jeudi 3 janvier 2013

De la PAIX à la GUERRE, il n'y a qu'un chemin : la GALERIE des GLACES !

Pour :
http://www.radio-silence.org/

Chroniques reprises ou citées aux liens principaux suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
- http://www.cncombattants.org
- http://www.echodufrioul.eu


CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 94


MERCREDI 2 JANVIER 2013


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Tandis que nous assistons quotidiennement à la croissance ex-nihilo, toujours surprenante par sa rapidité et ses conséquences meurtrières, similaire à celle d'un cumulonimbus en phase congestus au milieu du ciel bleu profond de PHOENIX (Arizona), des prix pratiqués partout par l'oligarchie restauratrice, commerçante, financière, fiscale (1) et mensuellement aux efforts illégaux (2), et foncièrement illégitimes du gouvernement maçonnique pour tenter de voler la totalité de leurs revenus aux riches à 85 % (3) et aux pauvres à 120% (4), le « moral des Français » baisse au-dessous de la ligne de flottaison selon les sondages. Tout du moins chez les « producteurs » car, chez les fonctionnaires, c'est plutôt la crainte de se voir remis dans le « DROIT COMMUN » qui les effraye… Avec en plus le « MUR BUDGETAIRE », modèle américain, impliquant le licenciement immédiat de 90% des susdits au premier signe de rébellion des affiliés de la Secte Noire qui peuplent le « Parlement » dès qu'ils se souviennent qu'ils sont, quand même, aussi, des « élus » du peuple.

C'est ainsi que nous assistons à l'oppression de la caste des producteurs par celle des « Intouchables », pratiquée à l'abri d'un brouillard, épaississant quotidiennement, de centaines de milliers d'articles de lois. Pour ne pas s'aliéner la finance bancaire, l'Etat, gouverné par l'élite des « Intouchables », oblige les ménages à payer 20% d'agios sur les taxes prélevées par lui, aux banques reconnaissantes. Seulement voilà, les banques se refinancant à la BCE, insolvable, les Etats de l'Eurozone disputent le rôle de monnaie de réserve au YUAN, au YEN, à la LIVRE, au Dollar US et à tous les autres. Statut qui leur permettrait de ne jamais payer, suivant en cela le mauvais exemple américain dénoncé dès 1965.

Bref, nous filons dans le TGV de l'escroquerie généralisée vers une guerre froide des monnaies qui ne peut que devenir « chaude » entre ETATS à la première étincelle. La bombe atomique anti-monétaire sera bien plus meurtrière, en final, que la bombe atomique, même mégatonnique, de la « guerre froide ». Le titre de ma chronique de ce début d'année noire ne peut donc être que :


 « OPPRESSION => ESCROQUERIE => GUERRE !… »

1) Liste non exhaustive…
2) Censure du Conseil Constitutionnel sur les 75% individuels.
3) Lettre ouverte de G. DEPARDIEU…
4) Témoignage personnel !



1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« L'OPPRESSION à 29.280 Sous !… »

La politique de la marche forcée vers l'état totalitaire, de l'économique comme du social, affiche chaque jour davantage sa couleur, par exemple, avec la confirmation de la décision SARKO-FILLON par HOLLANDE-AYRAULT d'obliger les travailleurs des 33 régimes de retraites français à ne partir en retraite qu'à 62 ans au moins et automatiquement à taux dit « plein » à… 67 ans. Date confirmée d'entrée en vigueur de la « mise au pas » cadencé de 62 millions de Français plus les étrangers : 2017, après une période transitoire faisant progresser l'alignement arithmétique des têtes par paquets de quelques centaines de milliers, tous les 4 mois.

Tandis que l'alignement des têtes s'effectue ainsi, paraît-il « en douceur », laissant apercevoir un revenu en retraite encore inférieur, en moyenne, à celui de 2012… dans cinq ans, la hausse des prix pratiquée allègrement au pas également cadencé, mais accéléré sur une échelle logarithmique, porte actuellement la soupe de poisson, d'un litre, de notre ami le poissonnier, avant-dernier maillon de la chaîne dont je suis le dernier, celui qui doit tout payer, à… 5 euros. En augmentation de 25% sur l'année dernière où elle affichait 4 euros, dit-il : « depuis 25 ans ». Confirmation : 25 FF il y a 25 ans s'évaluent à 3,81 € depuis 1999… Ne chipotons pas. Il y a 25 ans, il m'affirma gagner largement sa vie avec, alors qu'en 2012, il commence à perdre des sous en en fabriquant encore au même prix, d'où l'augmentation forcée, à regrets me dit-il… à 5 euros, du fait des charges sociales et autres frais incompressibles et indépendants de sa volonté.

C'est alors que je lui fis remarquer que :
… 5 euros c'est aussi 33 FF, donc à 20 sous le Franc (5) : 660 sous la soupe. Donc, à raison d'une soupe de poisson consommée chaque Vendredi, en bon Chrétien, donc une fois seulement par semaine, cela provoque une dépense de consommation de 4 soupes de poisson par mois soit de… 2.440 sous ! Et par an de… 29.280 sous !

Dûment informé par moi que vers la fin du XIXème siècle, un ouvrier percevait un salaire de l'ordre de 3 sous la semaine donc de 52 x 3 = 156 sous par an, sans vacances, cela mettait la consommation de sa soupe de poisson, au demeurant à se mettre à genoux devant, tellement elle est sublime, à… 188 revenus annuels ouvriers. C'est aussi une dévaluation du pouvoir d'achat de l'ordre de 9.954 pour mille (6) si l'on considère que la soupe de poisson ne devait représenter que 1/10ème des dépenses ouvrières : autres nourritures, vêtements, enfants, femme sans revenu monétaire, limitées toutes à la pauvreté connue.

Conclusion d'ECO 1 : Bref, toute hausse des prix, sans doute justifiée par la croissance longtemps entretenue, et exponentielle depuis Juillet 2012, des Prélèvements Obligatoires étatiques et para-étatiques, se comprend, dans le même moment, comme une dévaluation du pouvoir d'achat de la monnaie, préalablement reçue en revenus, ou cession d'actifs. Ce qui impose de poser la question de la qualité de la monnaie imposée par ce même Etat qui joue avec… Envers laquelle la défiance est donc la règle ! La fameuse course en cercle vicieux entre prix et revenus est donc enclenchée et totalitairement bridée par l'encadrement des revenus seuls via le SMIC, par l'indice des Prix de l'INSEE archi manipulé par l'Etat pour la limiter officiellement à… rien, quand elle est énorme. L'Etat est donc en train de priver les gens de nourriture et de chauffage, de logement et d'emploi, sans aucun scrupule. Comment voulez-vous que l'ouvrier de 1870 paye sa seule soupe hebdomadaire annuellement au prix de 188 salaires totaux ! ? Et en plus qu'il travaille ! ? Comment peut-on imaginer vu de l'Elysée que le retraité de 2012 à 725 euros mensuels puisse encore payer 20 euros de soupe sur 4 vendredis ! ? Autrement dit à deux repas par jour à 10 euros : 310 € de soupes quand il lui faut déjà payer annuellement 128 euros de taxe sur les ordures ménagères, 131 euros de taxe audiovisuelle, 730 euros de taxe d'habitation, plus… 396 euros d'impôts IRPP et 1.500 euros de TVA, TIPP et autres… Comment voulez-vous qu'il s'habille ? Il va, tout nu, bientôt montrer sa pauvreté dans la rue, le retraité !

5) Lien ancestral du Franc avec le Sou. La pièce de 5 Francs était réputée aussi par mes grand-Parents comme pièce de 100 sous … Voir « mon histoire de la monnaie » incluse dans mes chroniques N°1 à 31.
6) 1/188 = 0,005 donc moins 995,4/1000 que redivise 10 = 9954/1000.


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :


« La Guerre vicieuse à 20 % + TAXES contre l'Epargne !… »

Tandis que la SNCF envisagerait de « titriser », même si cela ne me semble pas le terme approprié compte tenu de l'opération, 7 ans d'avance de subventions d'ETAT attendues via le seul STIF (7), afin d'en disposer de suite pour boucher partiellement quelques trous magistraux, autrement dit envisage de tirer un plan sur la comète d'autant plus nuageux que l'Etat devra emprunter les sommes requises à des banques exsangues, elles-mêmes refinancées à court terme par la BCE qui n'a pas, pour ce faire, le premier dollar, le « CON-TRIBUABLE à MERCY » doit déjà emprunter à 19,71%, disons 20% pour arrondir, les sommes nécessaires pour payer lesdits emprunts, à ces mêmes banques à tout faire…

Car de nos jours les pauvres doivent emprunter à nouveau pour rembourser ce que l'Etat a déjà emprunté, lequel fait donc un transfert de ses dettes chez les pauvres. Et ceci depuis 1959 ! Avec une accélération logarithmique depuis 1986… Même si les riches se plaignent, à juste titre, d'être privé de leur richesse à 85%, comme le claironne le tonitruant Gérard DEPARDIEU avec raison, les pauvres eux, son privés de leurs maigres revenus à raison de... 100 + 20 = 120 % ! Bref, ils creusent leurs tombes tous les jours…

Conclusion d'ECO 2 : La faillite de l'Etat se transmet donc aux ménages, riches et pauvres, lequel est malvenu ensuite de reprocher, et sur quel ton, via ses tribunaux, aux dits ménages leur surendettement induit.

7) Syndicat des Transports d'Ile de France (STIF).

3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :


ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« La GUERRE entre ESCROCS est déclarée !… »

C'est au lien ci-dessous que l'aveu arrive : bête, irresponsable, lâche, de la base de raisonnement sur laquelle tout le drame en cours de développement laisse prévoir à coup sûr, des conflits terribles :

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20121226trib000739400/les-banques-centrales-ultime-recours-pour-promouvoir-la-croissance.html#xtor=EPR-2-[Morning+Briefing]-20121227

Extrait :

« Dans le même ordre d'idées, les critiques - souvent violentes - à l'encontre de la Réserve fédérale américaine sont malvenues et exaspérantes. Comment accuser en effet cet établissement de contribuer à la distorsion des conditions économiques et financières à travers ses multiples programmes de création monétaire, alors que les marchés, et la conjoncture, sont eux-mêmes si troublés ? Il est temps de se rendre compte que notre monde actuel n'est rien moins que dans une trappe de liquidités car il est devenu strictement impossible de résorber le chômage en réduisant des taux d'intérêts... lesquels sont déjà au niveau zéro. Dans de telles conditions extrêmes, le devoir de la Fed - comme de toute autre banque centrale - est de corriger ces distorsions avec un objectif prioritaire : le rétablissement de l'emploi. Seule son action dans le sens d'une augmentation des attentes inflationnistes contribuera de manière décisive à faire baisser le taux d'intérêt « réel » quand le taux nominal, lui, se retrouve au plancher. La posture la plus risquée - et certainement la moins responsable et la moins digne d'une banque centrale - étant de ne rien faire, la Fed (comme la BCE dans un monde idéal) doit donc se lancer dans des achats d'actifs afin d'éviter la liquéfaction de son économie et de juguler le chômage.

Voilà pourquoi la seule approche qui motive, en temps de crise, les entreprises de mettre leurs liquidités à la disposition de l'économie réelle et au profit d'investissements d'avenir est dans les mains de leur banque centrale.

*Michel Santi est un économiste franco-suisse qui conseille des banques centrales de pays émergents. Il est membre du World Economic Forum, de l'IFRI et est membre fondateur de l'O.N.G. « Finance Watch ». Il est aussi l'auteur de l'ouvrage "Splendeurs et misères du libéralisme" ». Tous ses titres expliquent sa position…

Vous constatez, comme moi, le fondement keynésien du « devoir » prêté par lui aux Banques Centrales encore dites « Nationales » (BCN). Eh ! Bien, NON, les BCN n'ont jamais eu à se soucier de quoi que ce soit d'autre que la qualité de la MONNAIE qu'elles mettent en circulation. Si plus de monnaie est réclamée par certains groupes factieux, et que la BCN ne puisse les satisfaire, même une demande justifiée de l'économie, notamment pour des causes d'expansion démographiques, qu'au prix d'une dévaluation de la monnaie, elle ne doit pas céder. Je rappelle que pour avoir été contraint et forcé, avec le même raisonnement, à dévaluer la qualité des pièces d'Argent de 8,5% seulement, le Roi, fils de PHILIPPE IV « LE BEL » a été amené à sacrifier injustement son Ministre des Finances absolument intègre : ANGUERRAND de MARIGNY ! Il serait certainement horrifié de voir la monnaie en circulation actuellement et les procédures de QE à répétitions suivies par les BCN…

C'est si vrai que Capital.fr titrait le 24 DEC, sourcé sur REUTERS : « Le SPECTRE d'une GUERRE des DEVISES plane sur 2013 » ! Ajoutant en sous-titre : « La GUERRE des MONNAIES… pourrait-elle se transformer en GUERRE OUVERTE ENTRE ETATS » ! ? Dans son commentaire d'Introduction, il prend le contre-pied de la thèse keynésienne soutenue par Michel SANTI : Alors que « … La Banque du Japon décide de donner un coup d'accélérateur à son programme d'assouplissement quantitatif pour la 3ème fois en 4 mois, le dernier en date des BCN occidentales pour soutenir leur croissance, en recourant à des outils non conventionnels » . Notez « qu'en termes galants ces choses-là sont dites » ! Et poursuit : « Les ETATS émergents pourraient avoir à payer le prix de cette politique monétaire ultra accomodante » ! Dans ces conditions il était superflu d'ajouter : « … nous assistons actuellement à une course à la dévaluation » comme croit devoir le préciser un Pays membre du G7… C'est le ministre chilien Felipe LARRAIN qui estimait entre le 17 et le 24 DEC dernier « que la décision de la FED ( NDLR : et des autres ) de prendre des mesures d'assouplissement monétaire encore plus agressives, pouvait légitimement inquiéter les Pays émergents, eux dotés d'une croissance solide et d'un taux de change flottant » ! Sous-entendu, leurs monnaies seront poussées à la hausse relativement à la dévaluation des monnaies jusque-là réputées fortes et donc leurs exportations contrariées…

Alors que l'on discerne immédiatement la volonté dévaluatrice du côté des débiteurs douteux, elle apparaît plus destinée à nuire aux Pays travailleurs, producteurs et exportateurs, dits « émergents », en croissance économique réelle, plutôt qu'à tenter classiquement de faire repartir les exportations des Pays occidentaux et à ralentir leurs importations. Ceci est dailleurs confirmé par l'exemple anglais qui montre que : « … Depuis que la Banque d'Angleterre a entamé une politique d'assouplissement monétaire et vu dévaluer sa monnaie de –25%, le déficit commercial du Pays n'a pourtant pas cessé de se creuser à 8,9 Milliards de £g par mois en 2012 contre 8,4 Mds £g par mois en 2011, en moyennes. Ce qui fait que les Pays occidentaux commencent à (re) découvrir que le taux de change n'est que l'un des deux facteurs seulement, déterminants la compétitivité des exportations d'un Pays ». L'autre étant le prix de revient de la production et sa sous-composante essentielle : les charges publiques imposées, complétées des rigidités structurelles du marché de l'emploi dues à une légalité d'obédience sectaro-judéo-marxiste.

Conclusion d'ECO 3 : Bref, entre « les tensions gérables » (Capital.fr) et celles, beaucoup plus massives qui ne le sont plus, lesquelles déportent les masses monétaires vers des explosions mégatonniques, c'est à qui, de ces escrocs étatiques, imposera sa fausse monnaie « nationale » au troupeau de moutons mondial ! Plaçant des complices aux postes de commandes internes du concurrent pour lui faire accepter SA fausse monnaie, en paiement d'abord, puis en réserve de change ensuite ! Une telle guerre des monnaies ne peut, dans ces conditions que déboucher sur une guerre mondiale ultra-chaude dans les années à venir, quand la pauvreté des Peuples leur sera devenue invivable !


Conclusion Générale du jour : Le maintien des trains de vies exorbitants des Etats totalitaires, dont la France occupe l'une des trois premières places mondiales, impose aux Peuples asservis des charges impayables que le transfert momentané, depuis 26 ans, sur l'appel au crédit bancaire, ne pourra bientôt plus camoufler. L'asservissement totalitaire socialo-communiste et sa composante keynésienne économico-financière, à la base de l'idéologie imposée, appauvrit les Peuples à une vitesse devenue exponentielle depuis 1986. La satisfaction des besoins de financements de ces Etats, en banqueroutes frauduleuses, emporte leurs Banques Centrales du salon de la PAIX à celui de la GUERRE en leur faisant, en ce moment, traverser la GALERIE des GLACES de VERSAILLES. LOUIS XIV, par cette réalisation magistrale, au but alors essentiellement diplomatique, nous a pourtant légué la vision supérieure de cette réalité éternelle imposée par « la LOI d'AIRAIN des NATIONS » redécouverte, comme l'eau chaude, par un DE GAULLE sidéré de sa présence à la tête de l'Etat le plus civilisé du monde, qu'il a pourtant livré « pieds et poings liés » au communisme.

Aucun commentaire: