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CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 80
Reprise de la CONFERENCE-DEBAT du Vendredi 11 MAI 2012
Restaurant « LE POUSSIN » - 2 rue Poussin – 75016 PARIS
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CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 80
Reprise de la CONFERENCE-DEBAT du Vendredi 11 MAI 2012
Restaurant « LE POUSSIN » - 2 rue Poussin – 75016 PARIS
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Au cours du débat républicain insipide, entre les deux candidats au poste suprême, du Mercredi soir 2 MAI 2012 dernier, SARKOSY a recadré F. HOLLANDE en précisant qu'il y avait « non pas UNE… mais DES crises ». Comme le souligne l'avertissement de l'Académie française dans le dictionnaire, « ce mot Crise est souvent employé abusivement. Il devrait être réservé à des phénomènes précis et à des événements limités dans le temps ». Dans le passé récent, on parlait de « crise internationale » quand elle risquait de déboucher sur un conflit armé, comme l'affaire des fusées de Cuba qui dura 3 semaines en 1962. Egalement, lorsqu'un accident subit et imprévu, atteignait une personne, ou l'économie entière, en bonne santé apparente jusque-là, le qualificatif de « CRISE » était alors justifié dans ces deux cas.
Mais le mot est ici employé abusivement, a fortiori au pluriel. Car les événements financiers et bancaires auxquels le monde politicien sectaro-républicano-européen est confronté, étaient, non seulement prévisibles, mais prévus, depuis environ… 3.742 ans ! Et, de toutes façons, certains depuis 1973, puisque programmés depuis 1929 et codifiés en 1944 à BRETTON-WOODS dans la banlieue de WASHINGTON. Comme on le voit maintenant clairement, les développements en cours conduisent à la chute du régime politique sectaro-républicano-occidental causé par ses dépenses irresponsables, parce qu'il les a honteusement couvertes par « une chaîne de Ponzi… montage financier frauduleux qui consiste à rembourser » les dettes effectuées par les Etats euro-étatsuniens, au moyen essentiellement de monnaie inventée par les Institutions monétaires centrales réalimentant le paravent bancaire en faillite et à bout de souffle. Ce montage est découvert depuis 2008 et il s'écroulera indubitablement quand les sommes procurées par les inventions de monnaie centrale inexistante et sans contrepartie de 2011 ne pourront plus être remboursées en 2014. La chaîne de Ponzi « tient son nom de Charles Ponzi qui est devenu célèbre après avoir mis en place une opération (de cavalerie)… à Boston dans les années 1920 », ajoute wikipédia, laquelle opération sert donc à la fois de modèle aux escrocs d'Etats et bancaires associés actuels, et de référence d'avertissement pour les Peuples en 2012.
Il s'agit d'un jeu de MISTIGRI dans lequel les victimes par milliards de ces escroqueries monstrueuses, dont j'ai déjà signalé dans mes chroniques l'importance devenue supérieure à toutes les ressources potentielles de la planète, vont donc se retrouvées toutes nues et… en esclavage, à côté d'un tas de papiers colorés sans aucune valeur, les billets de la FED et de la BCE, mais aussi les « extraits » de « comptes » bancaires. Ce qui pose le problème urgent – non abordé par les deux candidats, évidemment de connivence - de rétablir :
Au cours du débat républicain insipide, entre les deux candidats au poste suprême, du Mercredi soir 2 MAI 2012 dernier, SARKOSY a recadré F. HOLLANDE en précisant qu'il y avait « non pas UNE… mais DES crises ». Comme le souligne l'avertissement de l'Académie française dans le dictionnaire, « ce mot Crise est souvent employé abusivement. Il devrait être réservé à des phénomènes précis et à des événements limités dans le temps ». Dans le passé récent, on parlait de « crise internationale » quand elle risquait de déboucher sur un conflit armé, comme l'affaire des fusées de Cuba qui dura 3 semaines en 1962. Egalement, lorsqu'un accident subit et imprévu, atteignait une personne, ou l'économie entière, en bonne santé apparente jusque-là, le qualificatif de « CRISE » était alors justifié dans ces deux cas.
Mais le mot est ici employé abusivement, a fortiori au pluriel. Car les événements financiers et bancaires auxquels le monde politicien sectaro-républicano-européen est confronté, étaient, non seulement prévisibles, mais prévus, depuis environ… 3.742 ans ! Et, de toutes façons, certains depuis 1973, puisque programmés depuis 1929 et codifiés en 1944 à BRETTON-WOODS dans la banlieue de WASHINGTON. Comme on le voit maintenant clairement, les développements en cours conduisent à la chute du régime politique sectaro-républicano-occidental causé par ses dépenses irresponsables, parce qu'il les a honteusement couvertes par « une chaîne de Ponzi… montage financier frauduleux qui consiste à rembourser » les dettes effectuées par les Etats euro-étatsuniens, au moyen essentiellement de monnaie inventée par les Institutions monétaires centrales réalimentant le paravent bancaire en faillite et à bout de souffle. Ce montage est découvert depuis 2008 et il s'écroulera indubitablement quand les sommes procurées par les inventions de monnaie centrale inexistante et sans contrepartie de 2011 ne pourront plus être remboursées en 2014. La chaîne de Ponzi « tient son nom de Charles Ponzi qui est devenu célèbre après avoir mis en place une opération (de cavalerie)… à Boston dans les années 1920 », ajoute wikipédia, laquelle opération sert donc à la fois de modèle aux escrocs d'Etats et bancaires associés actuels, et de référence d'avertissement pour les Peuples en 2012.
Il s'agit d'un jeu de MISTIGRI dans lequel les victimes par milliards de ces escroqueries monstrueuses, dont j'ai déjà signalé dans mes chroniques l'importance devenue supérieure à toutes les ressources potentielles de la planète, vont donc se retrouvées toutes nues et… en esclavage, à côté d'un tas de papiers colorés sans aucune valeur, les billets de la FED et de la BCE, mais aussi les « extraits » de « comptes » bancaires. Ce qui pose le problème urgent – non abordé par les deux candidats, évidemment de connivence - de rétablir :
« UNE VRAIE MONNAIE, POUR UNE VRAIE SOCIETE LIBRE !… »
1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :
« Une Société LIBRE respecte la GRAVITE du lustre !… »
Il nous faut tout d'abord définir ce qu'est une Société, car une collectivité d'individus ne forme pas une Société. Puisque le dictionnaire en ligne de l'Académie française s'arrête à « raidisseur », je vais vous proposer ma propre définition : selon moi, pour qu'il y est Société entre individus, il faut et il suffit qu'ils proviennent de la même culture, acceptent les mêmes Institutions, les mêmes lois, et qu'ils s'engagent à défendre leur Société si elle venait à être mise en danger de n'importe quelle manière, par n'importe qui, dans n'importe quel domaine. Pour qu'une Société soit LIBRE, il faut et il suffit que tous les Individus qui la compose le soit, la LIBERTE est le BIEN le plus précieux de l'Homme. La Société se forme donc sur le CONSENTEMENT de TOUS et ne progresse que sur ce consentement. Le choix de la monnaie de règlement commune à tous les individus vivant en société leur appartient exclusivement.
L'économie sociale peut parfaitement fonctionner sans monnaie au moyen du troc. L'exemple le plus sûr de la chose est celui des prisonniers qui trouvent dans les biens réels les plus convoités comme les pots de confitures, les tablettes de chocolats et les cigarettes, les moyens d'échanges nécessaires à l'amélioration de leurs conditions de vie. Laissés libres, les gens choisissent spontanément les marchandises concrètes les plus recherchées par tous car ils savent qu'ils auront toujours avec elles une réserve sûre de pouvoir d'achat pour satisfaire leurs besoins élémentaires de survie.
Chez les anciens Egyptiens, les céréales comme l'orge et le blé, abondantes, étaient produites par le système naturel des crues et des décrues du Nil. Au-delà des quantités nécessaires à la nourriture immédiate, elles étaient stockées dans des sortes de « magasins généraux » contre des jetons servant de reçus, ancêtres de nos Warrants. La disparition des stocks par des ventes, ou dans ce cas, des dégradations diverses, dévaluant potentiellement la valeur des jetons, ils avaient déjà compris qu'ils pouvaient les échanger contre des jetons à valoir sur des récoltes futures, « neuves », pour le nominal initial, plus avantageux.
Le Roi de Babylone, HAMMOURABI ( ou HAMURAPI ) fit consigner par écrit vers –1.730 avant J-C, le recueil de ses sentences, dans tout son royaume mésopotamien, aux fins d'en unifier le DROIT. Comportant 282 articles, ce CODE jurisprudentiel ( Common Law ), fixe, par exemple, les prix en quintaux de blés des locations d'ânes, de chariots avec boeufs et conducteur dans les N°S 268 à 272, mais dans les articles 273 à 281 concernant les salaires, et les prix des esclaves… en pièces d'Argent (Sicle –> Shekel moderne).
La « fameuse expression de B. Franklin « le temps c'est de l'argent » peut être prise au pied de la lettre sur l'île de Bali dans l'archipel indonésien », nous rappelle 24hGOLD dans son dossier « Sur la désastreuse histoire de la monnaie » :
« Dans les communautés de villages indonésiens, il existe depuis toujours deux formes de monnaies : la monnaie officielle à savoir la roupie indonésienne (1,00 IDR = 0,000108755 USD ) qui a cours légal dans le pays, ainsi qu'une seconde devise libellée en temps et exclusivement créée par la communauté : le « bloc » dont la valeur d'échange équivaut approximativement à 3 heures. Quand la communauté a besoin d'organiser un festival, ou de construire une école, par exemple, deux budgets sont prévus : un en devise nationale imposée et l'autre en « monnaie temps ». Les personnes les plus pauvres du village pourront alors investir plus de temps dans le projet et moins d'argent, alors que les membres les plus aisés du groupe injecteront plutôt de l'argent (1). Cette forme de coopération entre les individus ainsi que le système dual de monnaie est le ciment de la société balinaise. Les habitants participent, effectivement, sur un pied d'égalité, dans le financement des projets communs et peuvent même, dans la limite de ne pas nuire à leur communauté, participer au financement d'autres projets dans d'autres communautés.
L'existence de ce système particulier montre bien que la monnaie joue un rôle éminemment social. Ce sont les sociétés d'individus libres de mêmes cultures qui créent leurs monnaies, pas leurs gouvernements. Vouloir imposer une monnaie ne ferait donc qu'accentuer les inéquations économiques d'une population » (fin de citation de 24hGOLD).
Friedrich HAYEK, Prix Nobel d'économie 1976, nous rappelle encore 24hGOLD, constate qu' « IL FAUT LAISSER LE PEUPLE CHOISIR » sa monnaie ! Sachant la VERITE, conformément à son devoir, il la gueula, et sans prendre de gants : « … Tous les gouvernements de l'Histoire ont utilisé leur pouvoir exclusif d'impression monétaire dans le seul objectif de frauder et de piller leurs citoyens » (cf. : voir le document sur le Viol et le Pillage de l'Humanité en annexe ) ! Il proposa ainsi que la C.E.E., laquelle devait évoluer totalitairement vers l'U.E. actuelle, ne choisisse pas la voie vers une devise unique, mais plutôt celle conduisant à la libre circulation des monnaies européennes dans tous les Pays concernés. Je rappelle que j'ai toujours défendu cette même thèse depuis mes premières études et expériences entre 1964 et 1976. V.G.E. a autorisé cette libre circulation par décret signé en 1979 ! Malheureusement, sans nier le cours légal du Franc et en ne faisant pas de campagne d'information officielle sur le sujet, il a laissé les gens, conditionnés, et même découragés par les risques de changes, se désintéresser de cette vraie LIBERTE monétaire dans les échanges. C'est là… que le virage de la LIBERTE a été manqué et dès 1980, la bancarisation à outrance de la population, qu'il a aussi décrétée, a nier cette Liberté DE FACTO et devait conduire 32 ans plus tard à l'esclavage de l'euro, monnaie unique imposée en 2012. On voit donc qu'en 1979, c'est justement l'existence d'un taux de change prédéfini, et imposé, qui entrava l'adhésion du peuple à sa propre Liberté de choix de la monnaie idéale pour lui et qui confirma la « Loi de GREESHAM ». Sinon, les Peuples auraient choisit les monnaies offrant les meilleures garanties pour eux avant de retenir LA seule, la VRAIE, celle qui réunirait toutes les qualités requises par eux, y compris dans le temps.
1) Ce qu'en Europe, l'Eglise catholique a généralisé fort justement avec la « corvée » qui complétait la « Dîme ».
Conclusion d'ECO 1 : Nous voyons donc que, laissés libres de leur choix, les individus d'une société homogène, choisissent spontanément la monnaie qui offre pour eux les meilleurs garanties de pouvoir d'achat, y compris dans le futur et dans une proportion matérielle qu'ils reconnaissent comme valable. En somme, ils se fient aux LOIS NATURELLES de la Création et ils stabilisent grâce, et avec elle, leurs échanges, leur vie individuelle, familiale et sociale. Une société libre de son choix monétaire trouve aisément et naturellement la stabilité alors qu'elle est déstabilisée par des monnaies imposées à des cours légaux prédéfinis, sans les consulter, par un « système » qui dérive très vite vers : l'escroquerie en bande organisée.
Il est donc évident que la société libre fait comme le lustre, elle trouve sa stabilité réelle, verticale, dans le seul respect de la Loi Naturelle, celle de la gravité, tandis que les autorités devenues auto-proclamées à force de cooptation sectaire, en dépit des apparences électorales, s'efforcent de relever sans cesse le lustre et finissent par lui donner une curieuse allure bizarre, soit-disant pour qu'il éclaire mieux, alors que tout le monde se rend bien compte qu'il ne pend plus et que cela finira comme la Loi Naturelle l'impose, par une retombée du lustre à la verticale… assez violente !…
LMDM
L'économie sociale peut parfaitement fonctionner sans monnaie au moyen du troc. L'exemple le plus sûr de la chose est celui des prisonniers qui trouvent dans les biens réels les plus convoités comme les pots de confitures, les tablettes de chocolats et les cigarettes, les moyens d'échanges nécessaires à l'amélioration de leurs conditions de vie. Laissés libres, les gens choisissent spontanément les marchandises concrètes les plus recherchées par tous car ils savent qu'ils auront toujours avec elles une réserve sûre de pouvoir d'achat pour satisfaire leurs besoins élémentaires de survie.
Chez les anciens Egyptiens, les céréales comme l'orge et le blé, abondantes, étaient produites par le système naturel des crues et des décrues du Nil. Au-delà des quantités nécessaires à la nourriture immédiate, elles étaient stockées dans des sortes de « magasins généraux » contre des jetons servant de reçus, ancêtres de nos Warrants. La disparition des stocks par des ventes, ou dans ce cas, des dégradations diverses, dévaluant potentiellement la valeur des jetons, ils avaient déjà compris qu'ils pouvaient les échanger contre des jetons à valoir sur des récoltes futures, « neuves », pour le nominal initial, plus avantageux.
Le Roi de Babylone, HAMMOURABI ( ou HAMURAPI ) fit consigner par écrit vers –1.730 avant J-C, le recueil de ses sentences, dans tout son royaume mésopotamien, aux fins d'en unifier le DROIT. Comportant 282 articles, ce CODE jurisprudentiel ( Common Law ), fixe, par exemple, les prix en quintaux de blés des locations d'ânes, de chariots avec boeufs et conducteur dans les N°S 268 à 272, mais dans les articles 273 à 281 concernant les salaires, et les prix des esclaves… en pièces d'Argent (Sicle –> Shekel moderne).
La « fameuse expression de B. Franklin « le temps c'est de l'argent » peut être prise au pied de la lettre sur l'île de Bali dans l'archipel indonésien », nous rappelle 24hGOLD dans son dossier « Sur la désastreuse histoire de la monnaie » :
« Dans les communautés de villages indonésiens, il existe depuis toujours deux formes de monnaies : la monnaie officielle à savoir la roupie indonésienne (1,00 IDR = 0,000108755 USD ) qui a cours légal dans le pays, ainsi qu'une seconde devise libellée en temps et exclusivement créée par la communauté : le « bloc » dont la valeur d'échange équivaut approximativement à 3 heures. Quand la communauté a besoin d'organiser un festival, ou de construire une école, par exemple, deux budgets sont prévus : un en devise nationale imposée et l'autre en « monnaie temps ». Les personnes les plus pauvres du village pourront alors investir plus de temps dans le projet et moins d'argent, alors que les membres les plus aisés du groupe injecteront plutôt de l'argent (1). Cette forme de coopération entre les individus ainsi que le système dual de monnaie est le ciment de la société balinaise. Les habitants participent, effectivement, sur un pied d'égalité, dans le financement des projets communs et peuvent même, dans la limite de ne pas nuire à leur communauté, participer au financement d'autres projets dans d'autres communautés.
L'existence de ce système particulier montre bien que la monnaie joue un rôle éminemment social. Ce sont les sociétés d'individus libres de mêmes cultures qui créent leurs monnaies, pas leurs gouvernements. Vouloir imposer une monnaie ne ferait donc qu'accentuer les inéquations économiques d'une population » (fin de citation de 24hGOLD).
Friedrich HAYEK, Prix Nobel d'économie 1976, nous rappelle encore 24hGOLD, constate qu' « IL FAUT LAISSER LE PEUPLE CHOISIR » sa monnaie ! Sachant la VERITE, conformément à son devoir, il la gueula, et sans prendre de gants : « … Tous les gouvernements de l'Histoire ont utilisé leur pouvoir exclusif d'impression monétaire dans le seul objectif de frauder et de piller leurs citoyens » (cf. : voir le document sur le Viol et le Pillage de l'Humanité en annexe ) ! Il proposa ainsi que la C.E.E., laquelle devait évoluer totalitairement vers l'U.E. actuelle, ne choisisse pas la voie vers une devise unique, mais plutôt celle conduisant à la libre circulation des monnaies européennes dans tous les Pays concernés. Je rappelle que j'ai toujours défendu cette même thèse depuis mes premières études et expériences entre 1964 et 1976. V.G.E. a autorisé cette libre circulation par décret signé en 1979 ! Malheureusement, sans nier le cours légal du Franc et en ne faisant pas de campagne d'information officielle sur le sujet, il a laissé les gens, conditionnés, et même découragés par les risques de changes, se désintéresser de cette vraie LIBERTE monétaire dans les échanges. C'est là… que le virage de la LIBERTE a été manqué et dès 1980, la bancarisation à outrance de la population, qu'il a aussi décrétée, a nier cette Liberté DE FACTO et devait conduire 32 ans plus tard à l'esclavage de l'euro, monnaie unique imposée en 2012. On voit donc qu'en 1979, c'est justement l'existence d'un taux de change prédéfini, et imposé, qui entrava l'adhésion du peuple à sa propre Liberté de choix de la monnaie idéale pour lui et qui confirma la « Loi de GREESHAM ». Sinon, les Peuples auraient choisit les monnaies offrant les meilleures garanties pour eux avant de retenir LA seule, la VRAIE, celle qui réunirait toutes les qualités requises par eux, y compris dans le temps.
1) Ce qu'en Europe, l'Eglise catholique a généralisé fort justement avec la « corvée » qui complétait la « Dîme ».
Conclusion d'ECO 1 : Nous voyons donc que, laissés libres de leur choix, les individus d'une société homogène, choisissent spontanément la monnaie qui offre pour eux les meilleurs garanties de pouvoir d'achat, y compris dans le futur et dans une proportion matérielle qu'ils reconnaissent comme valable. En somme, ils se fient aux LOIS NATURELLES de la Création et ils stabilisent grâce, et avec elle, leurs échanges, leur vie individuelle, familiale et sociale. Une société libre de son choix monétaire trouve aisément et naturellement la stabilité alors qu'elle est déstabilisée par des monnaies imposées à des cours légaux prédéfinis, sans les consulter, par un « système » qui dérive très vite vers : l'escroquerie en bande organisée.
Il est donc évident que la société libre fait comme le lustre, elle trouve sa stabilité réelle, verticale, dans le seul respect de la Loi Naturelle, celle de la gravité, tandis que les autorités devenues auto-proclamées à force de cooptation sectaire, en dépit des apparences électorales, s'efforcent de relever sans cesse le lustre et finissent par lui donner une curieuse allure bizarre, soit-disant pour qu'il éclaire mieux, alors que tout le monde se rend bien compte qu'il ne pend plus et que cela finira comme la Loi Naturelle l'impose, par une retombée du lustre à la verticale… assez violente !…
LMDM
2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :
« FAUSSE MONNAIE : à QUI PROFITE le CRIME ! ?… »
La croissance, considérée comme nécessaire par les 10 candidats, s'explique par la nécessité de taxer à un maximum de pour cents le supplément de PIB constaté, et ceci au moyen de multiples taxes ingénieuses. Certains « économistes » affirment même la nécessité de disposer d'un nombre maximum de taxes diverses afin de laisser croire aux gens qu'ils peuvent échapper à certaines, mais sans leur montrer trop qu'ils tombent forcément dans d'autres créées pour les piéger… Par exemple, réussir à taxer au total à 75% les 120 Milliards de suppléments de PIB obtenus par une « croissance » de 5% de 2.400 Mds de PIB, résout le problème complet du déficit annuel des comptes publics de l'ordre de 90 Mds… . SIMPLE ARITHMETIQUE très… Politique !… En reprenant simplement un fort pourcentage de la croissance, fiscalement, sans faire aucune économie, le problème du déficit est réglé ! On comprend mieux pourquoi ils voulaient tous… de la CROISSANCE !… TOUS LES DIX.
Au lendemain de ce pugilat baptisé « débat » dans lequel personne ne détecta ni « vainqueur », ni « vaincu », la France avait la « gueule de bois ». En ce Jeudi 3 Mai, on apprenait que « notre » gouvernement avait « levé » 7,4 Milliards d'€ avec facilité à petit taux d'intérêt… Et, plus important, que les banques avaient réclamé, rien de moins, la veille 2 Mai, la coquette somme de 485 Milliards d'€ à la BCE, ceci pour aboutir à un ratio de 7% seulement de leurs « Fonds Propres (dits) Durs » exigés depuis 2010, par rapports aux totaux de leurs bilans ! Les banques dites « systémiques » devant, elles, aboutir à 8 voire 9,5%. On voit que ces ratios n'augurent rien de bon pour la solvabilité des banques d'ici 2019, ultime limite calendaire fixée par BÂLE III. La réunion, ce même Mercredi 2 MAI, à Bruxelles, des ministres des finances de l'U.E. (ECOFIN) préparait celle « prévue de longue date » pour les 14 et 15 Mai prochain où les 27 ministres devront trouver une position commune sur l'architecture des… 8.200 établissements composant le « Système bancaire européen »… Les deux coqs du combat présidentiel n'ont rien dit, d'un commun accord, de ces réunions douloureuses !
La conférence de presse tenue par Mario DRAGHI l'après-midi à BARCELONE, que j'ai suivie en direct, lui a permis de rappeler quatre Vérités élémentaires :
1) « Le taux d'inflation devrait rester au-dessus de 2% en 2012, mais… il espère le voir repasser en-dessous en 2013 ! ?…
2) Les facteurs principaux haussiers de l'inflation pour les mois à venir sont deux seulement : le pétrole et la fiscalité.
3) Il faut chercher la réduction des déficits dans la diminution des dépenses… plutôt que dans la hausse des impôts, mais…
4) Les gvts ont toujours tendance à privilégier, dans les situations d'urgence la hausse des impôts, car la réduction des dépenses est toujours plus complexe, mais c'est cette dernière sur laquelle il faut revenir une fois l'urgence passée »…
De « ces 4 Vérités », il n'a effleuré dans le combat des deux prétendants français à l'Elysée qu'une fausse statistique : 44 à 47 % du PIB en Prélèvements Obligatoires… oubliant les 54 à 57% pour les dépenses, la différence étant un déficit de l'ordre de 90 Mds € comme vous savez (cf. : mes chroniques précédentes ) qui ne représente, en fait, que des impôts supplémentaires… différés. Pour ma part, je constate plutôt 85% de la masse monétaire, ratio plus « parlant » à mon avis… Comme vous savez !
Dans une « collectivité nationale » qui ne ressemble plus à une « Société » mais à une peau de panthère territoriale et culturelle, le fait de reprendre ainsi 85% de la masse de monnaie mise en circulation revient à réduire tout le monde à la pauvreté et donc… à la seule solution de la « corvée » de type balinaise et féodale en Europe. Dans ces conditions, attendre des gens qu'ils versent, pour les riches, encore de la monnaie dans la caisse pour alimenter les dépenses collectives relève la chimère. La Vérité est que l'Etat et ses collectivités territoriales subsidiaires imposent une hausse énorme déjà accumulée des prix des choses par leurs prélèvements multiples à tous les niveaux, qui dévalue la monnaie légalement imposée plus sûrement que tout autre facteur, taxant à tour de bras les SMICARDS. Je lis Mardi 8 Mai que 1.600.000 SMICARDS paieront des impôts en 2012 alors qu'ils n'en payaient pas avant, à cause d'une déclaration de revenus farcie de pièges.
L'économie générale est donc droguée à mort de monnaie-crédit créée par les banques, d'abord pour couvrir les dépenses collectives excédant sans cesse les ressources, qui se retrouvent ensuite dans les prix par les impôts supplémentaires, dans une toupie grossissante et accélérante que j'ai déjà dénoncée.
On lit, ahuris, une question au Parlement Européen (PE) mettant en cause et réclamant la condamnation de tels fonctionnaires de la Commission de Bruxelles, pour n'avoir pas rendu comptes du dommage au budget européen causé par le bouclier fiscal italien ! C'est du délire de taxation ! En France, tel candidat a voulu la peau de la Loi de 1973 en croyant trouver là le moyen d'un inflation débridée pour couvrir les dépenses débridées par un taux d'intérêt espéré à… zéro ! La France qui s'achemine vers la même situation vient de se soumettre au MES avec une loi scélérate modifiant un Traité dont personne ne voulait qui aurait dû être soumise à référendum… ce que le candidat président sortant n'a même pas évoqué ! Aux USA, chaque Citoyen américain naît avec une dette de 49.000 $US contre seulement 38.937 $US pour chaque Grec pourtant voué aux chiens par l'UE allemande. L'endettement du budget public US atteint 101% du PIB ! Les Grecs justement votaient ce même Dimanche 6 Mai avec la présomption évidente d'une sanction de leurs ex-représentants pour avoir accepté le mépris international et la vente aux enchères de leur économie entière, de leurs îles et du Parthénon !…
La monnaie imposée de force se dévalue partout en Occident, et en France, au point qu'une comparaison simple m'est revenue ces jours-ci à l'esprit. En 1956, mes parents ont acheté une maison à Morsang sur Orge, sur 700 m2 de terrain planté d'arbres fruitiers et décoratifs, avec sous-sol total en partie habitable et cave avec chaufferie, chauffage central par radiateurs dans les 7 pièces (dont la cuisine et une salle de bains équipée eau chaude et eau froide, rarissime à cette époque), réparties sur deux étages avec terrasses : l'une commune de côté, à l'étage, à deux chambres et leur couloir de desserte, maison entièrement couverte d'une terrasse en toiture, le tout construit en pierres de meulière et briques, pour… 5 millions d'Anciens Francs, soit plus tard en 1962, 50.000 nouveaux francs NF et depuis 1999 : 7.500 euros !… On mesure, avec ce rappel d'un fait certain, la formidable inflation subie en 56 ans de + 47 fois (soit + 4.600 % et donc + 82 %/an) augmentant la quantité de monnaie nécessaire actuellement pour faire le même achat, probablement à un minimum de 350.000 euros, alors que j'ai connaissance qu'à ce même prix on ne trouve que des appartements deux pièces résidentiels dans les Yvelines !?…
Conclusion d'ECO 2 : Cette inflation, générée à 90% par les excès de dépenses publiques, sur la période, à l'abri du cours légal imposé d'une monnaie fiduciaire, supplantée 50 fois en 2012 par la scripturale des banques, sans contrepartie réelle, qui plus est d'une masse monétaire totale en constante expansion (2), a appauvri tout le monde au point de faire du peuple français un peuple d'esclaves des banques, auxquelles leur gouvernement a mis la bride sur le cou depuis 68 ans ! Aujourd'hui, tout le monde est pauvre et a du mal à se loger et à manger avec un revenu d'activité ou de retraite d'activité de 1.300 euros nets par mois…
On voit donc que ce n'est pas le Franc, le Shekel ou l'euro qui importent, sauf pour des raisons culturelles sous-tendant, expliquant ou justifiant le nom de la chose, mais la « qualité de la chose ». L'UTAH vient de comprendre parfaitement le problème en répandant une monnaie-poids-Or, de poids certifié, mais sans valeur nominale. Laissant libre l'appropriation par l'économie, et donc l'évaluation des poids dans les échanges des biens. C'est la contrainte d'un cours prédéfini exogène et allogène de la monnaie imposée à une Société privée de sa liberté qui crée l'inflation !
2) L'expansion est l'augmentation du pourcentage de la croissance d'une année sur l'autre. La croissance étant elle-même l'augmentation en monnaie constante exprimée en pourcentage d'une année sur la précédente de la quantité étudiée : par exemple le PIB ou la masse monétaire.
LMDM
Au lendemain de ce pugilat baptisé « débat » dans lequel personne ne détecta ni « vainqueur », ni « vaincu », la France avait la « gueule de bois ». En ce Jeudi 3 Mai, on apprenait que « notre » gouvernement avait « levé » 7,4 Milliards d'€ avec facilité à petit taux d'intérêt… Et, plus important, que les banques avaient réclamé, rien de moins, la veille 2 Mai, la coquette somme de 485 Milliards d'€ à la BCE, ceci pour aboutir à un ratio de 7% seulement de leurs « Fonds Propres (dits) Durs » exigés depuis 2010, par rapports aux totaux de leurs bilans ! Les banques dites « systémiques » devant, elles, aboutir à 8 voire 9,5%. On voit que ces ratios n'augurent rien de bon pour la solvabilité des banques d'ici 2019, ultime limite calendaire fixée par BÂLE III. La réunion, ce même Mercredi 2 MAI, à Bruxelles, des ministres des finances de l'U.E. (ECOFIN) préparait celle « prévue de longue date » pour les 14 et 15 Mai prochain où les 27 ministres devront trouver une position commune sur l'architecture des… 8.200 établissements composant le « Système bancaire européen »… Les deux coqs du combat présidentiel n'ont rien dit, d'un commun accord, de ces réunions douloureuses !
La conférence de presse tenue par Mario DRAGHI l'après-midi à BARCELONE, que j'ai suivie en direct, lui a permis de rappeler quatre Vérités élémentaires :
1) « Le taux d'inflation devrait rester au-dessus de 2% en 2012, mais… il espère le voir repasser en-dessous en 2013 ! ?…
2) Les facteurs principaux haussiers de l'inflation pour les mois à venir sont deux seulement : le pétrole et la fiscalité.
3) Il faut chercher la réduction des déficits dans la diminution des dépenses… plutôt que dans la hausse des impôts, mais…
4) Les gvts ont toujours tendance à privilégier, dans les situations d'urgence la hausse des impôts, car la réduction des dépenses est toujours plus complexe, mais c'est cette dernière sur laquelle il faut revenir une fois l'urgence passée »…
De « ces 4 Vérités », il n'a effleuré dans le combat des deux prétendants français à l'Elysée qu'une fausse statistique : 44 à 47 % du PIB en Prélèvements Obligatoires… oubliant les 54 à 57% pour les dépenses, la différence étant un déficit de l'ordre de 90 Mds € comme vous savez (cf. : mes chroniques précédentes ) qui ne représente, en fait, que des impôts supplémentaires… différés. Pour ma part, je constate plutôt 85% de la masse monétaire, ratio plus « parlant » à mon avis… Comme vous savez !
Dans une « collectivité nationale » qui ne ressemble plus à une « Société » mais à une peau de panthère territoriale et culturelle, le fait de reprendre ainsi 85% de la masse de monnaie mise en circulation revient à réduire tout le monde à la pauvreté et donc… à la seule solution de la « corvée » de type balinaise et féodale en Europe. Dans ces conditions, attendre des gens qu'ils versent, pour les riches, encore de la monnaie dans la caisse pour alimenter les dépenses collectives relève la chimère. La Vérité est que l'Etat et ses collectivités territoriales subsidiaires imposent une hausse énorme déjà accumulée des prix des choses par leurs prélèvements multiples à tous les niveaux, qui dévalue la monnaie légalement imposée plus sûrement que tout autre facteur, taxant à tour de bras les SMICARDS. Je lis Mardi 8 Mai que 1.600.000 SMICARDS paieront des impôts en 2012 alors qu'ils n'en payaient pas avant, à cause d'une déclaration de revenus farcie de pièges.
L'économie générale est donc droguée à mort de monnaie-crédit créée par les banques, d'abord pour couvrir les dépenses collectives excédant sans cesse les ressources, qui se retrouvent ensuite dans les prix par les impôts supplémentaires, dans une toupie grossissante et accélérante que j'ai déjà dénoncée.
On lit, ahuris, une question au Parlement Européen (PE) mettant en cause et réclamant la condamnation de tels fonctionnaires de la Commission de Bruxelles, pour n'avoir pas rendu comptes du dommage au budget européen causé par le bouclier fiscal italien ! C'est du délire de taxation ! En France, tel candidat a voulu la peau de la Loi de 1973 en croyant trouver là le moyen d'un inflation débridée pour couvrir les dépenses débridées par un taux d'intérêt espéré à… zéro ! La France qui s'achemine vers la même situation vient de se soumettre au MES avec une loi scélérate modifiant un Traité dont personne ne voulait qui aurait dû être soumise à référendum… ce que le candidat président sortant n'a même pas évoqué ! Aux USA, chaque Citoyen américain naît avec une dette de 49.000 $US contre seulement 38.937 $US pour chaque Grec pourtant voué aux chiens par l'UE allemande. L'endettement du budget public US atteint 101% du PIB ! Les Grecs justement votaient ce même Dimanche 6 Mai avec la présomption évidente d'une sanction de leurs ex-représentants pour avoir accepté le mépris international et la vente aux enchères de leur économie entière, de leurs îles et du Parthénon !…
La monnaie imposée de force se dévalue partout en Occident, et en France, au point qu'une comparaison simple m'est revenue ces jours-ci à l'esprit. En 1956, mes parents ont acheté une maison à Morsang sur Orge, sur 700 m2 de terrain planté d'arbres fruitiers et décoratifs, avec sous-sol total en partie habitable et cave avec chaufferie, chauffage central par radiateurs dans les 7 pièces (dont la cuisine et une salle de bains équipée eau chaude et eau froide, rarissime à cette époque), réparties sur deux étages avec terrasses : l'une commune de côté, à l'étage, à deux chambres et leur couloir de desserte, maison entièrement couverte d'une terrasse en toiture, le tout construit en pierres de meulière et briques, pour… 5 millions d'Anciens Francs, soit plus tard en 1962, 50.000 nouveaux francs NF et depuis 1999 : 7.500 euros !… On mesure, avec ce rappel d'un fait certain, la formidable inflation subie en 56 ans de + 47 fois (soit + 4.600 % et donc + 82 %/an) augmentant la quantité de monnaie nécessaire actuellement pour faire le même achat, probablement à un minimum de 350.000 euros, alors que j'ai connaissance qu'à ce même prix on ne trouve que des appartements deux pièces résidentiels dans les Yvelines !?…
Conclusion d'ECO 2 : Cette inflation, générée à 90% par les excès de dépenses publiques, sur la période, à l'abri du cours légal imposé d'une monnaie fiduciaire, supplantée 50 fois en 2012 par la scripturale des banques, sans contrepartie réelle, qui plus est d'une masse monétaire totale en constante expansion (2), a appauvri tout le monde au point de faire du peuple français un peuple d'esclaves des banques, auxquelles leur gouvernement a mis la bride sur le cou depuis 68 ans ! Aujourd'hui, tout le monde est pauvre et a du mal à se loger et à manger avec un revenu d'activité ou de retraite d'activité de 1.300 euros nets par mois…
On voit donc que ce n'est pas le Franc, le Shekel ou l'euro qui importent, sauf pour des raisons culturelles sous-tendant, expliquant ou justifiant le nom de la chose, mais la « qualité de la chose ». L'UTAH vient de comprendre parfaitement le problème en répandant une monnaie-poids-Or, de poids certifié, mais sans valeur nominale. Laissant libre l'appropriation par l'économie, et donc l'évaluation des poids dans les échanges des biens. C'est la contrainte d'un cours prédéfini exogène et allogène de la monnaie imposée à une Société privée de sa liberté qui crée l'inflation !
2) L'expansion est l'augmentation du pourcentage de la croissance d'une année sur l'autre. La croissance étant elle-même l'augmentation en monnaie constante exprimée en pourcentage d'une année sur la précédente de la quantité étudiée : par exemple le PIB ou la masse monétaire.
LMDM
3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :
ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM
« Les qualités d'une VRAIE MONNAIE !… »
Je voudrais donc insister ici sur le rappel que la mise en place de l'Euro a été imposée de force au Peuple français au moyen d'une propagande éhontée qui matraqua tellement les intellects que 98% de la population en est arrivée à croire fin 1998 qu'elle aurait dans ses poches le nouvel euro le 1er Janvier 1999 ! C'était incroyable de voir ça… Quand l'évidence que le choix était encore laissé d'utiliser le franc dans les échanges scripturaux durant 3 ans et que rien n'arrivait non plus de concret, tout le monde a maintenu ses règlements en Francs jusqu'au 31 DEC 2001 à 95 % ! Voilà la réalité qu'il ne faut jamais oublier. Ceci parce que l'Euro a été imposé aux fins d'obliger les Peuples européens à rompre avec leur passé, raison pour laquelle, l'euro est abstrait : il matérialise, finalise la « grande révolution de 1789 » ! Il est parfaitement idéologique. Tant pis pour les dérapages de 30% des prix, et davantage encore en Italie ! Tant pis pour les économies des Pays, ruinées comme on le voit en 2012 ! TOUT… DOIT être SACRIFIE à l'idéologie révolutionnaire ! L'économie, les emplois, les industries, doivent être sacrifiées au Moloch monétaire européo-idéologique ! Voilà la VERITE. Revoyant l'autre soir le film « LE PRESIDENT » avec un Jean GABIN en commandeur de la Moralité, j'ai apprécié le choix en faveur de l'économie et du travail, en faveur des travailleurs, au détriment momentané des rentiers, par le choix d'une dévaluation forte de la parité monétaire extérieure du Franc. Au contraire, on voit le maintien de force de la parité élevée de l'Euro au détriment de nos entreprises et du travail, en faveur des banques. L'EURO ne pourra tenir et se dévalue déjà face au dollar US, lequel profite de l'a faute européenne imposée par l'Allemagne. L'EURO est allemand, pas français, pas européen.
S'i le Franc n'avait déjà plus dans ses billets la qualité monétaire qu'il avait encore avant 1936, et que ses pièces étaient devenues de simples jetons calibrés pour les machines à sous, quelques pièces cependant gardaient encore un reste de splendeur du passé comme la pièce de 5 F 1959, la 50 F Hercule de 1970 ou même encore la pièce de 100 Francs remise par la Poste aux retraités, lesquelles conservaient encore une forte teneur en Argent-métal. Les Français tenaient à leur monnaie qui restait liée au Passé de la France. Dans les expressions de nos grand-parents et parents, la pièce de 5 F était la pièce de cent sous et celle de 1 F, la pièce de 20 sous… C'est tout simplement cette référence permanente au Passé qui est devenue inadmissible à tous les idéologues révolutionnaires, bolcheviques, et autres post-soixant'huitards attardés.
Les 10 Pays restant en-dehors de la zone euro, et certains définitivement comme le Royaume-Uni, se retirent des montages financiers que le maintien de l'Euro oblige à inventer malgré les dégâts économiques prévisibles et prévus qui se révèlent depuis 3 ans aux yeux du plus grand nombre… L'U-K a exigé la mise en place du MES accéléré au 1er Juillet pour retirer le plus vite possible ses billes du FESF, défunt ! Pendant ce temps :
La Chine dévore l'Or physique mondial en alignant ses cours de l'Or sur ceux de l'Occident, le PAGE attendra le jour où elle détiendra la majorité de l'Or mondial qui, après tout, ne tient que dans deux piscines olympiques. Le Vénézuela rapatrie le sien des caves occidentales. L'Inde importa en 2011… 222% de plus d'Or physique ! La Turquie augmenta aussi l'année dernière ses réserves d'Or de +30% ! L'Inde, La Chine, la Russie, le Japon, la Suisse, les Pays-bas, l'Allemagne, les USA, l'Italie stockent tout l'Or qu'ils peuvent appréhender… La demande mondiale d'Or-physique augmente à un rythme effréné de +6% en 2011, alors que la production baisse partout et en moyenne de –9%. La France qui produisait 6.535 t d'Or en Guyane en 1999, n'en produisait plus que 3.341 t dernièrement… En métropole, les mines de Saisigne et de Boumeix qui produisaient 4.953 t en 1997 n'en produisaient déjà plus que 2.643 t en l'an 2.000 … soit – 25% en métropole et –8% au total. L'Afrique du Sud affichait une production en baisse de –21,68 % en 2009 ! L'Australie de – 12,96%… Etc… Pourtant le prix de l'Or reste soudainement calme autour de 1.650 $US l'Once… Il est manipulé d'un commun accord par tous les Pays importateurs afin de faciliter leurs importations d'un maximum de métal plus que jamais « stratégique »…
La disparition de l'Argent-Métal que certains n'hésitent pas à annoncer déjà indisponible révèle, comme en 1919, en France, sa thésaurisation encore bien plus importante que celle de l'Or. Et le prix de l'Argent que nous savons être de l'ordre de 1 à 15 en suivant les ressources naturelles de la Terre est maintenu ridiculement bas à environ 30 USD l'Oz contre 1.650 pour l'Or soit dans un rapport de 1 à … 55 ! ! ! Il est même manipulé à la baisse encore, afin de faciliter le racket par les grosses fortunes mondiales…
Si l'Or est donc la monnaie des Rois, comprenons les Pays, l'Argent reste donc bien celle des Marchands, entendons celle des grandes fortunes vagabondes… Pendant ce temps, la dette est plus que jamais la monnaie des esclaves. Les petits « jetons » de 1 et 5 Kopeks disparaissent faute pouvoir d'achat en Russie, comme les pièces de 1 et 2 cents en euros… Les billets de 5 euros ne servent pas davantage que ceux de 5 $ des Etats confédérés, et les nominaux en euros suivent la même évolution de 5 à 100 que celle de la malheureuse monnaie sudiste. Les billets de 500.000 dongs vietnamiens ne suffisent plus, le REAL brésilien « flotte » comme le Titanic, bref, la MONNAIE-DETTE matérialisée par des jetons en polypropylène en Israël et des billets de papiers colorés, n'en finit plus de priver les Peuples du monde du fruit de leur travail. C'est David WEBSTER qui disait déjà en 1833 : « De tous les stratagèmes ayant été mis en place en vue de frauder la classe ouvrière, aucun n'a été plus efficace que le leurre de la monnaie papier » ! Dans ces conditions, effectivement, les initiés que je dénonçais en 1996 comme devant se comporter comme des rapaces sur tous les biens réels en brandissant toujours plus de tas de papiers colorés sans autre valeur que celle imposée aux gens par leurs gouvernements de traîtres, en contreparties, en sont arrivés depuis 27 ans à brandir maintenant des sommes astronomiques en comptes bancaires… inventées ex-nihilo ! C'est l'anarchie, la Jungle, la foire à la spoliation du travail… Dans ces conditions la « hausse » des prix des matières premières, et surtout précieuses, annoncée comme vertigineuse d'ici quelques mois et années ne réussit qu'à les rendre toujours plus inaccessibles aux Peuples, que l'on rackette à un prix sous-évalué volontairement comme le fait « l'Or Postal », lequel s'appuie et se justifie sur le cours mondial… truqué à cet effet. Je ne parle même pas du prix des diamants que les racketteurs ont obligé à produire dans des conditions atroces d'esclavage depuis 3 ans, ce que d'aucuns ont stigmatisé comme étant le rétablissement de la production des « diamants du sang »…
La CHINE vient d'implanter son « nouveau Yuan » à HONG-KONG, je constate pour ma part que le seul vrai changement est une mainmise accentuée de l'empire chinois communiste sur les malheureux « Territoires de HONG-KONG »… C'est un peu comme si la France actuelle, bel et bien révolutionnaire, pseudo-républicaine, et poste bolchevique mettait la main sur les « Territoires de Jersey » et y imposait l'EURO Allemand d'occupation actuelle !
Conclusion d'ECO 3 : Nous assistons donc à la transformation accélérée en biens réels et à l'exploitation du travail qualifié ou non par des escrocs mondiaux qui ne remboursent même plus des retraits, devenus interdits des mains des banques, occupées à créer sans cesse plus de monnaie inventée pour gruger tous les jours les travailleurs. C'est devenu le règne de la FAUSSE MONNAIE ! Les banques truquent tout y compris comme cela se révèle ces jours-ci au grand jour les taux de références mondiaux comme le LIBOR. Vous devez être convaincus que JAMAIS les banques ne pourront se « resolvabiliser » ! C'est une escroquerie politicienne pour justifier les prélèvements fiscaux en hausses vertigineuses dès 2012, plus vite que prévu initialement pour 2013. La FAUSSE MONNAIE détruit comme la pire calamité de l'Humanité la LIBERTE et donc la SOCIETE qui s'effondre en collectivités émiettées, cosmopolites, anarchiques.
LMDM
Conclusion Générale : L'URGENCE qu'il y a à rétablir la LIBERTE pour permettre la re-formation d'une VRAIE SOCIETE où les individus portent le maximum de considération aux travailleurs producteurs d'abord, fondée sur la RESPONSABILITE individuelle, elle-même garantie par la MORALITE chrétienne irremplaçable, passe par le recours à une autre monnaie dans les échanges que celle qui est imposée par un occupant, très habile à se faire passer pour « démocratiquement élu » par ceux-là mêmes qu'il réduit en esclavage. Plus que jamais, le conseil de Jésus-Christ de rendre à l'Allemagne son Euro allemand, à l'époque le Denier de la Rome occupante de la Judée à CAESAR, et l'hommage à Dieu, est d'actualité en 2012 !
Mais aussi en contrepartie, la restructuration des échanges sur l'emploi d'une monnaie offrant les qualités requises déjà décrites par les Grecs anciens, et pas les défauts si bien stigmatisés par SALUSTE, CICERON ou CAESAR lui-même, est devenue une nécessité urgente. Si le recours au troc est une bonne transition pour mieux cerner les valeurs requises par les agents économiques, troc qui réalisera le nécessaire isolationnisme de la nouvelle société, il est évident que la fractionnabilité d'une matière, concrète impérativement, et son caractère inoxydable dans le temps, constituent deux qualités fondamentales essentielles d'abord. La nécessité de pouvoir disposer d'un gros pouvoir d'achat avec de petites quantités réimposera de préférence l'Or et l'Argent, sans exclure toute autre quantité de biens quelconques qui satisferont librement les échanges LIBRES locaux. Une société LIBRE ne peut avoir qu'une monnaie LIBRE ! Et une monnaie concrète librement acceptée dans des quantités librement évaluées, est la plus sûre garantie de reconstituer une VRAIE SOCIETE LIBRE. Le retour au FRANC s'imposera de lui-même le jour venu. En attendant, il faut refuser l'EURO d'occupation idéologique révolutionnaire français et européo-allemand économiquement et politiquement, plus que jamais.
S'i le Franc n'avait déjà plus dans ses billets la qualité monétaire qu'il avait encore avant 1936, et que ses pièces étaient devenues de simples jetons calibrés pour les machines à sous, quelques pièces cependant gardaient encore un reste de splendeur du passé comme la pièce de 5 F 1959, la 50 F Hercule de 1970 ou même encore la pièce de 100 Francs remise par la Poste aux retraités, lesquelles conservaient encore une forte teneur en Argent-métal. Les Français tenaient à leur monnaie qui restait liée au Passé de la France. Dans les expressions de nos grand-parents et parents, la pièce de 5 F était la pièce de cent sous et celle de 1 F, la pièce de 20 sous… C'est tout simplement cette référence permanente au Passé qui est devenue inadmissible à tous les idéologues révolutionnaires, bolcheviques, et autres post-soixant'huitards attardés.
Les 10 Pays restant en-dehors de la zone euro, et certains définitivement comme le Royaume-Uni, se retirent des montages financiers que le maintien de l'Euro oblige à inventer malgré les dégâts économiques prévisibles et prévus qui se révèlent depuis 3 ans aux yeux du plus grand nombre… L'U-K a exigé la mise en place du MES accéléré au 1er Juillet pour retirer le plus vite possible ses billes du FESF, défunt ! Pendant ce temps :
La Chine dévore l'Or physique mondial en alignant ses cours de l'Or sur ceux de l'Occident, le PAGE attendra le jour où elle détiendra la majorité de l'Or mondial qui, après tout, ne tient que dans deux piscines olympiques. Le Vénézuela rapatrie le sien des caves occidentales. L'Inde importa en 2011… 222% de plus d'Or physique ! La Turquie augmenta aussi l'année dernière ses réserves d'Or de +30% ! L'Inde, La Chine, la Russie, le Japon, la Suisse, les Pays-bas, l'Allemagne, les USA, l'Italie stockent tout l'Or qu'ils peuvent appréhender… La demande mondiale d'Or-physique augmente à un rythme effréné de +6% en 2011, alors que la production baisse partout et en moyenne de –9%. La France qui produisait 6.535 t d'Or en Guyane en 1999, n'en produisait plus que 3.341 t dernièrement… En métropole, les mines de Saisigne et de Boumeix qui produisaient 4.953 t en 1997 n'en produisaient déjà plus que 2.643 t en l'an 2.000 … soit – 25% en métropole et –8% au total. L'Afrique du Sud affichait une production en baisse de –21,68 % en 2009 ! L'Australie de – 12,96%… Etc… Pourtant le prix de l'Or reste soudainement calme autour de 1.650 $US l'Once… Il est manipulé d'un commun accord par tous les Pays importateurs afin de faciliter leurs importations d'un maximum de métal plus que jamais « stratégique »…
La disparition de l'Argent-Métal que certains n'hésitent pas à annoncer déjà indisponible révèle, comme en 1919, en France, sa thésaurisation encore bien plus importante que celle de l'Or. Et le prix de l'Argent que nous savons être de l'ordre de 1 à 15 en suivant les ressources naturelles de la Terre est maintenu ridiculement bas à environ 30 USD l'Oz contre 1.650 pour l'Or soit dans un rapport de 1 à … 55 ! ! ! Il est même manipulé à la baisse encore, afin de faciliter le racket par les grosses fortunes mondiales…
Si l'Or est donc la monnaie des Rois, comprenons les Pays, l'Argent reste donc bien celle des Marchands, entendons celle des grandes fortunes vagabondes… Pendant ce temps, la dette est plus que jamais la monnaie des esclaves. Les petits « jetons » de 1 et 5 Kopeks disparaissent faute pouvoir d'achat en Russie, comme les pièces de 1 et 2 cents en euros… Les billets de 5 euros ne servent pas davantage que ceux de 5 $ des Etats confédérés, et les nominaux en euros suivent la même évolution de 5 à 100 que celle de la malheureuse monnaie sudiste. Les billets de 500.000 dongs vietnamiens ne suffisent plus, le REAL brésilien « flotte » comme le Titanic, bref, la MONNAIE-DETTE matérialisée par des jetons en polypropylène en Israël et des billets de papiers colorés, n'en finit plus de priver les Peuples du monde du fruit de leur travail. C'est David WEBSTER qui disait déjà en 1833 : « De tous les stratagèmes ayant été mis en place en vue de frauder la classe ouvrière, aucun n'a été plus efficace que le leurre de la monnaie papier » ! Dans ces conditions, effectivement, les initiés que je dénonçais en 1996 comme devant se comporter comme des rapaces sur tous les biens réels en brandissant toujours plus de tas de papiers colorés sans autre valeur que celle imposée aux gens par leurs gouvernements de traîtres, en contreparties, en sont arrivés depuis 27 ans à brandir maintenant des sommes astronomiques en comptes bancaires… inventées ex-nihilo ! C'est l'anarchie, la Jungle, la foire à la spoliation du travail… Dans ces conditions la « hausse » des prix des matières premières, et surtout précieuses, annoncée comme vertigineuse d'ici quelques mois et années ne réussit qu'à les rendre toujours plus inaccessibles aux Peuples, que l'on rackette à un prix sous-évalué volontairement comme le fait « l'Or Postal », lequel s'appuie et se justifie sur le cours mondial… truqué à cet effet. Je ne parle même pas du prix des diamants que les racketteurs ont obligé à produire dans des conditions atroces d'esclavage depuis 3 ans, ce que d'aucuns ont stigmatisé comme étant le rétablissement de la production des « diamants du sang »…
La CHINE vient d'implanter son « nouveau Yuan » à HONG-KONG, je constate pour ma part que le seul vrai changement est une mainmise accentuée de l'empire chinois communiste sur les malheureux « Territoires de HONG-KONG »… C'est un peu comme si la France actuelle, bel et bien révolutionnaire, pseudo-républicaine, et poste bolchevique mettait la main sur les « Territoires de Jersey » et y imposait l'EURO Allemand d'occupation actuelle !
Conclusion d'ECO 3 : Nous assistons donc à la transformation accélérée en biens réels et à l'exploitation du travail qualifié ou non par des escrocs mondiaux qui ne remboursent même plus des retraits, devenus interdits des mains des banques, occupées à créer sans cesse plus de monnaie inventée pour gruger tous les jours les travailleurs. C'est devenu le règne de la FAUSSE MONNAIE ! Les banques truquent tout y compris comme cela se révèle ces jours-ci au grand jour les taux de références mondiaux comme le LIBOR. Vous devez être convaincus que JAMAIS les banques ne pourront se « resolvabiliser » ! C'est une escroquerie politicienne pour justifier les prélèvements fiscaux en hausses vertigineuses dès 2012, plus vite que prévu initialement pour 2013. La FAUSSE MONNAIE détruit comme la pire calamité de l'Humanité la LIBERTE et donc la SOCIETE qui s'effondre en collectivités émiettées, cosmopolites, anarchiques.
LMDM
Conclusion Générale : L'URGENCE qu'il y a à rétablir la LIBERTE pour permettre la re-formation d'une VRAIE SOCIETE où les individus portent le maximum de considération aux travailleurs producteurs d'abord, fondée sur la RESPONSABILITE individuelle, elle-même garantie par la MORALITE chrétienne irremplaçable, passe par le recours à une autre monnaie dans les échanges que celle qui est imposée par un occupant, très habile à se faire passer pour « démocratiquement élu » par ceux-là mêmes qu'il réduit en esclavage. Plus que jamais, le conseil de Jésus-Christ de rendre à l'Allemagne son Euro allemand, à l'époque le Denier de la Rome occupante de la Judée à CAESAR, et l'hommage à Dieu, est d'actualité en 2012 !
Mais aussi en contrepartie, la restructuration des échanges sur l'emploi d'une monnaie offrant les qualités requises déjà décrites par les Grecs anciens, et pas les défauts si bien stigmatisés par SALUSTE, CICERON ou CAESAR lui-même, est devenue une nécessité urgente. Si le recours au troc est une bonne transition pour mieux cerner les valeurs requises par les agents économiques, troc qui réalisera le nécessaire isolationnisme de la nouvelle société, il est évident que la fractionnabilité d'une matière, concrète impérativement, et son caractère inoxydable dans le temps, constituent deux qualités fondamentales essentielles d'abord. La nécessité de pouvoir disposer d'un gros pouvoir d'achat avec de petites quantités réimposera de préférence l'Or et l'Argent, sans exclure toute autre quantité de biens quelconques qui satisferont librement les échanges LIBRES locaux. Une société LIBRE ne peut avoir qu'une monnaie LIBRE ! Et une monnaie concrète librement acceptée dans des quantités librement évaluées, est la plus sûre garantie de reconstituer une VRAIE SOCIETE LIBRE. Le retour au FRANC s'imposera de lui-même le jour venu. En attendant, il faut refuser l'EURO d'occupation idéologique révolutionnaire français et européo-allemand économiquement et politiquement, plus que jamais.
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