dimanche 17 février 2008

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L'ESCLAVAGE est RETABLI en France

Comme on le voit dans notre documentation ci-dessous extraite de Wikipédia, l'esclavage n'a été officiellement aboli par l'Arabie saoudite qu'en 1962. Ce pays musulman faisant partie des deux derniers inscrits à l'O.N.U. ayant pris cette mesure. On sait que l'ambassade de France à Ryad décourage le tourisme dans ce pays en rappelant les innombrables contraintes imposées par l'islam au voyageur dès son arrivée ! L'esclavage y est toujours pratiqué de facto… Les passeports confisqués par les employeurs islamiques aux étrangers avec le droit pour eux de les empêcher de repartir en témoigne ! Les femmes étant encore plus tenues en laisses.

On connaît également le drapeau national du pays : fond vert (satanique), citation en arabe affirmant la politique islamique de conquête et sabre guerrier arabe, ce qui ne laisse aucun doute sur la nature profonde du pays dont les gouvernants avancent sous cet étendard. On sait également que ce pays refuse systématiquement toute concession malgré les demandes réitérées de nombre de gouvernements de part le monde, de personnalités et d'ONG. Notamment, il refuse toute idée de tolérer le christianisme comme de laisser construire des églises. L'Arabie Saoudite est donc officiellement le pays du " mal " dicté par Satan, le terme désignant aussi, en arabe, la monnaie dont est gorgée ce pays en contrepartie du pétrole dont les européens ont découvert l'intérêt ( les fameux " pétrodollars " ). Les arabes, par nature musulmane, ne valorisant jamais rien et même détruisant tout ce qui ne leur plaît pas, leurs violences et leur propension à réduire les autres en esclavage est bien connue depuis plus d'un millénaire, depuis… 632 et l'infect pédophile Mahomet et son fameux manuel d'instruction du parfait sale môme : le Coran, comme je l'ai qualifié dès 2004 après l'avoir étudié avec des spécialistes, l'expression semble avoir fait florès.

Comme on le sait, les razzias ultra violentes opérées dans le Sud de la France, qui voyaient débarquer les " Sarrazins " pour piller, brûler, détruire, massacrer, et rafler des esclaves : femmes, enfants, surtout, ne cessèrent qu'après que le Roi de France ait fait envahir l'Afrique du Nord en 1830. Ce faisant les Français ont également rendu un fier service aux populations autochtones jusque là victimes aussi des musulmans, Turcs et autres. Ces razzias restent encore dans toutes les mémoires provençales, notamment relatées dans la danse " folklorique " appelée : Sardane !

C'est donc sidérés par l'inconduite du gouvernement français actuel présidé par le Chef de l'Etat, pourtant garant du respect des Institutions, des responsables préfectoraux serviles et cadres supérieurs débiles de la SNCF, que nous avons appris hier Mercredi 13 Février 2008 qu'un TGV revenant des Savoies vers Paris fut approprié par la famille " royale " saoudienne, avec leurs consentements et sous leurs directions. Voilà des éminences, des hauts fonctionnaires, des cadres supérieurs et dirigeants d'une compagnie nationalisée, français, qui violent les fameux Droits de l'Homme, la Constitution, toutes les lois civiles et pénales pour forcer des voyageurs de première classe détenteurs de leurs titres de transports légaux, occupants leurs places définies strictement sur des réservations préalables, à sortir du train et à rejoindre d'autre wagons surchargés ! Des voyageuses se sont trouvées menacées de la police si elles refusaient de sortir ! Le tout pour permettre à la famille dirigeante saoudienne de prendre de force possession de deux wagons de queue du TGV ! Pourquoi alors ne pas réserver systématiquement le wagon de queue de tous les trains circulants en France pour les " personnalités du régime et leurs invités étrangers " ! ? Comme cela les choses seraient claires… On verrait le fascisme du régime actuel s'étaler ouvertement ! Lequel d'habitude préfère avancer masqué…

On ne pouvait donc pas mieux révéler de facto l'état réel des choses en France : l'esclavage est rétabli ! Le peuple de France, comme les étrangers, revenant ici de vacances, sont traités comme des moins que rien, privés de leurs droits élémentaires en violation de tous les textes censés garantir la LIBERTE et l'EGALITE… Pourtant, tout le monde en France, est conditionné à croire l'esclavage aboli par la sainte république. En fait, ce régime politique avoue avec des faits pareils la VERITE nue : il y a en France une caste de gens qui occupent toutes les places de gouvernements, à tous les échelons, qui considèrent la " société civile ", comme ils l'appellent, comme un réservoir de bétail n'ayant pas d'autres droits en fait que de bouffer, dormir, baiser… mais seulement quand le travail obligatoire a été effectué et les durs impôts et charges " sociales " payés.

Qui plus est, la corruption règne en maîtresse absolue, car il n'y a qu'elle qui peut expliquer le zèle des responsables à commettre toutes ces illégalités ! Lesquels sont même allés, nous dit TF1 hier soir, jusqu'à pousser le TGV en question a rattraper ses retards en commettant de nombreux excès de vitesses, y compris en traversant les gares pour arriver finalement à l'heure, en ayant mis en danger la vie d'Autrui ! Mais quelle importance en effet que de risquer la mort de quelques esclaves sur le parcours : femmes et enfants compris ! ? En somme le régime républicain considère le Peuple de France comme du bétail, un ramassis d'esclaves qui n'ont aucun droit face aux diktats des " élites " autoproclamées, sectaires, et sataniques comme leurs maîtres : les musulmans arabes, saoudiens en particulier, qui peuvent ainsi se conduire en France comme ils se conduisent chez eux ; les blancs, chrétiens, goyims n'étant pour eux que des esclaves historiques ! Caletez de là volailles, c'est moi le maître, je m'installe et tu dégages, ferme ta gueule ou MA police française, payée par MOI, pseudo ROI saoudien, va te casser la gueule ! Voilà ce qu'ont compris tous les voyageurs sans le moindre doute !

Alors, en Vérité je vous le dis : vous, voyageurs maltraités, devez réclamer une forte indemnisation pour le Pretium doloris subi d'au moins 100.000 euros chacun à ces tarés pour lesquels cette somme n'est absolument rien ! Tous les Français doivent immédiatement porter plainte contre leurs dirigeants, les hauts fonctionnaires et les cadres de la SNCF, concernés a priori, pour corruption et violation de toutes les lois existantes. Tous les Français doivent immédiatement exiger la démission du Chef de l'Etat sans lequel une telle action ne pouvait être entreprise en violation de la Constitution et du droit commun ! Tous les Français doivent exiger immédiatement l'abandon de toutes les lois existantes qui prétendent les culpabiliser en permanence pour des délits imaginaires, comme celui dit : " de mise en danger de la vie d'Autrui ", puisqu'il est encouragé par l'Etat lui-même qui devrait pourtant montrer l'exemple !

C'était pourtant si simple de solliciter des Français leur compréhension, lesquels sont un réservoir inépuisable de gentillesse, jusqu'à la mollesse... Si le pouvoir absolu du Tyran républicain en place avait seulement demandé gentiment, au préalable, et organisé courtoisement, l'installation lors de la montée dans le train des voyageurs concernés, à d'autres places, au moins de qualité et de confort équivalents, pour des motifs, par exemple, de sécurité de voyageurs importants, les gens auraient sans doute maugréé mais auraient accepté sous condition d'amélioration, sourires commerciaux, coktails et courbettes appropriées, les changements PROPOSES, et non IMPOSES ! Question de courtoisie et de civilisation, le respect rapporte davantage que le fouet ! Bien sûr, dire tout cela à des Arabes c'est comme " pisser dans un violon ", mais enfin on peut tout de même essayer ! Quant aux gouvernants français et à leurs sbires corrompus c'est un tout autre langage qu'il faut désormais leur tenir : Caletez de là salopards de traîtres et TYRANS insupportables  !

Laurent MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS

 

Extraits de l'encyclopédie WIKIPEDIA :

Étymologie du mot : esclavage

Le terme moderne " esclavage " vient du latin médiéval " sclavus " déformation du mot latin " slavus " (le slave)[1]. Le mot " esclave " serait apparu au Haut Moyen Âge à Venise, où la plupart des esclaves étaient des Slaves des Balkans " une région qui s'appelait autrefois " Esclavonie ", puis Slavonie,, et qui est récemment devenue indépendante, sous le nom de " Slovénie " ". La même racine se retrouve dans le mot arabe " saqaliba ", ce qui n'a rien d'étonnant puisque les Turcs se procuraient leur futurs janissaires en achetant ou capturant des enfants chrétiens dans la même région.

Rome pratiquant l'esclavage, comme tous les peuples antiques, le latin disposait évidemment d'un terme pour désigner l'esclave : " servus ", qui a conduit aux termes " servile " et " servilité ", relatifs à l'esclave et à sa condition. Ce mot a aussi donné naissance aux termes " serf " du Moyen Âge et aux modernes " service ", " serviteur " etc…

 

Définition française

Selon l'Académie française, l'esclave est une " personne qui n'est pas de condition libre, qui appartient à un maître exerçant sur elle un pouvoir absolu. ". L'esclavage est donc avant tout la condition d'esclave, et la réduction d'un homme à l'état d'esclave.

L'esclave peut dépendre de toute autorité : personne, groupe, organisation ou encore État. Par analogie, l'esclavage est donc l'" état, la condition de ceux qui sont soumis à une tyrannie, à une autorité arbitraire ", avec comme aboutissement logique l'asservissement, la servitude.

 

Abolition de l'esclavage

La première trace d'une abolition de l'esclavage est la série de lois édictées en 958 par Gwangjong, le quatrième roi du royaume de Koryŏ (Corée actuelle), mais les invasions qui ont suivi ont balayé cette réforme. En Europe, à la même époque, les marchés aux esclaves sont progressivement interdits, sous l'influence de l'Église (voir sainte Bathilde) pour disparaître quasiment complètement après l'an mil.

L'esclavage reste néanmoins un fait dans les sociétés chrétiennes de l'Europe méridionale jusque dans l'époque moderne. Contesté de temps en temps par l'Église romaine, mais bien plus souvent par des personnes isolées, l'existence d'esclaves dans les régions au sud des Alpes (Italie, Espagne, Balkans, îles méditerranéennes) continue tout au long du moyen âge, seuls les pays d'origines des esclaves importés changent.

En France, le 3 juillet 1315 : le roi Louis X le Hutin, publie un édit qui affirme que " selon le droit de nature, chacun doit naître franc ". Officiellement, depuis cette date, " le sol de France affranchit l'esclave qui le touche ". Il n'y aura plus d'esclaves sur le sol métopolitain depuis ce jour.

Les colons antillais en visite laissèrent leurs esclaves en consigne dans les ports.

L'Empire du Mali interdit à son tour l'esclavage au XIIIe siècle, sous Soundiata Keïta (il sera rétabli en 1591 par le pacha marocain Djouder, puis à nouveau aboli en 1891 avec l'arrivée des Français).

Aboli déjà en 1713 en Prusse, la traite par les européens continue jusqu'au XIXe siècle. Le Portugal abolit l'esclavage par un décret du 12 février 1761 (Marquis de Pombal).

 

En France, le 16 pluviôse an II (4 février 1794), la Convention vote l'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises (ou ce qu'il en reste). Cette mesure méritante, sera abrogée par Napoléon Bonaparte. Il l'est en 1833 en Angleterre et 1847 dans l'Empire ottoman. La France attend ainsi 1848, année qui voit Victor Schoelcher faire adopter le décret d'abolition définitif pour ce qui concerne l'hexagone. En 1865, les États-Unis promulguent le 13e amendement interdisant l'esclavage. La question de l'esclavage, en partie révélée par le livre La Case de l'oncle Tom conduisit Abraham Lincoln à promettre son abolition s'il était élu. Son élection conduisit donc les États du Sud à demander la Sécession. Celle-ci leur fut refusée (elle aurait en effet privé les caisses fédérales de l'essentiel de ses impôts), conduisant à la guerre civile. La Guerre de Sécession qui en suivit sera la plus meurtrière de toute l'histoire de ce pays.

Bien que l'affranchissement d'esclaves soit une œuvre charitable selon l'Islam, les pays musulmans hésitent encore plus que les Européens à abolir l'esclavage : les derniers pays du monde à ratifier l'abolition de l'esclavage sont l'Arabie saoudite en 1962 et la Mauritanie en 1980.

En droit positif, la prohibition de l'esclavage est contenue dans les articles 4 de la Convention européenne des droits de l'homme et de la Déclaration universelle des Droits de l'homme, l'article 8 du Pacte des droits civils et politiques de l'ONU, dans la convention de Genève de 1926, de New York de 1956, de l'OIT de 1930 et 1936

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