Propagande et... contre-propagande légitime :

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CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 99

MERCREDI 13 FEVRIER 2013

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Ce matin m'est arrivée une information que je gardais de longue date en tête : le fameux poids de CO2 émit par les seules automobiles et affirmé comme un véritable acte de nuire à… la planète. C'est faux ! Faux dans le calcul officiel, faux dans le cycle naturel de l'élément carbone, faux dans ses conséquences officielles sur l'effet de serre. Cela m'a donc guidé à revoir complètement pour cette fois ma chronique telle que je l'envisageais encore hier.

J'en profite également pour vous délivrer encore par la bouche d'autres observateurs, les mêmes synthèses que je pourchasse dans chaque chronique sous tous les angles et qui constituent donc ma propre pensée, raison pour laquelle je les cite.

Mon travail d'aujourd'hui a donc pour but ouvert, et fort, de vous délivrer de la propagande mensongère officielle par ma propre :
 

 « CONTRE-PROPAGANDE par la VERITE vérifiable !… »

1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :

« VERITE sur la PROPAGANDE ECOnomico-LOGIQUE !… »

Contracter les deux notions : économique et logique en un seul mot : « ECOLOGIQUE », constitue sans doute le seul trait de génie des manipulateurs en chefs, professionnels du pouvoir, en tant qu'opposition idéologique à la LIBERTE, laquelle représente pourtant la LOI FONDAMENTALE, le socle légitime du régime dit « républicain » supposé en vigueur. Afin de remplacer la LIBERTE par l'EGALITE, allant jusqu'à l'égalitarisme qui nie les différences… tout en prônant la « diversité ». La propagande n'en est pas à une contradiction près.

En termes dits « macros » économiques, voici une excellente synthèse philosophique d'Alasdair Mac LEOD, extraite du lien ci-dessous, maintes fois exprimée à ma manière dans mes anciens articles, interventions, conférences et aussi dans les présentes chroniques. Il ne faut pas se lasser de répéter cette évidence :  

http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-la-croissance-economique-une-idee-erronee.aspx?article=3798624920G10020&redirect=false&contributor=Alasdair+MacLeod.&mk=2

« La force d'une économie de marché libre est le caractère aléatoire du processus productif. En découle le progrès des conditions de vie. Ce progrès dépend uniquement de l'expansion des facteurs de production, et la distribution des ressources disponibles dépend de l'anticipation par les entrepreneurs des besoins et des désirs de la société. Lorsque le gouvernement intervient dans ce chaos productif, il détruit son caractère aléatoire en dirigeant les actions économiques vers un objectif commun.

Les cycles destructeurs de type croissance-récession en ont toujours été la conséquence. Les gouvernements tentent de coordonner le caractère aléatoire des marchés afin de favoriser ce qu'ils appellent la croissance. Leurs politiques semblent porter leurs fruits quelques temps, après quoi elles débouchent inévitablement sur une hausse des prix, dans la mesure où les facteurs de production supplémentaires (produits bruts, force de travail et capital) deviennent de plus en plus chers. Des prix élevés se traduisent par une hausse des taux d'intérêts jusqu'à un point où ceux qui ont été séduits par le crédit peu cher doivent se résigner à subir des pertes. La théorie de la monnaie et du capital a toujours prédit de telles retombées, et les faits n'ont toujours fait que les confirmer. Il n'en est pas moins que les économistes de courant traditionnel continuent encore de les ignorer. (NDLR : Rappelez-vous le cycle infernal dit du « STOP and GO »)

L'interventionnisme est aussi certain de pouvoir réussir que l'eau de pouvoir couler vers le haut d'une colline. Le manque de croissance économique, ou plutôt les statistiques permettant de le mesurer, n'en sont que la conséquence (NDLR : d'où le fait qu'elles sont faussées exprès par le pouvoir pour faire apparaître une réalité illusoire). La question qui vient alors à se poser est de savoir si oui ou non nous pouvons faire l'expérience de la croissance économique sans intervention de la part du gouvernement ? La réponse logique à cette question est non.

Une économie de marché libre, en l'absence de facteurs extérieurs, ne croît pas ; elle progresse, ce qui est une chose absolument différente. Elle oublie peu à peu les biens dont les consommateurs ne veulent plus et produit les biens qu'ils sont susceptibles de désirer. Elle ajuste le prix des produits afin de satisfaire au mieux le consommateur tout en restant profitable. La surproduction est punie, et la sous-production invite à la compétition. Personne ne sait ce que le consommateur achètera demain, ni combien il sera prêt à payer. Les entrepreneurs intervenant au sein de ce processus de production aléatoire sont pour la plupart très bons à ce genre de devinettes, du simple fait qu'ils parient avec leur propre temps et leur propre monnaie. Ils doivent anticiper des niveaux de demande avant même de produire et d'introduire un nouveau bien sur le marché. C'est ce que nous appelons progrès, et non croissance. Le progrès consiste à produire demain de meilleurs produits qu'aujourd'hui, tout en utilisant les ressources disponibles. Le progrès, c'est la baisse des prix. Dans le même temps que les prix baissent, plus de biens peuvent être achetés pour la même somme d'argent. Ce que les gouvernements font, c'est détruire ce processus de progrès dans une tentative de le remplacer par une croissance statistique ». Et pour la faire apparaître, le gouvernement « oublie » de corriger les agrégats du PIB de l'inflation par les prix… Je vous en ai souvent parlé.

Peut-être avez-vous compris sans moi déjà que pénaliser jusqu'à la confiscation, les automobiles et seulement elles, pas les camions, les bus, les locomotives diesels, les engins de chantiers, les usines... Non ! Seulement les automobiles, surtout les anciennes, qui consomment plus avec, en moyenne, 8 l/100km que les récentes avec 5,5 l/100km, était une idée relevant de la volonté dirigiste de redresser la production de voitures en obligeant les automobilistes à mettre leurs anciens véhicules à la casse et à acheter de préférence les véhicules neufs et surtout homologués « écologiques ». D'où tous les « bonus-malus », « primes » etc… Toujours la technique de la carotte et du bâton utilisée pour les ânes ! Le bâton c'est entre autres le soulignement du poids de CO2 que nos vieilles voitures envoient dans l'atmosphère, les vilaines, les affreuses… C'est ainsi que je viens de recevoir mon relevé de péage autoroutier qui sera prochainement débité sur mon compte par prélèvement automatique obligatoire. La facture, et surtout le relevé annexé des trajets sont très instructifs à cet égard. La propagande s'en donne à cœur joie en prétendant que j'aurais émis : 11,7 Kg de CO2 sur les trajets effectués au total de 76 kms !

Suivez bien mon raisonnement :
Avec une « vieille » voiture CLIO de 16 ans datant de 1997, qui consomme de l'essence SP 98 au débit moyen de 8 litres /100 km, j'ai donc consommé : 8 l x 0,76 = 6,08 litres de l'affreux « carburant fossile » honni. L'essence étant d'une densité de 0,7 en moyenne, j'ai donc dépensé, en comptant bien : 4,256 kg de carburant. Ce carburant est composé d'Alcanes, de Cyclo-Alcanes, d'Exachlorocyclohexanes, d'Alcènes, de Benzènes (Hydrocarbures aromatiques) (1) ce qui donne dans les proportions moyennes additionnées : 665 atomes de Carbone pour 1.220 atomes d'Hydrogène. Simple règle de trois, j'ai donc envoyé dans l'atmosphère, moi l'affreux, moi le vilain : 4,256 x 665 / 1220 = 2,3199 Kg de carbone C (A=6 ;Z=12). Lesquels atomes de carbone C unitaires furent combinés avec deux atomes d'Oxygène pour un poids total d'oxygène associé de : 2,3199 / 12,0107 x 15,9994 x 2 = 6,1807 Kg… Total général de CO2 envoyé dans l'atmosphère réellement par ma modeste voiture tant honnie : 6,1807 + 2,3199 = 8,5006 Kg CO2 !

Outre le fait que ce chiffre est donc inférieur de –27,4 % à l'affichage sur mon relevé autoroutier, basé lui, sur des moyennes officielles, il faut aussi considérer que tous les arbres des bois et forêts, jardins et parcs situés dans les alentours du tracé de l'autoroute reçoivent avec bonheur ce CO2 honni par les zécolos, ils le transforment la nuit en oxygène que l'humain respire avec délectation et se nourrissent du carbone pour faire de l'écorce, des feuilles et des racines, bref pour pousser et produire des fruits, également appréciés de l'humain en sus de champignons en symbioses…

Conclusion d'ECO 1 : Voilà donc comment la propagande fonctionne en oubliant tout le profit du C02 qui participe directement au cycle écologique du carbone, et le vilain monoxyde de carbone (CO), le vrai danger, de même que les particules cancérogènes des diesels etc… Le C02 n'est pas un danger, d'autant qu'il participe aussi à l'effet de serre sans lequel, nous serions tous gelés par moins –270 °C ! MERCI le CO2 et l'effet de Serre que j'ai permis en circulant gentiment à 90/110 km/h seule vitesse maximale admise par la vieille CLIO de mon épouse…
 
1) Composition de l'essence en moyennes générales : deux Alcanes ensemble (C15H34) : 25% ;  Cyclo-Alcanes et Alcènes ensemble (C2H4 ) : 40% ; Benzènes divers en moyennes (C6H6) : 35% : total = 100 %.
2) Masses atomiques (Z) du Carbone stable = 12,0107 ; de l'oxygène stable = 15,9994 ; de la molécule de CO2 = 44,0095.

2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :

« VERITE sur la rémunération financière !… »

Le prêt à intérêts est tout autant interdit par la doctrine de l'Eglise Catholique, et même plus, qu'il le serait prétendument par l'Islam. Nous sommes bien d'accord donc pour ne guère l'apprécier et, à mon sens, il ne devrait jamais dépasser la moyenne générale du taux d'enrichissement annuel moyen total de la Nation considérée, servant idéalement de base à toute taxation fiscale. Si, par exemple, ce taux d'enrichissement mesurable à une fraction de l'épargne dégagée une année moyenne, est de +3 %, les taux d'intérêts effectifs globaux ne devraient pas le dépasser. Car sinon, ils voudraient reprendre au bénéfice du créancier une richesse qui n'est pas produite et donc confisquer une partie du patrimoine du débiteur.

De plus, la fiscalité ne devrait pas être supérieure à 10% de ce taux d'enrichissement moyen général, sauf volonté de don des Citoyens, libres de leur épargne. Dans notre exemple : 0,3 %, soit de l'épargne, soit du PIB, donc actuellement au maximum 2,1 Milliards d'€ sur 700 Mds de PIB réels pour 2.100 prétendus, assortis d'un total des P.O. de 1.200 Mds soit 60 fois trop. Voilà ce que vous dit mon ancêtre par ma voix, lui qui voulait un impôt total d'un maximum de 10% de l'enrichissement, ce qui n'est pas de la sommation des flux agrégés en PIB, comme maintenant.

NB : Le prêt à intérêt évoqué ici ne concerne pas les dividendes sur actions ou parts de sociétés qui ne peuvent être décidés que par l'assemblée générale des actionnaires ( ou équivalents ) dans le cadre du report à nouveau annuel nets des réserves et provisions légales ou facultatives.

Conclusion d'ECO 2 : Vous voyez d'ici la différence qu'il y a entre les prétentions confiscatoires outrancières de la mafia au pouvoir, spécialiste ès extorsions en tous genres, et la légitimité chrétienne et « citoyenne » laissant à l'Etat juste ce qui lui faut, et pas un centime de plus, pour la Force publique nécessaire telle que mentionnée à la DUDHC de 1789 et le minimum d'administration, à majorer en cas de guerre des frais de celle-ci pour lever l'OST. Ce qui nous amène au sujet suivant sur la monnaie…


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« VERITE ROBERVALESQUE  sur la MONNAIE !… »

Je vous livre tout d'abord un extrait, excellente synthèse philosophique, extraite du lien ci-dessous, maintes fois exprimée à ma manière dans mes anciens articles, interventions, conférences et aussi dans les présentes chroniques. Il ne faut pas se lasser de répéter cette évidence :  

http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-guerre-et-inflation--pourquoi-la-fed-a-t-elle-ete-creee.aspx?article=2338544066G10020&redirect=false&contributor=Lew+Rockwell.&mk=2

Voyez Thomas Paine, nous dit Lew ROCKWELL:
« Le papier-monnaie c'est comme boire par petites gorgées : cela apaise un moment la soif par une sensation trompeuse mais diminue aussi la chaleur naturelle et laisse le corps dans un état pire qu'on ne l'a trouvé (NDLR : c'est une drogue !). Si tel n'était pas le cas, et que la monnaie pouvait être créée selon Son « bon plaisir », chaque souverain d'Europe serait aussi riche qu'il le souhaiterait… le papier-monnaie constitue à première vue une grande économie, ou plutôt ne semble rien coûter, mais c'est la monnaie la plus chère qui soit. La facilité avec laquelle elle est émise par une assemblée, au départ, sert à emprisonner le peuple finalement. Elle opère comme anticipation des impôts futurs.

 Mais la sagesse de cette génération, attaquée par Lincoln (aux USA), a finalement été jetée par-dessus bord pendant l'époque progressiste. On a cru qu'une époque prônant une politique publique scientifique avait besoin d'une machinerie scientifique produisant de la monnaie contrôlée par une élite puissante. L'aube de l'âge de la Banque Centrale était aussi l'aube de la planification centrale et il ne pouvait y avoir de contrôle du gouvernement sur le commerce de la nation sans avoir d'abord un contrôle de la monnaie. Et une fois l'Etat maître de la monnaie et du système bancaire, il peut donner libre cours à ses ambitions.

Avant la création de la Réserve Fédérale (aux USA), l'idée d'une entrée dans le conflit qui allait devenir la première guerre mondiale aurait été inconcevable. En fait, c'était une idée hautement impopulaire et Woodrow Wilson lui-même avait fait campagne avec un programme qui promettait de nous tenir en dehors de la guerre. Mais avec un monopole monétaire, tout semblait possible. Il n'a fallu que quatre années après la création de la Fed en guise de planification politique scientifique pour que l'objectif réel devienne évident. La Fed permettrait le financement de l'entrée des USA dans la première guerre mondiale ».

On ne peut pas mieux exprimer que seule une monnaie intrinsèque peut brider les ABUS de POUVOIRS.  

Il y a un autre aspect que je voudrais souligner :
C'est la différence fondamentale entre valeur nominale et valeur intrinsèque. La grande faute humaine depuis des millénaires fut d'attribuer un nominal libellé en unités de compte à chaque pièce. Ce qui est dailleurs bien compris des Etats américains qui reprennent la monétisation intrinsèque avec des pièces d'Or et d'Argent notamment depuis 2 ans environ. Ces « pièces », au sens propre, ne comporte que la mention de leur poids de métal fin. On peut y ajouter les symboles des éléments d'alliages et de proportions. La FRAPPE doit être SINCERE et VERITABLE !

Ceci parce que la monnaie redevient alors une simple « tare » dans les échanges dans la double pesée de BORDAS sur une balance de ROBERVAL que nous apprenions en classe de CE ou CM dans les années cinquante. Un acteur met des poireaux à un poids convenu de pièces de monnaies sur un plateau, qui doit être équilibré par un service à tel poids convenu identique de monnaie. L'échange est libre. Le poids est rigoureusement pesé.

Conclusion d'ECO 3 : Bref, il était évident dès l'origine que le papier-monnaie à valeur nominale abstraite et arbitraire à valeur fluctuante au seul gré du pouvoir absolu ne pouvait pas remplacer la tare dans les échanges bien concrètes et bien connue. Il ne pouvait pas non plus aboutir à autre chose qu'à une escroquerie appelée cours légal et forcé et donc à une fuite devant cette monnaie et à une dérive des prix inflationniste. Cette escroquerie ne rend service qu'aux tenants du pouvoir absolu et esclavagise les Peuples.


Conclusion Générale du jour : Nous subissons tous les jours la propagande qui dit que seul l'Etat peut et doit imposer aux gens leurs choix, le prix de la monnaie empruntée, le type de propriété agréé, la monnaie devant être utilisée. J'espère avoir démontré ici que la VERITE est opposée à la propagande officielle dans tous les domaines et avoir servi cette VERITE encore une fois ici même.