dimanche 20 janvier 2013

Conduite gouvernementale forcée contre Nature :

Pour :
http://www.radio-silence.org/

Chroniques reprises ou citées aux liens principaux suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
- http://www.cncombattants.org
- http://www.echodufrioul.eu


CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 95


MERCREDI 16 JANVIER 2013


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

« Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué » ! ? Eh ! Bien… parce que « faire simple » nécessite une quantité énorme de travail, laquelle masque la complexité, ne laissant apparaître que le résultat clair, ce que Jean COCTEAU résuma de la manière suivante : « Le travail doit effacer le travail »... Les bénéficiaires de ce travail ne se rendent généralement pas compte de ce qu'il suppose… Par exemple, une littérature très « châtiée » par son auteur, très aboutie, donne au lecteur l'impression d'être intelligent car il comprend tout… sur le moment. Vous avez dit : illusion de l'intelligence ? Oui, en l'absence de travail personnel.

Les sportifs de très haut niveau, absolument uniques au monde, capables de soutenir durant 3 mois, nuit et jour, un effort titanesque de maîtrise des éléments « rugissants » et même « hurlants », qualifié cette semaine par Jean LE CAM, capitaine de « Synerciel », en course en solitaire du VENDEE-GLOBE, de « parcours du combattant » lequel additionne toutes les difficultés imaginables, ne suivent pas la route orthodromique, la plus simple. Pourquoi ? Parce qu'ils doivent utiliser les courants et les vents marins, rarement ordonnés suivant les Forces de Coriolis, dans le seul but de parvenir le plus vite possible au but, leur route ressemblent à des zigs-zags et jamais à une ligne droite… Bref, le plus simple, en apparence, pour les travailleurs n'est que très rarement leur intérêt, alors que la complexité, souvent difficile à comprendre en matière économique, apporte généralement richesse et plus-values. L'économie c'est la VIE elle-même, à la fois compliquée et très simple. Les milliards d'espèces et de variétés du VIVANT masquent une réalité : la « Loi de la dépendance » des espèces, entre elles. Aucune ne peut vivre sans manger les autres, nécessité impliquant obligatoirement complexité des apparences, des réalités, par multiplication des évolutions permanentes, en plus, sans pourtant rien changer à la simplicité du besoin.

En matière économique, le PEUPLE, depuis des milliers d'années, a toujours réclamé ce qui allait lui causer le plus de MAL sous prétexte souvent d'EGALITE, simplifiée à l'extrême, dans un « changement » rapide, avec les dirigeants, les « Riches », les « élites »… Chez les Egyptiens, le PEUPLE réclama donc le droit d'usage de la monnaie pour avoir les mêmes « droits » que les dirigeants. La monnaie, en Arabe se dit : « MAL ». Et c'est bien depuis plus de 3.000 ans, le MAL qui s'est répandu, dans les deux sens du terme. L'HISTOIRE nous sert de fil conducteur et nous aide à comprendre comment les peuples, depuis plus de 3 millénaires environ, sont prisonniers, pour leurs malheurs, dans :


 « TROIS CONDUITES FORCEES !… »


1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« 1ère conduite : La CONDUITE dépressionnaire !… »

Dans ma dernière chronique N°94, vous avez certainement remarqué que cet ouvrier de 1851-1871 qui gagnait 3 Sous la semaine, en gagnait donc par simple multiplication de ma part x 52 = 156 à l'année. Passons sur l'aspect monopolisation de la vie entière par le « temps de travail »… lequel ne laissait guère de place aux autres « temps » comme ceux des loisirs, de la famille, du repos, à l'exception des fêtes coutumières catholiques, doublées, par anticléricalisme, de « fêtes » républicaines… Bonus malsain, car dépressionnaire en quantité de travail, donc de production… Les dirigeants républicains, eux-mêmes, ont souvent dénoncé la multiplication des jours fériés comme explication à l'insuffisance de production, ou de productivité…

Le calcul coutumier procurait donc 156 Sous à l'ouvrier dans ce XIXème siècle dont Victor HUGO démontra dans ses ouvrages politiques (1) qu'il avait toutes les raisons d'être fier.

Les revendications populaires sont généralement contraires à l'intérêt véritable du Peuple ; en voici un exemple : si vous multipliez par 4 semaines (en moyenne) par mois, vous donnez mensuellement 4 x 3 Sous = 12 Sous le mois et donc x 12 mois = 144 Sous à l'année à l'ouvrier mensualisé, pour lui faire plaisir en lui donnant le même statut égalitaire qu'aux employés, eux mensualisés, et en lui laissant, en apparence, un bonus sous la forme de 4 semaines de congés supposés « payés ». Résultat, le « semainier » converti en « mensuel », ne gagne plus que 92,31% de son salaire antérieur et l'employeur fait ainsi une économie de près de 8% ! Voilà le « calcul » bourgeois par excellence. En répondant favorablement à une réclamation ouvrière portant sur la reconnaissance de son statut social, la bourgeoisie à fait une économie. Même si elle l'a dissimulé derrière un maintien momentané des 156 Sous annuels, la correction par l'inflation monétaire et des prix poussés à la hausse pour compenser les charges des entreprises aboutissant à une perte de pouvoir d'achat de ces 156 Sous revenant à celui de 144 Sous au bout d'un an, au pire ( pour la bourgeoisie ) en deux ou 3 ans…

C'est ainsi que le gouvernement, cédant en apparence à la pression populaire, aiguillonnée par les syndicats politisés et les partis dits « de gauche » revendiquant la mensualisation pour les couches ouvrières, soit-disant maltraitées socialement, a fait voter par les Parlementaires une loi, aussitôt promulguée par Le Président de la république en 1972-1973, obligeant à payer mensuellement les ouvriers et la majorité de la population travailleuse. Ce qu'on a appelé alors : la MENSUALISATION. Cette « réforme » n'apporta que des inconvénients : multiplication par 4 de la masse monétaire nécessaire ( ce que nous allons voir en ECO3 ), endettement de l'Etat auprès des banques de tous types y compris « centrales » indirectement ( ce que nous allons voir en ECO2 ), et baisse rapide du pouvoir d'achat des travailleurs. En effet, produire moins, aboutit forcément à la pauvreté. Ce fut la conduite forcée imposée par la Gauche triomphante de 1981 à 1986. Ce que le Peuple ne supporta pas provoquant une première « cohabitation » supposée, car uniquement politicienne.

En 2013, le gouvernement prétend accroître cette pauvreté à l'immédiat, en recherchant la seule croissance du PIB en valeur car destinée uniquement à lui faciliter l'endettement croissant de l'Etat, lequel refuse toute économie réelle des dépenses publiques donc recoure aux Prélèvements fiscaux en augmentations annuelles continues depuis 40 ans : 30 Milliards d'euros, un rien, cette année.

Citons :
http://www.latribune.fr/actualites/economie/20130111trib000742057/la-magistrale-lecon-d-economie-du-professeur-michel-rocard-sur-la-situation-de-la-france.html#xtor=EPR-2-[Morning+Briefing]-20130114

Cette recherche, Michel ROCARD, ancien 1er Ministre de Sa Majesté républicaine MITTERRAND, vient de la tuer d'un coup, le 10 Janvier : « …Vous dites qu'il faut : Faire de 2013 une année de croissance ?  Eh ! Bien, Je ne crois pas à la moindre croissance en 2013 » ! Il rappela le « constat de la part de la classe politique que certains rouages de l'économie française ne fonctionnent pas. Comme en témoignent la part croissante de faillites de ses PME, la baisse de la productivité horaire du travail, le mauvais état du commerce extérieur ou la perte de pouvoir vis-à-vis de l'Asie ».

Conclusion d'ECO 1 :
Bref, la recherche contrainte et forcée de la croissance du PIB au prix de la fabrication décennale de générations de nouveaux pauvres ne fait que démontrer le caractère dépressionnaire de la spirale enclenchée du tout-public, au détriment du tout-privé. Le tout-privé oblige tout le monde à produire réellement quelque chose tandis que le tout-public réduit la production réelle et donc le pouvoir d'achat réel des travailleurs, par leur trop grande proportion employée à ne produire que de moins en moins, relativement à leur trop grand nombre au frais d'une production réelle diminuant annuellement. Entre les apparences gratifiantes, sectaro-médiato-politiciennement entretenues et la réalité, il y a un cyclone ultra-dépressionnaire et ultra-violent.

1) « Napoléon le Petit » et « Histoire d'un crime ».


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :



« 2ème conduite : La CONDUITE BOUILLONNANTE !… »

C'est en plein au moment où les entreprises durent trouver auprès des banques 4 fois plus de monnaie le jour « J » des payes mensuelles que d'habitude pour les payes hebdomadaires, alors qu'elles devaient emprunter souvent pour ce faire aux banques, elles-mêmes peu ou pas refinancées alors par la Banque de France, que se produisit l'événement le plus terrible qui se soit jamais produit en matière monétaire. Ce fut une valse à 3 temps : 1971-1973-1976… 1971 : dévaluation du dollar US de 100% de 35 à 70 $US l'Once ; 1973 : fin du paiement en or de la réserve Fédérale des dollars présentés au paiement par les Banques Centrales créancières comme le fit en dernier lieu la banque de France ; 1976 : Institutionnalisation du flottement des changes et donc disparition de toutes les parités fixes entre monnaies occidentales, dominant le monde d'alors. Ce fut le commencement du bouillonnement monétaire, de la consommation du bouillon infernal, le début du BOUILLON pour les économies…

Citons à nouveau :
http://www.latribune.fr/actualites/economie/20130111trib000742057/la-magistrale-lecon-d-economie-du-professeur-michel-rocard-sur-la-situation-de-la-france.html#xtor=EPR-2-[Morning+Briefing]-20130114

« Août 1971 est la date qui fait entrer notre monde dans le désordre financier international », tranche Michel Rocard devant son auditoire de 500 professionnels de l'immobilier. Cette date, selon lui, « a marqué le passage d'un système de changes fixe instauré avec les accords de Bretton Woods en 1944, à un système de changes flottants ». Et ajoute-t-il : « … La mise en place d'un tel système de changes a engendré le développement de l'ingénierie financière laquelle se matérialisa, en premier lieu, par la création de produits dérivés censés assurer les évolutions malvenues de prix sur les marchés financiers (2)… S'en est suivie une multitude d'innovations qui ont dicté l'évolution de la finance jusqu'au désastre que l'on a connu en 2008 (3).

C'est bien pourquoi, moi, Conseiller Financier, surtout de la Haute Banque, j'ai toujours refusé de guider les gens vers ces produits aux dérivations scabreuses et en multiplications exponentielles. J'ai donc démissionné avec pertes pour moi et fracas prévus pour ceux qui acceptaient : professionnels comme clients, de s'engager dans ces voies aux périls masqués sous de mirifiques prévisions de bénéfices… en monnaies de singes !

C'est donc sur des refinancements fictifs, aux habillages magiques, que tous les crédits bancaires furent donc consentis aux entreprises et, plus grave encore, aux acquéreurs de biens immobiliers dont les prix furent lancés sur une orbite inflationniste circum-galactique ! Revoir à ce sujet le livre, dont jamais nous ne pourrons nous lasser, de François GILLES, ancien Sous-Directeur général, à propos de la sinistre affaire du Crédit Lyonnais…

Conclusion d'ECO 2 : La faillite potentielle des banques, cartellisées en violation du Code Civil, avec la complicité de l'impécunieux Etat français républicain, fut, dès 1973-1976 gravée dans le marbre de la réalité et de manière immorale, et même amorale, masquée par les décrets de LA République maçonnique. Vous comprenez mieux maintenant pourquoi CHIRAC a déclaré : « Nulle moralité ne doit passer par-dessus les Lois de LA République » ! Et pourquoi un être immoral, incapable, de notoriété publique, de s'engager dans le mariage, juge cyniquement sans aucun intérêt l'attachement du Peuple pour cette Institution… morale, d'essence Naturelle et Divine. Laissons-le faire : il détruit lui-même le régime politique en même temps que son « mariage civil » inventé par la Révolution. Et réfugions donc le Peuple dans le Mariage–Sacrement divin consigné dans le Livret de Famille Catholique qui restera en février 2013, le seul valable. Comme quoi, chassez, Messieurs les Adeptes de Satan la moralité et elle revient au galop par vos propres fautes. C'est ce qui va arriver aussi en matière financière avec la fin d'ici 2016 de la Corne d'Abondance monétaire artificielle.


2) Sous-entendu les hausses de prix ultra-spéculatives et non payables par l'économie productive, dans l'immobilier, secteur le plus gros consommateur de quantités monétaires…
3) Fin annoncée du crédit bancaire avec 3 ans d'avance avec menace de « crise » économique aussitôt expliquée comme d'actualité immédiate par tous les « médias » aux ordres des … banques. Je dénonçai alors cette manipulation. Cf. : mes chroniques précédentes.


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :


ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« 3ème conduite : Le CONDUITE INFLATIONNISTE !… »

A'u bout de la tuyauterie, l'obligation de la BCN de mettre de plus en plus souvent toujours plus de monnaie en circulation pour payer les spéculateurs mais surtout les besoins étatiques depuis les guerres napoléoniennes engendrées par la révolution elle-même subventionnée d'abord par l'Angleterre puis par l'Allemagne d'Otto VON BISMARCK, tous deux irresponsables apprentis-sorciers, avec pour seul objectif de ruiner l'Empire français comme la colonie qui avait eu l'outrecuidance d'obtenir son indépendance avec le concours de la même grande responsable… Les guerres à répétitions depuis 220 ans, devenues mondiales ont ruiné la monnaie, comme nous l'enseigne déjà Saluste à propos de la fameuse guerre contre DJUGURTA et tant d'autres depuis des millénaires…

Le malheur est que l'invention de la monnaie-papier valant reconnaissance de dette BCN puis de la monnaie scripturale bancaire privée et commerciale permit de mettre en circulation 4 fois plus de monnaie qu'avant en un temps très court de quelques années depuis 1976, 1986… et depuis 2008 de la monnaie-comptable inexistante et sans contrepartie économique aucune grâce à des règles érigeant la banqueroute en méthode de financement. Ce sont ces règles-là qui sont historiquement complètement nouvelles.

Citons encore :
http://www.latribune.fr/actualites/economie/20130111trib000742057/la-magistrale-lecon-d-economie-du-professeur-michel-rocard-sur-la-situation-de-la-france.html#xtor=EPR-2-[Morning+Briefing]-20130114

Michel ROCARD n'oublie pas d'alerter sur les « 750 trillions de dollars de liquidités spéculati-ves encore présents sur le marché qui sont sans contrepartie valide » : 750.000 Milliards de faux dollars US en circulation ! Plus 59.000 Milliards de dettes publiques mondiales additionnées en 2011 !… Soit 93% spéculatives !

Le total est si énorme, et surtout, si totalement disproportionné des possibilités de la Terre à tout jamais, que la garantie de pouvoir d'achat de tous ces « dollars » est dores et déjà connue : NULLE ! Ce ne sont que grains de sables aux fonds des Océans, dans les déserts, et sur les plages…

Conclusion d'ECO 3 : Le cycle dépressionnaire enclenché par les guerres, l'irresponsabilité politique de deux grands Pays gouvernés par des malfaisants, la destruction du modèle français, a donc généré une masse monétaire sans aucune valeur et que les Peuples ne peuvent que rejeter prochainement, sans doute en guillotinnant les usuriers, les spéculateurs et les banquiers, et cela va se produire vite, je pense d'ici 2016 ?  Car le système est programmé pour s'effondrer d'un coup, d'une heure sur l'autre, entre 2014 et 2016.


Conclusion Générale du jour : Le Cycle dépressionnaire enclenché par des revendications populaires stupides entretenues par la haine étrangère contre la France, avec pour conséquence la généralisation de la pauvreté au plan mondial, l'incitation aux guerres multiples, le bouillonnement imaginatif des banqueroutiers professionnels ultra-spoliateur du Peuple, et l'affolement des banquiers centraux disqualifiant chaque mois davantage leurs monnaies, tout cela ne peut conduire qu'au Salut du Peuple par le rejet de tous ces fous-cinglés, de leurs tambouilles sectaires infectes, et donc le retour à une économie humaine saine basée uniquement sur le TRAVAIL productif vrai, avec pour UNITE oubliée à l'usage retrouvé : l'Heure de travail productif, sur une échelle des valeurs simple et dignement constatée officiellement. Tout doit être ramené en pouvoir d'achat horaire de travail comme le conseillait encore le B.I.T (Bureau International du Travail) dans les années soixante.

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