&mk=2

Voilà quelques infos qui devraient non seulement vous confirmer ma parfaite connaissance du problème encore soulevé dans ma Chronique FINANCES-VERITES N°48 sur www.radio-silence.org mais également apporter quelque chose pour le cas Suisse.

Mon point de vue de longue date est qu'il est urgent de rétablir l'Etat dans son rôle et de privilégier le droit commun au lieu de la division entre droits différents : administratifs, civil, pénal, commercial, prud'hommal. Les pénalités ne doivent jamais aller à l'Etat mais aux victimes, en sus des dommages et intérêts et du principal. Ce faisant l'Etat doit cesser l'ABUS incroyable qui viole sa LOI FONDAMENTALE de poursuivre les gens pour les obliger à payer comme le pratique la pire des mafias, quelque chose qu'ils ne doivent pas. En France une contribution est en droit fondamental le contraire d'un impôt coercitif. L'Etat n'a aucun droit à ponctionner de force et doit se contenter des contributions volontaires. Le rétablissement de la Liberté s'accompagnera évidemment après une aussi longue période abusivement coercitive et pénale d'un refus de contribuer, essentiellement faute de moyens, et obligera l'Etat et les divisions territoriales à tailler les dépenses. Mais après un certain délai des INCITATIONS, comme le pouvoir de voter = participer au décisions, lequel pourrait, comme dans toute société, être proportionnel aux contributions, ramènerait les contribuables aux réalités... Le plus grand nombre restera forcément majoritaire même avec des contributions individuelles minimes comparées aux fortes contributions des puissants voulant le pouvoir. La LIBERTE rétablie arrêtera les délocalisations intellectuelles, de savoirs, d'expériences, de professions, d'entreprises, de gens, de capitaux. Tout le monde, au lieu de fuir, aura plutôt en vie de rester et de participer... La France peut être, je ne cesse de le dire, l'Amérique, si elle prend toutes ces décisions-là et s'engage à ne plus jamais taxer les entreprises ni les transformer en percepteurs, pour des siècles. L'Etat n'a aucun droit sur l'épargne, les capitaux, les revenus des gens qui n'ont aucune dette envers lui. Le CGI doit être mis au feu, lequel n'a dailleurs aucune légalité. L'Etat doit faire avec ce qu'on veut bien lui donner librement. Voilà la lumière à la sortie du tunnel totalitaire. Respecter les gens, leur Libre arbitre, est toujours payant à terme comme en firent l'expérience des chefs d'Etat éclairés comme Alexandre 1er dit "le Grand" ou encore, plus récemment, l'Empereur JULLIEN (cf mon histoire de la monnaie). L'Etat perd toute légitimité à poursuivre ainsi les gens de ses persécutions abusives. Il ne faut faire cela. il faut inciter positivement en récompensant. Punir ne sert à rien d'autre qu'à fabriquer de grands malheurs et il faut réserver les punitions aux actes rarissimes les justifiant réellement comme les crimes sur enfants qui justifient le rétablissement de la condamnation à mort, plus économique et plus radicalement pacifiante que les prisons chères et inutiles.