mercredi 15 mai 2013

Nos arrières-petits-enfants sont en danger d'esclavage :

Pour :
http://www.radio-silence.org/

Chroniques reprises ou citées aux liens principaux suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
- http://www.cncombattants.org
- http://www.francisrichard.net/
- http://www.echodufrioul.eu


CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N°103

MERCREDI 15 MAI 2013



Madame, Mademoiselle, Monsieur,

François CHALAIS interrogeait un jour Roberto ROSSELLINI, LUCHINO VISCONTI, SOPHIA LOREN et VITTORIO de SICA au sujet d'un de leurs « films de mémoire » des « heures sombres », pour les Italiens, de l'occupation de ROME par les Allemands, durant la dernière grande empoignade guerrière euro-asiatique, par concordance d'objectifs des pays de l'AXE alliés d'un côté et, de l'autre, des Pays anglo-saxons et Russes alliés, tenaille mondiale qui écrasa l'EMPIRE FRANCAIS. François CHALAIS, sur quelques images extraites du film, déclame cette affirmation si splendidement lumineuse : « L'INDEPENDANCE de l'ESPRIT est la CHOSE la PLUS FRAGILE du MONDE… Et le plus grand DANGER QUI LA MENACE c'est l'OUBLI… ». Chapeau Monsieur CHALAIS ! Et parce qu'un autre grand homme de l'Histoire, le général DE LATTRE DE TASSIGNY, dans un tout autre domaine, a affirmé à l'issue de cette même guerre qu' : « UN PEUPLE SANS MEMOIRE N'A POINT d'AVENIR, vous comprenez aisément le sens de mon effort permanent, qui m'a tant coûté depuis 40 ans : tenter de vous alerter sur les escroqueries immenses du « système » politico-financier et monétaire, dévoyé depuis cette  même guerre…

L'oubli de la langue française au profit d'un sabir devenu incontrôlable, d'un pidgin déjà incontrôlé, mais codifié commercialement et géopolitiquement, par les soit-disant « dictionnaires » produit par des « femmes de ménages », en réunions confidentielles comme chez le PETIT ROBERT, dont j'ai été témoin une fois, a des conséquences terribles sur la qualité des exposés, commentaires et expressions diverses. Je vais vous en donner quelques exemples aujourd'hui en les redressant pour vous. Afin de tenter de vous montrer que la perversion de la langue induit la perversité des chiffres et des commentaires économiques, je vais montrer que l'indépendance de l'Esprit est fragilisée, en fait, par l'absence d' « esprit critique », d'abord détruit par l'enseignement public qui a détruit la langue française, induisant à son tour la confusion des mots, des termes, des pensées, des idées repris ensuite dans les manuels scolaires et utilisés dans les « médias »… La disparition des exercices de style (1) si chers à mon Professeur de français aboutit à des transmissions complètement faussées des concepts, de plus exprimés faussement, du fait d'habitudes socio-éducatives, socio-culturelles, socio-économiques ici, elles-mêmes déstructurées employant des mots à contre-sens, formulant des non-sens, des contre-vérités que plus personne ne… critique plus, ou suffisamment. Pour apprécier la fragilité de l'indépendance de l'Esprit, il ne faut pas sauter directement à la case de l'OUBLI conséquence finale de sa destruction, mais passer d'abord par la restauration de l'ESPRIT CRITIQUE, alors que les gouvernants emploient de nos jours tous les moyens les plus pervers pour aboutir, au contraire, à :

 
 « La DESTRUCTION de l'ESPRIT CRITIQUE !… »
 

1) Exercices de choix des mots en rédactions puis dissertations. Par exemple : formidable est un mort fort car il exprime le résultat attendu d'un coup de foudre ou d'une force de la nature insurmontable. Formidable n'est pas un mot faible. Il faut choisir les mots en raison de leurs forces relatives, de leurs couleurs et valeurs comme en peinture… Il faut réfléchir longuement ! Ce que le temps toujours compté de nos jours nous laisse peu la possibilité de finaliser réellement.

1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :

« Le coût de la LIBERTE : - 6.000 Mds au PIB !… »

Selon une statistique de l'INSEE, parue il y a une semaine, cet Institut prévoirait un impact négatif sur « La CROISSANCE » annuelle du PIB français de - 0,1 point en 2013 sur 2012, du fait des « congés liés aux jours fériés ». Aussi sec est ajouté le chiffrage de - 2 Milliards (2) de supposé « coût pour l'économie », supposée « nationale ». Cette affirmation fut reprise partout et sur latribune.fr par exemple. Il semble que personne, sauf moi et les petits « zoziaux » chers à Michel AUDIARD, ne remarque rien d'anormal dans cette phraséologie pourtant… fumeuse ? Eh ! Bien, tout est faux ! Le signe moins sur la croissance représente tout d'abord une double cabriole intellectuelle et arithmétique. Tout d'abord la cabriole arithmétique : il s'agit d'une présupposition selon laquelle, s'il n'y avait pas les jours fériés, le PIB pourrait noter une production supérieure de + 2 Milliards à l'existante. C'est donc à un PIB supposé plus élevé de 2 Mds que l'INSEE compare l'actuel PIB de 2012 par défaut, accusant en somme les jours fériés de cette insuffisance après l'avoir chiffrée, sans que quiconque dailleurs rentre vraiment dans le détail du calcul arithmétique et statistique. La cabriole intellectuelle consiste à qualifier de « coût » pour l'économie ce manque à produire. Le seul fait de parler de coût à propos des jours fériés amène aussitôt, mentalement, celui qui a encore une cervelle en état de marche, à parler aussi de coût pour les heures non employées à la production monétarisée comme : les heures de repas, les récréations, les soins altruistes aux enfants, ou au vieux, de la part des parents, les vacances, les fins de semaines de deux jours, les nuits passées à dormir etc… Bref, l'idée même d'un coût supporté du fait des jours fériés amène à considérer que l'emploi 6 heures sur 24 n'est qu'un emploi à quart temps et que donc, SI L'ON FAISAIT TRAVAILLER LES TRAVAILLEURS 24/24 ; 7/7 et 365/365, on aurait un PIB merveilleusement quadruplé ! Le coût n'est donc pas de 2 Milliards mais de 3 fois le PIB de 2.000 Milliards, soit : 6.000 Milliards ! Mais alors, toute la population en âge de travailler serait devenue esclave… à temps plein. QUID des enfants, des vieux, des malades ?… QUID du sommeil nécessaire ? QUID de la nourriture et de la boisson nécessaire à l'entretien de la vie ?

Ensuite, le qualificatif de « nationale » accolé à l'économie est faux. Le Produit Intérieur Brut français (P.I.B.) est déterminé par la Comptabilité Nationale depuis une mesure de GISCARD D'ESTAING datant de 1977, de mémoire. Il s'est agi d'un changement radical de la composition des AGREGATS offrant des lignes visibles à la décomposition du PIB officiel. Auparavant nous connaissions le P.N.B. : PRODUIT NATIONAL BRUT ! Alors là, oui, il était « national » récapitulant les seules productions françaises en France et à l'étranger. Tandis que le PIB actuel additionne les valeurs ajoutées en France des entreprises étrangères, lesquelles travaillent et rapatrient souvent leurs avoirs et bénéfices à l'étranger, sans compter le PIB des entreprises françaises laissé aux mains des Pays hôtes, étrangers à la France. De plus, on n'additionnait pas, avant, les administrations publiques comme une production BRUTE pour NETTE comme maintenant, où à chaque fois que l'on embauche un fonctionnaire le PIB actuel augmente et ceci depuis 1981 du fait des changements éhontés de la composition des agrégats dus aux socialo-communistes… C'est dire qu'une réforme complète de la COMPTABILITE NATIONALE dans un sens complet de sa remise en ordre… comptable, s'impose à tout gouvernant honnête !

Conclusion d'ECO 1 : L'absurdité qui consiste à parler d'un « coût » pour l'économie à propos des nécessaires temps de repos – temps de repas, de sommeils, de loisirs, nécessaires – émaillant les journées et l'année travaillées, conduit à observer que les politiciens rêvent de réduire toute la population en esclavage et que leurs statisticiens, appointés sur impôts, donc aux ordres, lancent donc des ballons d'essais pour titiller les travailleurs aux fins de voir jusqu'où ils peuvent mener les bestiaux sans qu'ils ne donnent des coups de cornes rebelles ! ? Notez bien que la productivité française est largement supérieure à celle de pays où le temps de travail est notablement plus long… Je crains donc, pour ma part, que supprimer les jours fériés conduise non pas à une augmentation du PIB de 2 Mds mais à sa diminution notable d'au moins dix fois cela. Les esclaves ont toujours moins, et moins bien, travaillé que les hommes libres ! De plus, la réforme complète de la Comptabilité nationale permettrait d'apprécier en VERITE et non plus par l'addition de tous les mensonges, la valeur réelle du PRODUIT NATIONAL BRUT et NET français ! L'INSEE à cet égard à tout à refaire !… Et ses déclarations actuelles m'importent bien peu, au point que je regrette amèrement de devoir officiellement encore considérer cet Institut, dévoyé de sa mission, comme une source de données encore acceptable. Dailleurs les IPCH et EUROSTAT qui rebâtissent les chiffres ne me démentent point.
 
2) 2000 Milliards de PIB arrondi x 0,1% = 2 Mds… Aussi simpliste que cela !…


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :

« Le DELIRE IDEOLOGIQUE COÛTE TOUTE l'EPARGNE !… »

Outre la terriblement destructrice « loi ouvrant le mariage aux personnes de même sexe » qui, dès sa formulation, contourne, déforme, contrevient, gravement à la langue française, comme vous le voyez, bien des propositions, des projets de lois, deviennent des lois tout aussi dangereuses dans tous les domaines. Il en fut ainsi du Projet de loi N°298 déposé par le Gouvernement selon la Procédure accélérée en date du 17 Octobre 2012 sur le bureau de l'Assemblée Nationale conformément à l'article 38 de la Constitution. Ce projet relatif à la création de la Banque Publique d'Investissement fut porté par Pierre MOSCOVICI, ancien membre de la LCR (Ligue Communiste Révolutionnaire) et donc postsoixant'huitard attardé, « Young Leader » de la French American Foundation (3) et actuel Ministre de l'Economie et des Finances. Dans son EXPOSE des MOTIFS, il justifie au nom du Premier Ministre, ce projet de loi, de la manière suivante sur le site de l'A.N. :
« … Face à l'ampleur de la crise, la Création de la BPI vise à répondre à quatre urgences :
La première urgence, c'est de poursuivre et d'amplifier le soutien public au financement des entreprises, en particulier des TPE et des PME dans le contexte de la crise économique et financière. Alors que les conditions de crédit sont perçues comme de plus en plus difficiles et que les TPE, PME et ETI françaises manquent parfois de fonds propres pour croître, la BPI a vocation à corriger les défaillances de marché et à entraîner les investisseurs privés au service du redressement productif. Elle aura en particulier vocation à soutenir les PME, les PME industrielles et les PME innovantes. Elle pourra également répondre à une logique proche de celle de l'investisseur souverain, capable d'entrer au capital de grandes entreprises porteuses de croissance et de compétitivité pour l'économie française, en vue de stabiliser leur actionnariat.

La deuxième urgence, c'est le développement d'une nouvelle stratégie de croissance économique orientée par l'État et mise en œuvre en région, avec l'appui de la Caisse des dépôts et consignations. La BPI interviendra notamment en soutien des secteurs d'avenir et investira de manière avisée pour financer des projets de long terme. La BPI appuiera deux priorités nationales pour la croissance et la compétitivité : le soutien à l'innovation et l'accompagnement des entreprises à l'international. Elle apportera son soutien à la stratégie nationale de développement des secteurs de la conversion numérique, de la transition écologique et énergétique, de l'économie sociale et solidaire et de développement des entreprises dans les zones urbaines défavorisées. À travers l'ensemble de ses outils de financement et d'investissement, la BPI apportera également son soutien à la politique industrielle du Gouvernement, notamment pour soutenir les stratégies nationales de développement de filières. Le régime prudentiel de la BPI respectera les règles européennes et internationales : il tiendra compte des particularités des différentes filiales du groupe.

La troisième urgence, est d'offrir un meilleur service aux chefs d'entreprises par un accès direct à l'ensemble des outils nécessaires à leur développement et leur adéquation aux besoins des entreprises. Les instruments publics de l'accompagnement des entreprises et du financement de l'économie demeurent en France trop dispersés, trop complexes, ou trop lointains face aux attentes des entrepreneurs. La BPI offrira l'ensemble de ces produits au travers de guichets uniques régionaux d'un même réseau de distribution, au plus près des entreprises, notamment dans leurs projets d'investissement productif, d'innovation et d'export, pour que l'essentiel des décisions soient prises en région et dans des délais rapides. Par ailleurs, la BPI développera une offre de service et d'accompagnement des entreprises dans leurs projets de développement.

Conformément à la déclaration commune signée entre le Président de la République et les présidents de région le 12 septembre 2012, la quatrième urgence est de mobiliser ensemble l'État, la Caisse des dépôts et consignations et les régions, au service du développement économique. La BPI est donc fondée sur un partenariat entre l'État, la Caisse des dépôts et consignations et les Régions. Les Régions ont développé depuis plusieurs années des dispositifs nombreux de soutien au financement des entreprises. Cependant, aucune structure ne permet aujourd'hui la mise en cohérence de l'action portée par les Régions, à travers leurs stratégies régionales de développement économique, et l'action de l'État. Face à l'ampleur des défis, et unis dans leur volonté de créer les conditions de la croissance de demain, l'État, la Caisse des dépôts et consignations et les Régions doivent saisir l'opportunité de la création de la BPI pour œuvrer ensemble, dans la même direction, en faveur du redressement économique dans les territoires. La gouvernance nationale et régionale de la BPI incarne ce nouveau partenariat. Les régions et la BPI créeront ainsi ensemble des plates-formes communes d'accueil des entreprises pour leurs besoins de financement en matière de prêts, de garanties et de fonds propres.

La BPI développera une stratégie d'intervention spécifique en outre-mer : le mandat, les instruments et la doctrine d'intervention de la BPI seront adaptés à la prise en compte des spécificités ultra-marines. La gouvernance de la BPI devra tenir compte de ces spécificités et de la place particulière de certains acteurs en outre-mer, où l'Agence Française de Développement et les conseils régionaux sont des acteurs centraux du financement de l'économie et du soutien à l'investissement.

Le présent projet de loi vise à mettre en œuvre cette ambition ».

Je ne sais pas vous, mais moi, tout ce verbiage pédant m'insupporte ! En fait de quoi s'agit-il ? D'une supposée « CRISE », qui imposerait la création d'une banque, devant véhiculer des fonds dits « publics », car en fait volés « au public » par les impôts coercitifs, ou supposés tels car empruntés à la CDC, les prélevant elle-même dans les dépôts des livrets A par exemple, pour les diriger sur des entreprises déjà aidées par les impôts régionaux insuffisants. Pour « vendre » le « service », un tissu de succursales régionales est prévu. La BPI aura en fait pour seule et unique mission de privilégier les entreprises travaillant au service des orientations de l'Etat qui en comptabilisera les résultats économiques comme une CROISSANCE du PIB, et politiques sous forme de votes en faveur de l'idéologie au pouvoir. En fait, il s'agit d'un désastreux échafaudage d'adossements branlants en final à une « CAISSE » disparue quant à son contenu. Je vous rappelle que c'est de VOTRE EPARGNE que tous ces politichiens disposent sans vergogne pour alimenter leur ETAT-PROVIDENCE ! Vous allez donc payer trois fois : une fois en vous privant pour épargner de gré ou de force selon le véhicule, une fois encore en consommant votre épargne sans le savoir et une troisième fois en étant obligé de vous serrer à nouveau la ceinture quand on vous dira que la « Caisse » est vide !

Et tout cela après avoir nationalisé en 1946, la Banque Nationale française pour le Commerce extérieur, datant de 1920, avec un statut légal spécial, pour faciliter le financement des opérations de commerce extérieur. Elle a progressivement diversifié ses activités puis, à la faveur de privatisations, la BFCE (Banque française du commerce extérieur), est vendue de gré à gré au Crédit national, sous le gouvernement Juppé en 1996... La banque résultant de cette fusion prit le nom de NATEXIS, laquelle, deux ans plus tard, en 1998, est rachetée, toujours de gré à gré, par les BANQUES POPULAIRES. Ce sont donc les activités du Crédit National et de la BFCE que l'on retrouve dans Natixis. Créé en 2006 par la fusion de Natexis et d'Ixis, la Banque d'Investissement de la Caisse des Dépôts (BICD) fut rachetée en 2004 par la Caisse Nationale des Caisses d'Épargne la CNCE. La Banque Française du Commerce Extérieur était une Société par actions dont les grands actionnaires étaient les banques publiques comme la Caisse des dépôts, déjà, et dont le directeur était nommé par le ministère des Finances. Elle finançait les exportations par intervention directe ou caution. La BPI va donc doubler les guichets de la CNCE pour faire la même chose avec le même circuit, LOURD, qui était auparavant très bien servi par une Banque privée, justement spécialisée dans l'action revendiquée par le Gouvernement actuel avec son invention. Mais évidemment, elle était « privée », donc non soumise aux « orientations » gouvernementales devenues mondialistes et maçonniques au lieu d'être nationales, privées, dynamiques, et internationales…

Conclusion d'ECO 2 : Cette loi N° 2012-1559 du 31 DEC 2012 modifiant l'Ordonnance N°2005-722 du 29 Juin 2005 relative, déjà, à la BPI aboutit en conclusion dans la version consolidée depuis le 2 Janvier 2013 disponible sur légifrance, au Préambule suivant rédigé comme son Art. 1er A. :
Avant le chapitre Ier de l'ordonnance n° 2005-722 du 29 juin 2005 relative à la création de l'établissement public OSEO et de la société anonyme OSEO, il est ajouté un article 1er A ainsi rédigé :
« La Banque publique d'investissement est un groupe public au service du financement et du développement des entreprises, agissant en appui des politiques publiques conduites par l'Etat et conduites par les régions.
En vue de soutenir la croissance durable, l'emploi et la compétitivité de l'économie, elle favorise l'innovation, l' « amorçage », le développement, l'internationalisation, la mutation et la transmission des entreprises, en contribuant à leur financement en prêts et en fonds propres.
Elle oriente en priorité son action vers les très petites entreprises, les petites et moyennes entreprises et les entreprises de taille intermédiaire, en particulier celles du secteur industriel.
Elle investit de manière avisée pour financer des projets de long terme.
Elle accompagne la politique industrielle nationale, notamment pour soutenir les stratégies de développement de filières. Elle participe au développement des secteurs d'avenir, de la conversion numérique et de l'économie sociale et solidaire.
Elle apporte son soutien à la mise en œuvre de la transition écologique et énergétique.
Elle favorise une mobilisation de l'ensemble du système bancaire sur les projets qu'elle soutient.
Elle mène son action en coopération, en tant que de besoin, avec la Banque européenne d'investissement.
Elle développe une offre de service et d'accompagnement des entreprises tout au long de leur développement.
Elle peut stabiliser l'actionnariat de grandes entreprises porteuses de croissance et de compétitivité pour l'économie française. »
On ne peut pas mieux afficher le dirigisme socialo-communisme structuré sur des plans quinquennaux dont l'expérience a démontré l'absence totale de capacité à diriger quoi que ce soit de manière avisée. Dans une phase ultime de « crise aigüe » du « système » communiste, le plan oubliait les chaussures droites et ne livrait que des pieds gauches selon le témoignage de l'envoyé spécial de la UNE à MOSCOU dans les années 70... Voilà votre avenir avec cette « innovation » ! Non seulement vous n'aurez plus un sou mais vous boîterez !

3) Selon LE FIGARO porté à ma connaissance par M. Paul GARD, magistrat à la retraite.  


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« Le PAIEMENT par « Mobile » NE COÛTE RIEN !… »

La tribune.fr du 22 Mars 2013 titrait : «  Paiement par mobile : fini, la science-fiction ! » : « L'industrie du paiement par téléphone mobile devrait passer de 13,8 Mds de dollars US en 2013 à 278,9 Mds USD en 2018 ». Je ne vois pas d'industrie là-dedans, mais je vois très bien pourquoi certaines banques comme le CIC vendent des téléphones mobiles : profiter de l'engouement pour les « smartphones », c'est vrai extrêmement utiles, pour inclure une énième application qui remplacera favorablement pour les banques les anciennes cartes MONEO sans succès, pour épargner à la banque de devoir sortir un centime de sa caisse vide en prétendant payer là où, en fait, elle ne fait que produire des lignes comptables sans jamais rien décaisser de son petit solde à la Banque de France.

Conclusion d'ECO 3 : En somme, quand la monnaie manque, et que l'on est devenu insolvable, le meilleur moyen c'est de faire semblant de tout payer, grâce à la science-fiction, avec de la monnaie-fiction, sans un seul « radis » à croquer ! La comptabilité électronique a supprimé l'exigence du paiement réel, en monnaie réelle. Les Magistrats, si prompts à condamner BIBI FRICOTIN pour un mot en travers de leur idéologie régnante, ne trouvent bizarrement rien à redire à cette absence totale de paiement EFFECTIF des banques, en monnaie centrale, seule libératoire juridiquement pourtant !


Conclusion Générale du jour : Avec des Agrégats flous, corrigés souvent depuis 40 ans, et des spéculations avantageuses pour les « Maîtres » sur l'esclavage du Peuple, le PIB grimpe très haut et permet aux politichiens abjects de réclamer des votes en leur faveur de la part d'un public désinformé, conditionné et dressé à croire en leur réussite supposée à recréer une « croissance » économique totalement mensongère. Pour soutenir le PLUS GROS BLUFF de TOUTE l'HISTOIRE de l'HUMANITE, plus c'est GROS… plus ça marche, rien de mieux que de voler dans les Caisses tiers-détentrices au troisième degré, des épargnants que le « système » oblige à reconstituer leur épargne en permanence sous forme de travail forcé, pour produire toujours plus d'impôts venant alimenter la machine infernale. Et pour que tout le « système » paraisse tenir debout, rien de mieux que de supprimer les paiements effectifs en prétendant qu'ils sont exécutés par des relevés fictifs de banques, purement comptables. Et c'est ainsi que plus tard, nos arrière-petits-enfants apprendront comment le MONDE MERVEILLEUX d'ORWELL fut mis en place par le moyen de la DESTRUCTION de TOUT ESPRIT CRITIQUE aboutissant à l'OUBLI des attitudes et comportements SAINS, et donc à la disparition de toute INDEPENDANCE d'ESPRIT… avec l'esclavage à la clef. Merci pour eux ! Tout ce que je viens d'être obligé de vous dire me fait vomir…







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