mercredi 25 avril 2012

Pour radio-silence.org

CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 79

Mercredi 25 AVR 2012

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Comme les VRAIES QUESTIONS angulaires de la SITUATION de la France et des Français ont été éludées durant une campagne électorale qui aurait justement dû veiller à les traiter en profondeur et complètement, et que beaucoup d'âneries ont été proférées en sus, je pense que mes efforts de clarification des ratios financiers et monétaires qui découlent de la VERITE des chiffres de 1998 à 2009 inclus, devraient vous aider à mieux saisir la situation actuelle en 2012. Et donc à mieux comprendre comment le choix qui reste à ceux qui croient encore à ce système politique est réduit : « Bonnet blanc et Blanc Bonnet » avec la certitude de se faire manger tout cru dès 2013 et même dès la mise en place du MES le 1er Juillet qui va enlever au gouvernement français toute indépendance dans ses choix budgétaires à tous niveaux. Le dernier levier du gouvernement va lui être enlevé des mains… Et du coup tout le « programme » électoral tombe à l'eau quel qu'il soit !… J'espère vivement ici réussir à vous redonner votre indépendance de jugement et aussi le moyen après chaque année de statistiques futures de comprendre la VRAIE SITUATION des choses. Voici donc la suite promise la dernière fois des mes :

 « SIMPLES CALCULS… TRES POLITIQUES (SUITE) !… »

Lien vers l'écrit avec tableau sur : http://www.radio-silence.org/Sons/2012/LMD/pdf/lmd20120425.pdf
Lien direct vers :  http://www.echodufrioul.eu
Liens vers "relations" reprenant la chronique :
http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
http://www.cncombattants.org :


1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« Capacité d'épargne nette des ménages !… »

Comme je vais être un peu aride sur la suite en ECO2 et 3, pour la plupart des gens, je vais me contenter ici de vous raconter une histoire simple :

Hier j'ai répondu à un sondage HARRIS, et avant-hier à un sondage CSA. J'adore répondre à ces sondages, car si mes réponses n'engagent que ceux qui y croiraient, par contre, les questions qu'ils posent sont révélatrices des soucis de ceux qui gouvernent ou de ceux de l'oligarchie qui nous exploite et de la manière dont ils cherchent comment nous pomper nos revenus et notre patrimoine à leur dévotion.

C'est ainsi que j'ai lu une question : « Vous reste-t-il encore une capacité d'épargne après avoir payé toutes les dépenses contraintes ?  ». Hein ! ? Elle est bonne celle-là ! Ma réponse fut : « NON » ! Ainsi donc l'oligarchie économique et bancaire  plus, sans doute aussi, le gouvernement, se demandaient s'ils ne pourraient pas encore nous prendre un reste de monnaie quelque part : soit en augmentant les prix, soit en augmentant les taxes, les impôts, ou tout à la fois ! ?…

Eh ! Bien, non, il ne nous reste déjà rien, et il ne faut pas compter sur nous pour payer toutes les gabegies tolérées, encouragées, ordonnancées, par les oligarques et leurs représentants dans les administrations publiques qui ont pris, malheureusement pour eux, l'habitude que « la Société a de l'argent et qu'il suffit de racketter la « société civile » pour équilibrer leur gabegie » ! C'est fini, n.i. ni !

Conclusion d'ECO 1 : Il faut donc ne rien laisser dans les banques et discuter les prix partout !


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :


« RATIOS FINANCIERS Consolidés ! … »

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=bilan%20de%20la%20banque%20de%20france&source=web&cd=1&ved=0CCMQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.insee.fr%2Ffr%2Fppp%2Fbases-de-donnees%2Fdonnees-detaillees%2Fasf%2Fasfservices%2FASF_131DD26.xls&ei=Vi6ET7quHMSL8gOKnuyyBw&usg=AFQjCNGNfvJwKl5Teh73HxVzVrE41Vwmug&cad=rja

1) Voir le tableau mis en valeurs par moi-même en annexe à la fin de la présente concernant les IMF.


Tout d'abord le fameux ratio de solvabilité première, celui des FONDS PROPRES rapportés aux totaux des bilans pour l'ensemble des Institutions Monétaires et Financières (IMF) de France :
Rappelons que le ratio minimum obligatoire du fait des accords jusqu'à BÂLE II était de 8% et qu'il est de 9,5% souhaité, mini 9% depuis Bâle III :
1) Capital et réserves / Total des bilans :
              En 1998 :                                            en 1999 :                                  en 2009 :
210,3 / 3265,3 = 6,44% ;                  245 / 3603,6 = 6,8% ;             454,7 / 7656,7 = 5,94%
Stricto Sensu, on voit que le ratio est inférieur aux minimas, et chute en 2009 au lieu de progresser…

2) Capital et réserves + Autres – Non ventilés d'Actif comparables / Total des Bilans :
En 1998 :                                             en 1999 :                                  en 2009 :
555,2 –279,9 / 3265,3 = 8,43% ;    673 – 372,4 / 3603,6 = 8,34% ;   1.762,8 – 1.247,1 / 7656,7 = 6,73%
Etendu aux croisements avec d'autres formes d'actifs et de passifs, éventuellement assimilables sous réserves d'examen des contenus, à des soit-disants Fonds Propres, on voit que les IMF tiennent le ratio avec une apparence excédentaire, donc dans les règles, mais chutent en-dessous des 8% en 2009… Rappelons que ces fameux 8% datent des années MITTERRAND ! ! !

Ensuite, celui des reconnaissances de dettes inter - IMF en comptes croisés :
Titres de créances possédés à + ou – 2 ans + OPCVM monétaires + titres / ceux dûs, en  France :
En 1998 :                                      en 1999 :                                  en 2009 :
546,9 / 604,6 = 90,46% ;                  576,5 / 660,5 = 87,28% ;             1.017,3 / 1.575,8 = 64,56%
On voit ici que les IMF françaises s'endettent toujours plus de toutes manières possibles… Toujours le plongeon en 2009 !

Puis, celui des CREDITS en France + chez autres Etats,  rapportés aux dépôts :
Crédits nationaux + Autres Etats / Dépôts :
En 1998 :                                                en 1999 :                                          en 2009 :
1.804 + 634,4 / 2105,5 = 115,8% ;        1.915,5 + 740,2 / 2.270 = 118,0% ;      3.509,9 + 1.882,6 / 4.318,2 = 108,7%
On voit ici que l'ensemble des Crédits accordés dépassent les dépôts, donc qu'il y a une fuite des dépôts - créés par les crédits - hors zone française…

La part des administrations publiques dans les financements sous formes de Crédits ou autrement, rapportée à l'ensemble financé français, est de :
En 1998 :                                              en 1999 :                                          en 2009 :
327,6 / 546,9 + 1804 = 13,9% ;        312,4 / 575,5 + 1915,5 = 12,5% ;         355,7 / 1017,3 + 3509,9 = 7,9%
On voit ici que la part des financements réservés aux administrations publiques par les IMF plonge également en 2009. Pourquoi ? Parce que les IMF ont de plus en plus de mal à se financer elles-mêmes entre elles comme on le relève ci-dessous :
En 1998 :                                              en 1999 :                                          en 2009 :
796 + 141,1 / 2350,9 = 39,9% ;        853,9 + 132,3 / 2.491 = 39,6% ;         1.486,5 + 343,2 / 4.527,2 = 40,4%

Et que la part du secteur privé dans ces mêmes financements est maintenue sur la période sous revue :
En 1998 :                                              en 1999 :                                          en 2009 :
887,3 + 65,4 / 2350,9 = 40,5% ;        941,6 + 81,4 / 2.491 = 41% ;         1.827,4 + 119,8 / 4.527,2 = 43%

Conclusion d'ECO 2 : Pourquoi avoir ainsi rappelé les ratios 1998-2009 ? Tout simplement parce que l'on voit bien que c'était uniquement le système financier qui entrait en « crise », pas l'économie ! D'abord le ratio des fonds propres sur le total du bilan se dégrade montrant que le « système » des crédits faisant les dépôts prend trop de volume par rapport (ratio) aux Fonds propres. Ceci malgré un endettement interbancaire croissant qui ne contrebalance pas la fuite des dépôts donc… des ressources du « système ». Le monde financier n'arrive donc plus à financer les besoins d'endettements, par ailleurs croissants, des administrations publiques et, même, raréfie leurs financements. Le « système » maintient par contre son financement personnel et celui de l'économie. Mais, on voit bien apparaître en 2009, la perpective noire d'un « CREDIT CRUNCH », c'est-à-dire d'une diminution drastique du financement de l'économie pour 2010-1012. Bref, on voit bien pourquoi les banques se font tirer les oreilles depuis 3 ans pour arriver au ratio exigé d'elles par la réunion de Bâle III. Plus le moindre reste de possibilité de se financer avec le système habituel depuis 35 ans. Le système financier arrive au bout du bout.


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« La MONETISATION de la DETTE PUBLIQUE Française !… »

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=bilan%20de%20la%20banque%20de%20france&source=web&cd=1&ved=0CCMQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.insee.fr%2Ffr%2Fppp%2Fbases-de-donnees%2Fdonnees-detaillees%2Fasf%2Fasfservices%2FASF_131DD26.xls&ei=Vi6ET7quHMSL8gOKnuyyBw&usg=AFQjCNGNfvJwKl5Teh73HxVzVrE41Vwmug&cad=rja

1) Voir le tableau mis en valeurs par moi-même en annexe à la fin de la présente concernant la BDF.

Je vous rappelle ci-dessous la pure et simple soustraction livrée la dernière fois entre le poste d'Actif des « Avoirs en Or » et celui, au Passif, du « Capital et réserves » de la BDF, pour la dernière année du Franc 1998, la première année de l'Euro 1999 et l'année 2009, la plus récente du tableau livré par l'INSEE, en Milliards d'euros :
                            1998                        1999                              2009
6,5                            -6,0                            -10,6

L'évolution de la masse monétaire M1 (Pièces et billets en circulation) a suivi une courbe en augmentation du simple à plus du triple sur la période sous revue, tout en diminuant en % du total du bilan. Voici les chiffres et le ratio au total du bilan de la BDF :
En 1998 : 45 Mds€ soit 38,1 % ;  en 1999 : 49,3 Mds€ soit 32,1% ;  en 2009 : 153,7 Mds € soit 30,1%.
Notons au passage qu'en 2002, comme je l'ai déjà signalé dans mes chroniques précédentes, la masse monétaire émise par la BDF a plus que doublé sur un an seulement ! La monnaie fiduciaire est une DETTE de la BDF.

Les RATIOS de structure de la BDF nous amène aux constats suivants pour la période sous revue :

1) Capital et réserves / Total des bilans :
              En 1998 :                              en 1999 :                                      en 2009 :
24 ,2 / 118,1 = 20,5% ;              34,2 / 153,5 = 22,3% ;                70,6 / 510,1 = 13,8%
Stricto Sensu, on voit que le ratio de plus de 20%, bien meilleur que celui des IMF, se détériore grandement en 2009 déjà… Mais ce n'est qu'une apparence :

2) Capital et réserves + Autres – Non ventilés d'Actif comparables / Total des Bilans :
En 1998 :                                      en 1999 :                                  en 2009 :
33,1–22,2 / 118,1 = 9,22%; 42,6 – 20,7 / 153,5 = 14,3%;  96,4 – 110,6 / 510,1 = -2,8%
Etendu aux croisements avec d'autres formes d'actifs et de passifs, éventuellement assimilables, sous réserves d'examen des contenus, à de soit-disants « Fonds Propres », on voit que la BDF a des FP, stricto sensu, négatifs en 2009, alors qu'ils s'étaient améliorés de 1998 à 1999.

Examinons maintenant l'ensemble du Passif « non ventilé géographiquement » moins l'ensemble de l'Actif similaire, augmenté de l'actif Or :
En 1998 :                                 en 1999 :                             en 2009 :
78,1 / 53 = 147,4% ;       91,9 / 48,9 = 187,9% ;          250,1 / 170,6 = 146,6%
On voit ici que le PASSIF strictement monétaire excède l'actif monétaire et par conséquent que la BDF finance son Passif monétaire avec du crédit, sous une forme ou une autre, accordé aux IMF et aux administrations publiques, le secteur privé n'étant pas financé par la BDF du tout ( soldes négligeables ). Donc la masse monétaire a pour contrepartie près de la moitié en dettes des administrations publiques et des IMF ! Ce sont les dettes des « banques » et de l'Etat plus les collectivités locales qui garantissent pour partie la masse monétaire, le Capital et les FP de la BDF…

Nous allons comparer maintenant l'ensemble des CREDITS en France + chez autres Etats,  rapportés aux dépôts à la BDF :
2) Crédits nationaux + Autres Etats / Dépôts :
En 1998 :
31,5+0,7+32,9 / 33,9+5,2+0,8= 163,1% ;
en 1999 :                                                                             en 2009 :
52,9+17,6+34,3 / 27+27+7,6 = 170,1% ;                               165,1+77,1+97,4 / 85,1+62+112,9 = 130,6%
Ce ratio corrobore le précédent et nous voyons que l'ensemble des crédits dépasse initialement de 70 % les dépôts pour financer la masse monétaire ou disons, la justifier. Ce ratio s'améliore en 2009 mais le principe reste à 31% environ…

La part des administrations publiques dans les financements de la BANQUE CENTRALE NATIONALE (BDF) sous formes de Crédits ou autrement, rapportée à l'ensemble financé, est de :
En 1998 :                                              en 1999 :                                          en 2009 :
4,6 / 65,1 = 7,1% ;                                 4,1 / 61,6 = 6,7% ;                               35,9 / 260 = 13,8%
On voit ici que la part des financements réservés aux administrations publiques par la BDF double en 2009 par rapport à 1999.
Notons au passage que les positions politiciennes de Marine LE PEN prétendant que la Loi de 1973 aurait empêché la BDF de financer les administrations publiques sont honteusement fausses, dictées sans doute par son entourage d'incapables ou délibérément orientés d'obédiences maçonniques !?…

Conclusion d'ECO 3 : Il apparaît donc que la BDF a triplé la masse monétaire en contrepartie partielle des crédits accordés aux IMF et aux administrations à tous les niveaux. Le Capital net est devenu négatif dans le total général des opérations non ventilées géographiquement.


Conclusion Générale :  Les IMF, que chacun réduit généralement au vocable de « Banques », ont donc, sur la période étudiée 1998-2009, trouvé à réalimenter leur base monétaire d'expansion de leurs bilans par la technique : « Loans Make Deposits » (Les Crédits font les Dépôts) auprès de l'institut d'émission : la Banque Centrale Nationale (BDF). A ce prix le « Credit Crunch » (affaissement de la masse de crédits distribués aux administrations et à l'économie) ne s'est pas produit. Cependant, la BDF a été entraînée à augmenter un peu trop sa masse de crédits en contrepartie d'une émission monétaire fiduciaire qui a triplée, rendant ses FP négatifs ! Nous avons bien eu affaire en 2008-2009 à un risque systémique du monde financier avec à la clef la perspective d'un effondrement de l'économie privée de sa drogue : la monnaie-crédit. Pour ma part, je considère qu'il fallait remplacer la monnaie-crédit des banques par la monnaie fiduciaire sans agios financiers pour ses utilisateurs, laisser se réduire le monde bancaire à sa seule fonction d'intermédiation dans les échanges et redonner à l'Etat la haute main sur une monnaie redevenue saine, même si, dans un premier temps, la BDF aurait vu son bilan hyper gonfler. Car il était alors appelé à se dégonfler au fur et à mesure que l'économie aurait retrouvé sa santé au fil de 6 à 9 ans comme je l'ai démontré par ailleurs depuis 2006. Cela exigeait cependant le retour au Franc immédiat, à la SOUVERAINETE PLEINE ET ENTIERE du Pays, opérant alors des comptes extérieurs excédentaires durant 6 ans, de même à l'intérieur, et des réductions drastiques de dépenses publiques exigeant des reclassements dans le privé de plusieurs millions de fonctionnaires sans autre forme de procès. En cas de refus les laisser sur le carreau… De toutes façons c'est comme cela que tout va finir mais malheureusement pour la totalité, ce que mon plan cherchait à éviter.

mercredi 11 avril 2012

Pour vous aider à comprendre :


Chroniques reprises aux liens principaux suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori : 4.500.000 lecteurs/mois
- http://www.cncombattants.org : 5.000 lecteurs/mois
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-
CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 78

Mercredi 11 AVR 2012


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Dans 10 jours vous voterez pour élire le Président de la République et … Chef de l'Etat, Président du gouvernement, Commandant en Chef des Armées, de la France.

Comme il m'est apparu depuis 1989 et quelques cours dispensés, par dévouement « social » de ma part à des élèves de 16 à 45 ans, du CAP Banque, qu'ils étaient pour la plupart incapables de poser et résoudre une « règle de trois » ou son équivalent algébrique ( Produit des extrêmes et des moyens ), j'ai pensé aujourd'hui utile, de vous rappeler quelques connaissances élémentaires.

Ceux qui n'auraient pas besoin du tout de ces rappels voudront bien, je l'espère, m'excuser au vu des constats économiques et politiques auxquels ces rappels aboutissent et qui constituent à n'en pas douter une bonne critique des positions des dix candidats qui briguent vos suffrages. Pour ma part, ce régime me dégoûte et je m'abstiendrais de participer à cette mascarade électorale. Voici donc quelques :

 « SIMPLES CALCULS… TRES POLITIQUES !… »


1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« TAXES EN-DEDANS ; TAXES EN-DEHORS !… »

Hier, Lundi soir 9 AVRIL 2012 à 19 h 39' 25'', sur une chaîne d'informations étriquées, dirigées en continu, un « Compagnon de route » d'Eva JOLY, l'étrangère candidate au poste de Chef de l'Etat de la France, répondit à une question simple : « Pensez-vous que le prix de l'essence doive continuer à augmenter ? ».

La réponse arriva aussitôt, très simple aussi : « OUI ! ». Suivi une vague explication basée sur les arrières-pseudos-connaissances fondamentales, en fait les dogmes écologistes d'E.E.L.V. , pour l'essentiel « sur le stock restant supposé très limité du pétrole fossile de la toujours officiellement supposée « petite » planète »… Moi, je sais qu'il y en a encore pour au moins 2 siècles au maximum de consommation mondiale actuel ! Mais je suis un Martien…

Alors, il s'est passé deux choses : d'abord, j'ai changé de chaîne ( je ne dis pas « zapper » qui m'écorche la bouche comme une poignée de clous ) et ensuite, ma cervelle a relancé mécaniquement la réflexion suivante :
…Vous avez dit : prix du carburant ?  Il était évident qu'ils voulaient parler du prix payé en final, à la pompe, par les automobilistes… Aussitôt, les chiffres me revinrent en mémoire et le calcul mental s'est remis en route par réflexe. Il y a environ 85 % ( donc coefficient 0,85 ) de taxes diverses additionnées EN-DEDANS ce prix final payé par les consommateurs. Prenons donc un exemple : 1,70€ le litre payé TOUTES TAXES COMPRISES (TTC). Il y a donc  1,70 x 0,85 = 1,45 € de taxes diverses additionnées. Ce qui met le PRIX DU LITRE d'essence VRAI, correspondant aux prix additionnés des compagnies pétrolières, des raffineries, des transporteurs, des producteurs, y compris de l'OPEP… à : 0,25 €  HT au total ! Sans jeu de mot…

Alors, bien sûr, je garde en tête la promesse électorale de Marine LE PEN de baisser de 20% la taxe sur le prix de l'essence à la pompe… Mais laquelle de taxe ? Le total des taxes, ou bien une seule des composantes des 85 % de Prélèvements Obligatoires (PO) totaux ? Car alors, le rabais change de moins - 0,29€ à moins - 0,01€… Ce qui n'est donc pas équivalent pour le consommateur final hyper taxé de nos jours ! Comme toujours les promesses électorales sont vagues et n'engagent que ceux qui y croient… comme disait PASQUA.

Mais revenons à notre petit problème : comme nous payons actuellement 0,25€ le litre d'essence, lequel constitue le seul vrai PRIX, le très réel et courant PRIX HORS TAXES (HT), et que nous payons le prix TTC 1,70€, cela veut dire que la taxation d'Etat appliquée en sus du prix HT (1), TAXE dite, pour cette raison, EN-DEHORS ( Idem avec la fameuse TVA ), est donc de (1,45 / 0,25 = 5,8 – 1 = soit)  4,8 fois le prix HT soit… 480 % ! Vérifiez ce que je viens de vous dire :
0,25 € + 480% de taxes soit 1,45 € = 1,70 € ! ! !

Le langage politique varie suivant la pression des questions médiatiques du « c'est comme ça » des parasites du « système », c'est 1,70 € le PRIX de l'ESSENCE et puis va te faire Fiche  ! A une admission du bout des lèvres qu'il y a une « forte proportion de taxes dans » : LE PRIX de l'ESSENCE, toujours imprécis. Plus difficile à obtenir est la proportion de 0,65 de taxes dans encore : LE PRIX de l'ESSENCE… Encore plus difficile à obtenir est la vraie proportion de 0,85 ! Comme depuis 1968 et surtout la fameuse réforme des « Maths » de 1980, l'arithmétique a été supprimée, reléguée aux placards de l'histoire de l'obscurantisme des générations réputées « passéistes » et « conservatrices », les générations d'écoliers, de collégiens et de lycéens, depuis 32 ans, bénéficient maintenant du « progressisme » pédant et prétentieux de leurs « PROFESSEURS des écoles », des collèges et des lycées,  post soixant'huitards attardés, qui leur font faire soit-disant des « MATHEMATIQUES » ! Tiens donc !… Les anciens Instituteurs en blouses grises ne sont plus bons qu'à illustrer, en photographies « Noir et Blanc », l'analphabétisme des pauvres petits écoliers des débuts forcément encore arriérés du XXème siècle.
C'est ainsi qu'une proportion de 0,85 s'aperçoit aisément, dans les intellects à l'arrêt des générations actuelles, comme 0,85 €, donc la moitié DU PRIX. Ah ! MAIS !… Et alors… avec un effort minime, lesdits intellects relient cette moitié du prix à la soit-disant et très officielle moitié des prélèvements obligatoires par rapport au PIB, reconnue par l'Europe, dont les « Médias » leur rabattent les oreilles à longueur de journée… Malheureusement ces intellects-là n'ont rien compris ! Une proportion de 0,85 de quelque chose, c'est 85% de la chose et donc 480% de taxes additionnées au prix Hors Taxes, en renversant le calcul arithmétique d'en-dedans… en-dehors !

Mais combien de gens aujourd'hui sont-ils seulement capables de faire ce calcul très simple que le titulaire d'un Certificat d'Etudes Primaires de 1959 savait multiplier à l'envi dans sa tête ? Voilà la question que je me pose à 19 h 39' 26'', ce Lundi soir 9 AVRIL 2012, UNE SECONDE après que ma mécanique arithmétique intellectuelle ce soit mise en route toute seule au début de ce chapitre.

1) taxation qui n'est jamais affichée, et pour cause, sur vos tickets de caisse alors que l'Etat l'a rendue obligatoire sur tous les autres biens…


Conclusion d'ECO 1 : Il faut donc remettre aux programmes des écoliers, collégiens et lycéens le calcul mental appliqué dans toutes les matières et leur réapprendre que l'ARITHMETIQUE est une discipline noble et entière qui mène au SUPERIEUR, jusqu'à l'actuariat inclus par exemple, et aux calculs statistiques complexes, économétriques, aéronautiques, maritimes etc... Les Mathématiques ne commencent que dans les universités et les grandes écoles ! Car les mathématiques, qui sont une science exacte, ont deux buts uniquement fondamentaux et réservés à la recherche :
1) EXPLIQUER de manière strictement exacte et permanente les résultats imprévus des expériences de toutes nature et disciplines commencées empiriquement, et/ou :
2) PREVOIR les résultats des expériences programmées dans le cadre des recherches fondamentales ou appliquées, si possible sans aléas ni erreurs. Sauf à devoir recommencer ses équations…
Mais, pour cela, il faut reléguer aux placards de Mai 68, tous les post soixant'huitards attardés de l'Education Nationale, avec leur bagage de pédantisme imbécile et les remplacer par de vrais INSTITEURS, de vrais PEGC de collèges et de lycées, s'assurant de l'acquisition, par les cervelles des enfants (2), que leurs parents leur confient, des apprentissages techniques nécessaires dans tout bagage d'enseignement général. Moyennant quoi, les jeunes générations des cervelles les plus douées reprendraient enfin le chemin des Universités, elles-mêmes remises dans leur rôle, alors qu'elles ne sont plus que les fourre-tout des glandouilleurs bégayant un pidgin de franglais des banlieues et d'intellects incapables de faire une simple règle de trois et obligés de sortir leur « calculatrice » pour additionner trois sommes à la caisse du supermarché…
Cette situation post soixant'huitarde n'arrange que les escrocs du système politique, lequel augmente tous les jours sa dictature sur tous ces attardés mentaux, abrutis de décibels « techno », et auxquels, bien évidemment, il convient de donner l'égalité de vote avec les gens intelligents, car sinon, ils ne pèseraient plus rien et le système totalitaire serait mort… car il s'appuie, pour exister, sur leur masse conditionnée par l'EN…
Voilà pourquoi la question de la fin du pédantisme dans l'Education Nationale n'est jamais posée aux candidats à la présidentielle !…  Mon conseil : pour comprendre l'économie courante, relisez Jean-Baptiste POCQUELIN dit « MOLIERE » et ses « femmes savantes ». Cela a été écrit hier pour aujourd'hui…

2) Jusqu'à 16 ans, les jeunes sont réputés être des enfants. On parle d'adolescents entre 14 et 21 ans et de jeunes adultes de 18 à 23 ans. A 16 ans, le Code pénal « pénalise », à 18 ans il est possible, mais pas recommandé, de devenir précocement un député, à 21 ans la « majorité naturelle » prépare à devenir, à 23 ans, un possible Président de la République - tout juste en sortant du lycée « progressiste » - à cause de Napoléon ! Et c'est encore plus tard, à 35 ans seulement, que l'on peut devenir Sénateur, toujours en touchant son salaire d'enseignant dans l'Education Nationale, car il est de bon ton de passer sans transition des bancs des élèves à l'estrade du « professeur »… Car, avant 35 ans, il est devenu quasi impossible d'obtenir un « CDD » et, après 45 ans, on est trop vieux pour avoir un emploi… dans l'infect « privé », de l'infecte « société civile »… Voilà pourquoi l'EN ne forme que des futurs fonctionnaires…


LMDM


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :

« TAUX et PROPORTIONS ! … »

Quelques petits rappels pour commencer :

Un TAUX est TOUJOURS ANNUEL ! Ne perdez JAMAIS de vue cette notion fondamentale car sinon, les banques vont vous mener en bateau toute votre vie.

Le taux annuel est donc lui-même exprimé en pourcentage d'une VALEUR ACTUELLE (VA) = 1. Un taux de 2,75 % équivaut au coefficient ( proportion ) de 0,0275 appliqué à cette valeur « actuelle ». Multipliant la VA,  donc 1 x 0,0275, on obtient le montant de l'intérêt (I), soit à payer, soit à toucher : I = 0,0275. Donc la VALEUR FUTURE au bout d'un an  (FV = 1 + 0,275) = 1,0275. Il est donc plus facile de multiplier directement la VA = 1 x 1,0275 pour obtenir la FV = 1,0275…

Applications aux prix courants :

Par exemple un prix HT de 50 € plus la TVA à 19,6% donnera directement un total TTC = 50 x 1,196 = 59,80 € et une somme placée de 25.300 € le 31 DEC à 2,75%, deviendra FV = 25.300 x 1,0275 = 25.995,75 € le 1er Janvier suivant. Ceci à un taux nominal annuel non composé, non fractionné.

On distingue après le taux nominal, base de tout, les taux fractionnaires ou « proportionnels » PRORATA TEMPORIS, qui sont des proportions du taux annuel, généralement en jours, quinzaines, mois, trimestres ou semestres… Par exemple, notre taux de 2,75 % l'an nominal donne des taux proportionnels de 0,1058 % par quinzaine, de 0,2291 % par mois, de 0,6875 % par trimestres, et de 1,375 % par semestres.
Le taux par jour est déjà plus embêtant : en France, traditionnellement, l'année bancaire est divisée en 360 jours, ce qui facilite les calculs mentaux par la « méthode du 60 ». Par contre, en Angleterre, l'année bancaire est réputée de 365 jours tous ronds, toujours pas égale à l'année sidérale, mais plus proche… Ces deux approches du taux proportionnel journalier donnent donc deux résultats différents : en France, le taux nominal de 2,75 % annuel journalier, est donc de ( Tnp = ) 0,0076 % ; en Angleterre de 0,007534. Pour emprunter c'est mieux de trouver un taux sur une année anglaise qu'un taux sur une année financière française. Mais, pour placer, c'est le contraire… Le taux actuariel final au bout d'un an d'un taux nominal de 2,75 % composé journellement, avec la méthode française traditionnelle de 360 jours appliquée à une somme VA = 1, donne donc : FV = (1+0,000076)360 = 1,0277 donc un taux de 2,77 % actuariel, plus élevé que le taux simple, grâce à la composition journalière qui est la composition maximale générale, mais que les ordinateurs des banques peuvent pousser jusqu'à une composition à la seconde, encore plus avantageuse évidemment…

Le taux effectif global TEG, connu dans les dossiers de crédits, additionne, lui, les intérêts au taux actuariel, souvent composés mensuellement (PMT), et les frais et agios exigés en sus par les banques depuis 25 ans et sans cesse en augmentations diverses et variées. Le TEG est un taux qui ressort du rapport entre la somme payée au total (FV) et la somme empruntée en capital (VA) ramené à l'année entière conformément à la théorie du taux, toujours annuel. La « GROSSSSSSSSSSSE ASTUCCCCCCCCE » actuelle est d'afficher le taux proportionnel journalier du TEG : c'est-à-dire en divisant le TEG annuel par le nombre de jours de l'année civile = 365 et là on découvre que le « consommateur » est leurré par le rabais apparent d'un taux calculé sur 360…

Conclusion d'ECO 2 : Tout ceci pour expliquer que ces calculs, qui enchaînent les taux annuels, proportionnels, actuariels et soit-disant « effectifs globaux », avec leurs proportions et leurs coefficients, dépassent largement de nos jours les capacités de calculs des têtes courantes, dailleurs désinformées totalement depuis l'enfance ! Et même celles des employés de banques souvent dépourvus du CAP. J'ai sidéré l'autre jour un gradé – pourtant ! -  de telle banque X en lui montrant que son dépliant mentionnait que 24 Euros d'agios trimestriels correspondaient à 1.000 euros de découvert pendant 15 jours chaque mois. Il n'avait jamais vérifié son affirmation automatique que le taux journalier du découvert chez sa banque était de 0,050 %/jour et que cela donnait à peu près cela. Il n'avait même pas lu le dépliant remis aux clients ! ! ! En fait, j'ai vérifié, comme vous pouvez le faire maintenant que le Tnp % journalier de 19,09% annuel de cette banque ( Base 360 ) donnait : 0,053028 % (la base 365 anglaise donne : 0,0523014 %), et x 15 jours = 0,79542 % de 1.000 => 7,9542 € d'intérêts débiteurs mensuellement, soit par trimestre => 23,8626 € ! Ce résultat signifie donc que la banque privilégie la base 360 française qui l'arrange et, en plus, qu'elle compose l'intérêt journalier pour lui rapporter un peu plus soit les 24 Euros arrondis.
Vous voyez donc que pour comprendre ce simple petit calcul il faut être familier des calculs financiers actuariels ce qui n'est le cas que 0,01 % des gens sans doute ?… Et c'est là que je pose à nouveau une question qui n'est jamais posée car l'Etat ne protège plus ses citoyens contre les exploiteurs banquiers ou autres : Pourquoi n'apprend-t-on pas ces calculs d'arithmétique financière aux jeunes, dans le cadre du programme du Certificat d'Etudes Primaires et pourquoi ce diplôme n'est-il toujours pas rétabli alors que ces calculs sont du niveau du CAP banque des années soixante ! ?  Simple : l'Etat veut faire des crétins obéissants et passifs…

LMDM

3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« MONNAIE-DETTE croissante et ACTIFS en CONTREPARTIES Décroissants !… »

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=bilan%20de%20la%20banque%20de%20france&source=web&cd=1&ved=0CCMQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.insee.fr%2Ffr%2Fppp%2Fbases-de-donnees%2Fdonnees-detaillees%2Fasf%2Fasfservices%2FASF_131DD26.xls&ei=Vi6ET7quHMSL8gOKnuyyBw&usg=AFQjCNGNfvJwKl5Teh73HxVzVrE41Vwmug&cad=rja

Vous trouverez ci-dessus l'adresse directe du lien vers le tableau excel téléchargeable INSEE des bilans de la Banque de France et des Institutions Financières et Monétaires (IFM) de 1995 à 2009. Je veux ici tordre le coup à l'idée que la France aurait encore un stock d'Or en contrepartie de la masse de Billets et pièces, mises en circulation dans le cadre de son statut de succursale de la BCE pour la France :

Je vous livre donc ci-dessous « l'étude critique » du poste réserves nettes d'Or figurant au bilan de la BDF : pure et simple soustraction entre le poste d'Actif des « Avoirs en Or » et celui, au Passif, du « Capital et réserves » pour la dernière année du Franc 1998, la première année de l'Euro 1999 et l'année 2009, la plus récente du tableau livré par l'INSEE, en Milliards d'euros :
                            1998                              1999                              2009
                              6,5                               -6,0                                -10,6

Un sous-poste des réserves intitulé : « Réserve de réévaluation des actifs en Or » a été créé suite à la décision de VGE en 1977 d'aligner le poste à l'Actif sur la valeur du marché de l'or… A l'époque, vous vous souvenez comme moi du tollé que cette décision a provoqué, notamment de la part du gouvernement anglais et de la banque d'Angleterre, qui craignaient que cette décision n'aboutisse à mettre en circulation d'autant plus de billets en Francs !
D'un coup, évalués au prix du marché, lequel avait beaucoup augmenté après la fin du Gold Exchange Standard décrété par les USA en 1973 et la conférence de la Jamaïque qui suivit en 1976, nos avoirs en or prenaient grande figure…. La nécessité de la comptabilité en partie double a fait naître cette réserve de réévaluation pour la différence entre le prix resté bas des échanges finaux des soldes extérieurs entre Banques Centrales et l'évaluation au prix fluctuant du marché. Ce poste de réserve de réévaluation a donc commencé à fluctuer toutes les semaines… Mais VGE n'a pas pu laissé émettre plus de monnaie en contrepartie, sous la pression étrangère, maintenant le prix de l'Or, bas, entre Banques Centrales.

Vous voyez qu'en 1998, notre stock d'Or était estimé plus élevé à l'Actif que l'ensemble Capital et réserves au Passif d'où le solde positif de +6,5 Mds d'euros rétropolés. Je vous rappelle que nous avons dû transférer de la BDF à la BCE 60% de ce stock net nous appartenant, soit à peu près 4 Mds €. Ce que je vous disais dernièrement, en voici donc la preuve ! Puis, en 1999, le poste de réévaluation a disparu du fait de la pratique généralisée de l'estimation au prix du marché par la BCE. En 1999 aussi, l'ensemble net des deux postes additionnés algébriquement devient négatif, l'Actif étant plus faible que le Passif de – 6 Mds €… En 2009, c'est MOINS – 10,6 Mds € ! Le stock d'Or français est donc redevenu négatif comme en 1983… CQFD !

Nous examinerons la prochaine fois, sur ce même tableau, l'ensemble des Agrégats monétaires au Passif et leurs contreparties à l'Actif avec l'évolution semblable de 1998-1999-2009. Ce qui vous laisse le temps d'y réfléchir. Je vous donnerai alors le fin mot pour vous éclairer sur ce sujet qui est assez difficile pour ceux qui n'ont pas étudier la question. Moi-même étudiant j'ai commis des confusions, par moments, entre les agrégats monétaires et les contreparties, donc, il n'y a là de ma part aucune prétention et seulement la volonte de vous aider comme j'ai aidé tous mes étudiants…

Conclusion d'ECO 3 : Pour l'heure, il est évident que notre Stock d'Or à disparu et nous verrons la prochaine fois que le reste est encore pire.  

LMDM


Conclusion Générale :  Additions, multiplications, soustractions, divisions… les 4 opérations permettent de mener tous les calculs, des plus simples… aux plus compliqués. J'observe donc, comme vous, que le gouvernement républicain à tout fait depuis 1981-1985 pour priver les jeunes générations de toute possibilité de les effectuer, et donc les a privées de tout esprit critique, faute de capacité de réflexion arithmétique claire et nette. En noyant dans un pédantisme puant tous les apprentissages fondamentaux, l'EN a tué l'esprit critique de notre jeunesse, sauf chez ceux des parents qui se sont donné le travail énorme de refaire ce que l'EN défaisait dans les jeunes cervelles de leurs enfants, chaque jour ! Vous voyez que c'était nécessaire pour comprendre l'hypertaxtaion du prix des carburants à la pompe comme les agios bancaires ou encore le stock d'Or de la France aujourd'hui disparu à nouveau. J'espère donc vous avoir ici aider à reprendre votre LIBERTE de vote en vu de la « présidentielle » où il m'apparaît que les candidats spéculent tous, peu ou prou, sur l'ignorance du Peuple… Peut-être parce qu'ils sont eux-mêmes ignorants ! ?

LMDM











lundi 9 avril 2012

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

Pour :
http://www.radio-silence.org/

Chroniques reprises aux liens principaux suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori : 4.000.000 lecteurs/mois
- http://www.cncombattants.org : 5.000 lecteurs/mois
- http://www.echodufrioul.eu : 8.000 lecteurs/semaine
-
CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 77


Mercredi 28 MARS 2012


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Comme je le pressentais la dernière fois et même depuis bien plus longtemps, non seulement les vraies questions, à la hauteur du poste de Chef de l'Etat, Commandant en Chef des Armées, Président du gouvernement du régime dit « républicain » en place, ne sont jamais abordées, mais même c'est devenu la foire à la démagogie. Les débats, disparus comme dirait Nicolas DUPONT-AIGNAN depuis la date officielle de début de la campagne le 16 Mars, par leur disparition même, débrident les promesses électorales et l'abaissement des positions au niveau du caniveau. C'en est dégoûtant… à vomir !

Lorsque l'on apprend que l'Allemagne va prendre 12% du Capital d'AREVA, personne ne réagit. En fait, il s'agit d'un troc entre une petite partie de nos dettes, et cet abandon de souveraineté sur notre production énergétique. Personne ne soulève même ce fait ! Personne, non plus, ne relève que le Gouvernement allemand reste impassible à toutes les démagogies, y compris celles de Nicolas SARKOZY. Il est évident pour moi qu'il a prévenu les autres chefs d'Etat, à l'avance, qu'il ne fallait attacher aucune importance à ce qu'il dirait en temps que « Candidat-Président » à la seule destination des « zélecteurs » français, éternels gogos… Prudente quand même Angela MERKEL étudie l'alternance avec le clone UMPS du régime : François HOLLANDE. Bien sûr, personne, à l'étranger, n'ose imaginer une véritable alternative, et dailleurs, est-ce envisageable alors que les 10 candidats officiels passent leurs journées de campagnes électorales à promettre que :

 « DEMAIN, ON RASERA GRATIS !… »


1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« 200 Euros, de plus, par mois !… »

Marine LE PEN a lancé cette promesse : je vous ferai verser à tous 200 € de plus par mois financés par la taxe sur les importations de 3% infligée aux produits de l'esclavage étranger…. C'est ce que j'ai compris.

Rien ne nous ai dit du canal par lequel cette « prime » sera versée. Plus grave : rien n'est expliqué sur le maintien du pouvoir d'achat de ces 200 €  au-delà de quelques mois !? Combien de temps leur pouvoir d'achat sera-t-il maintenu ?

On peut se poser la question, surtout que l'on apprend en ce moment que le gvt vient de mettre en place un « secteur optionnel » de la santé. Les mutuelles devront prendre en charge davantage de part des frais médicaux réels, donc devront augmenter leurs tarifs, encore, en 2013. D'ici que les charges « sociales » collectivisées augmentent et retenues à la source (Sic !), réduisant le net touché des travailleurs et des retraités, et que simultanément les frais médicaux augmentent, les fameux 200 euros n'iront pas à la relance de la consommation utile, comme cela est prétendu, mais serviront à combler le trou creusé dans le budget des ménages !… En attendant qu'il s'agrandisse très vite bien au-delà.

On peut aussi se poser la question, en apprenant la nouvelle LOI MARTIALE en temps de PAIX instaurée par un décret d'OBAMA publié le 16 Mars dernier et qui autorise le gouvernement américain à confisquer tous les biens des « Citoyens (SIC !)  » américains, ce jusqu'au contenu de leur réfrigérateur, en cas de « crise » imposant alors au gré du gouvernement US, de ses Ministres et de ses Agences spécialisées, un rationnement. Ce décret, relayé par marc SLAVO sur 24hGOLD, « nommé « National Defense Resources Preparedness executive order » donne au gouvernement le contrôle total de toutes les ressources du Pays, y compris la possibilité de saisir, confisquer, ré-attribuer lesdites ressources, matériels, services, ET la réquisition forcée sans rémunération » ! Ce décret se compare aux ordonnances de 1959 signées par DE GAULLE dans le cadre de l'article 16 de la Constitution, dans sa rédaction d'origine, et mises à jour, c'est-à-dire aggravées, par MITTERRAND – MAUROY en Août 1981. Chez nous, en théorie, la confiscation doit suivre une indemnité préalable, mais ce respect de la déclaration de 1789 est aussitôt violé en remettant cette indemnité, en théorie « préalable », à plus tard… Donc OBAMA a copié le gvt français, cela crée des liens avec SARKOZY, évidemment.

Dans le même temps électoral actuel, le même Marc SLAVO, récapitule avec beaucoup de pertinence : « Les 5 étapes de l'effondrement de l'économie » :
1- Le déclin,
2- La descente,
3- La situation s'aggrave,
4- La prise de pouvoir du chaos et de l'anarchie réduit le Pays, jadis prospère, en pays du « Tiers-monde »,
5- Perte totale d'indépendance, le gouvernement instaure la Loi Martiale en temps de Paix.

Je pense que nous en somme entre la phase 3 et la 4.

Conclusion d'ECO 1 : Si nous ne voulons pas voir réduits à la seule satisfaction des besoins primaires, de simple survie, la totalité du peuple français qui caractérise la phase 5, nous devons cesser de nous laisser leurrer par des promesses de camelots et trouver d'urgence un VRAI ROI, à l'ancienne, et foutre en l'air ce régime politique de merde qui en rajoute tous les jours dans les promesses démagogiques comme celle des…  

LMDM


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :

« 1.700 Milliards à zéro % ! … »

Vous avez dit : « 1.700 Milliards d'euros de dettes publiques » ? Avec Marine LE PEN comme avec Nicolas DUPONT-AIGNAN qui a repris l'idée, c'est très simple : ils empruntent à ZERO % à la Banque de France, réinstallée alors comme Institut d'émission du « nouveau Franc », post euro. Et, OH !? Miracle : 400 Milliards d'agios annuels disparaissent comme par enchantement des charges publiques. Dailleurs, avec eux, on ne les aurait jamais eu… Ce qui rend donc d'autant plus odieux à leurs yeux noirs de colère dramatique les 1.400 Mds d'agios inclus actuellement dans la sommation des 1.700 Mds d'endettement total, selon MLP. Par contre, les huit autres candidats officiels, n'en parlent pas, ou seulement, soit pour les aggraver, soit pour les limiter à leur état actuel avec un léger fléchissement très progressif annoncé par Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA, lequel ne semble pas pressé de contrarier les banques…

Si les « électeurs » gobent une telle ânerie, ils auront bien mérité leur sort d'esclaves !

En effet, faut-il rappeler ? Apparemment oui, que le fait d'émettre, même une monnaie fiduciaire, au lieu de battre monnaie à l'ancienne, coûte certes moins cher actuellement, et encore moins en passant par les banques pour la répandre, mais il y a quand même un COÛT ! Autrefois appelé « monnayage », Philippe LE BEL se voyait autorisé à le chiffrer au plus haut à 8,5%. Même si le coût actuel est moindre, grâce à l'usage de papier et d'électrons, je ne le vois pas à moins de 1%. Donc, d'une manière ou d'une autre, l'Etat devra rembourser la Banque de France de ses frais, le taux effectif global (TEG) de l'opération de refinancement des collectivités publiques, dont l'Etat, ne sera jamais nul, jamais ZERO ! C'est une ânerie démagogique.

D'autre part, il faut aussi réfléchir au fait, tout simple, que la Banque de France devra trouver dans ses contreparties monétaires en : devises, Or, Argent, Diamants… les fameux 1.700 Milliards d'euros réclamés… Et là, j'attends encore que ces prétentieux mal conseillés et politicards démagogiques me disent où ils seraient ? A ma connaissance, la Banque de France ne dispose pas même du dixième de cette somme et encore, gagée… Je rappelle que la masse monétaire fiduciaire couverte en 1999 était inférieure à 37 Mds € et que, depuis, la ligne des devises et de l'Or transférés à la BCE en Capital, a fondu sous l'effet de 10 fois cela de déficit extérieur depuis ! DONC, la BDF n'a rien du tout en contrepartie de quoi que ce soit. Le stock d'Or dans les caves à Paris ne nous appartient pas, il est en garde pour compte d'Autrui… Faut-il rappeler que le stock d'Or de la BDF était de l'ordre de 7 Mds de FF seulement en 1998 et que 4 Mds furent transférés à la BCE dans le cadre de la tranche-Or du Capital souscrit par la France ! ? Lorsque certains commentateurs parlent de 150 Mds ou autre chiffre onirique, c'est une méconnaissance totale de la réalité. Comme en 1983, le stock d'Or français a disparu.

De ce fait, pour l'Etat républicain et ses collectivités subsidiaires, emprunter 1.700 Mds d'euros à la BDF signifie l'obliger à les CREER ex-nihilo en contrepartie des créances publiques correspondantes à l'instar de ce que fait déjà la BCE depuis fin 2010. Il est assez curieux que les conséquences logiques ne soit pas même évoquées par ces « candidats » au « poste suprême » du régime, alors je vous les livre : une partie des signes monétaires répandus en contrepartie des dettes publiques souscrites par eux va rester en France, mais une autre partie, très importante actuellement, va servir à acheter des biens importés. Et alors que se passera-t-il ? Simple : comme la BDF n'a rien comme réserves de devises, ou autre, pour solder les échanges extérieurs déficitaires, c'est la faillite extérieure garantie de la BDF en moins de deux ans de « termaillages » comme en 1981-1983 où le stock d'Or avait été rendu négatif et en 1983-1985 avant que les Gouverneurs de la BDF dépose le bilan à l'Elysée ! Donc, la contrepartie politique du refinancement public auprès de la BDF, insolvable, c'est la certitude d'un contrôle des changes qui interdira toute sortie de « nouveaux francs post euro », donc tout achat à l'étranger, donc la restriction aux seules productions nationales… mais aussi l'inconvertibilité de la monnaie nationale restaurée, avec interdiction de posséder, ou d'acheter a fortiori, avec des Francs, des monnaies étrangères. Le contrôle des changes s'appliquera aussi aux valeurs mobilières avec une « devise-titre » restaurée comme au bon vieux temps de 1981… avant et après, bien connu des « anciens ». Pour les plus jeunes, demandez donc à vos parents de plus de 60 ans aujourd'hui… Et ce contrôle des changes et cette quasi-interdiction des importations durera ce que durera le laps de temps mis par l'Etat et ses « collectivités publiques subsidiaires depuis 1791 » à réduire drastiquement son endettement à coups d'impôts et de pertes d'emplois massives de fonctionnaires.

Conclusion d'ECO 2 : Voyez-vous, cette affirmation de MLP et de NDA est une démagogie grossière. La monnaie nationale est une très bonne chose, mais il ne faut pas dire qu'elle ne commanderait pas la DISCIPLINE monétaire, c'est-à-dire de recommencer à ne dépenser que ce que l'on a gagné… AU PREALABLE. Ceux, comme SARKOZY, et les autres de l'UMPS, qui ont précipité la France et les Français dans un piège terrible, dont pour en sortir, il faudra des (dizaines ?) années d'efforts pénibles portent une lourde responsabilité. C'est évidemment à ce prix que l'on sortira de l'esclavage qu'ils nous ont réservés et dans lequel ils nous ont enfermés, qu'ils grillent en ENFER. Il ne faut pas dire que l'on peut tout avoir d'un coup de baguette magique ! Financièrement parlant, c'est par le commencement qu'il faut commencer : revenir immédiatement à l'équilibre budgétaire en 2013, puis à l'excédent budgétaire durant 6 ans au moins, et enfin, ayant rouvert le champ du possible, réduire les impôts, puis ne dépenser l'année 8 que ce que l'on aura reçu l'année 7. J'ai déjà expliqué tout cela… Pourtant ils osent ajouter que :

LMDM

3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« La MONNAIE FRANC lave plus blanc que l'EURO !… »

S'i comme je l'ai expliqué déjà souvent, revenir à la monnaie nationale ne pose aucun problème strictement technique et peut s'exécuter en 8 jours, par contre la responsabilité tombe immédiatement ! L'EURO est certes une imbécillité et une fausse monnaie diabolique, mais…

Le Franc restauré sera immédiatement fragile dans l'état d'endettement total et annuel supplémentaire actuel. Sa fragilité nous imposera l'ancienne discipline monétaire bien connue des anciens, et pour lui redonner sa force, c'est-à-dire des contreparties monétaires solides en pouvoir d'achat extérieur, il faudra travailler dur, produire et exporter beaucoup, importer peu ou rien, et sabrer dans les emplois domestiques administratifs, policiers, dans les dépenses inutiles et bien plus que l'alibi infantile du changement d'heure, réduire l'éclairage public général à moins de la moitié actuelle etc…

Donc, pour des raisons techniques commodes, le Franc nouveau sera d'abord établi à 1 pour 1 comme je n'ai cessé de l'expliquer depuis 1996 et dont j'ai réussi à convaincre Mr Bruno GOLLNISCH il y a des années. Mais, une fois ce principe technique compris et admis, il reste à réaliser, ce qui prendra deux ans textuellement (Traité de Lisbonne), le retrait de nos billes de la BCE et donc la masse monétaire française fiduciaire qu'il suffira de surchargée « Francs » sur les billets en euros nous concernant. Mais cet aspect concret ne concerne que 2% de la masse monétaire M3, c'est la masse M1. Donc 98% sont scripturaux en banques partout dans le monde et en Europe… Immédiatement, ces euros transformés en francs seront présentés à l'échange avec des dollars, des Yens, des Livres, des Francs suisses chez la Banque de France… qu'il faudra emprunter, pour les payer, sur ces marchés étrangers, puisque nous ne récupérerons rien que des dettes chez la BCE. A quel Taux ces 60% extérieurs de M3, en « Francs », devront-ils être empruntés ? La négociation de la sortie de l'Euro risque fort d'être sacrément ardue et ultra-technique ! Quant aux 40% de « Francs »  domestiques, ils devront restés en France et n'en plus sortir…

C'est donc à l'abri d'un contrôle des changes qui ne vous laissera pas sortir plus de 100 euros ( c'était 500 FF en 1981 avec FABIUS ) et interdira tout achat de biens étrangers, que la politique monétaire devra évoluer dans bien plus longtemps qu'un quinquennat, à l'intérieur conjoncturel d'une politique économique structurelle, dominée par les économies drastiques de dépenses publiques. Le redressement ne se fera pas sans douleur !

Conclusion d'ECO 2 : Donc le retour à la monnaie nationale est bien une exigence sociale et politique pour aller vers le redressement : la sortie du parc à esclaves, dans lequel nous nous sommes laissés enfermés progressivement depuis 35 ans. Mais les maîtres du monde savaient ce qu'ils faisaient en attirant les Français dans l'Euroland, en nous enfonçant dans les dettes « faciles » à l'abri d'une monnaie « unique », ils nous ont rendus l'entrée dans l'esclavage agréable, ce que déjà Thomas JEFFERSON pressentait et affirmait. Pour se redresser, redevenir libres, c'est maintenant déjà devenu plus dur que de mener la révolte de SPARTACUS. Et en reprenant le « Franc debout » ancestral, c'est-à-dire la LIBERTE, on nous a réservé le même sort qu'à lui. Il n'est pas convenable que ceux qui parlent de retour au Franc n'appellent pas clairement à l'effort de guerre économique et monétaire que nous allons devoir livrer. Les Français sont-ils volontaires pour livrer ce combat pour leur liberté ? Il faut le leur demander, en leur annonçant, non pas la facilité magique, mais le sang qu'il devront verser. Alors seulement nous saurons, si tout le monde est prêt au combat, vraiment.

LMDM


Conclusion Générale :  Il est donc évident qu'il serait BEAUCOUP plus sage de redresser d'abord en 6 ans nos finances, car c'est l'endettement annuel, et sa sommation actuelle, qui crée le problème, bâtit les barrières du parc à esclaves. Ensuite, la sortie de l'Euro sera d'autant plus aisée que nous n'aurons plus de dettes extérieures et beaucoup moins d'intérieures ! Vouloir revenir au franc dans l'état désastreux des finances nationales actuel, amènera obligatoirement des malheurs auxquels le Peuple n'est pas préparé et que les promesses de sortie et de redressement magiques que lui font les candidats présidents qui envahissent les écrans, vont lui rendre si pénible, qu'il se révoltera et fera capoter lui-même son redressement. C'est justement le piège au second degré que tendent les Maîtres du monde aux peuples qui voudraient fuir leurs parcs à esclaves, comme prévu à leur PLAN pluri-séculaire. C'est DONC la VERITE, le PRAGMATISME et l'APPEL à des EFFORTS PAYANTS à moins de dix ans que nous devons appeler le Peuple de France si l'on veut qu'il s'en sorte vraiment. AUCUN des candidats actuels ne tient le discours de cette VERITE que je m'efforce de vous faire comprendre.

LMDM