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CHRONIQUE économique « FINANCES –
VERITES »
N°136
errare humanum est, PERSEVERARE DIABOLICUM
Mercredi 12 NOVEMBRE 2014
Madame,
Mademoiselle,
Monsieur,
Mon incroyable avantage,
sur tout le monde, réside dans la synthèse qu'offre mon intellect, enrichi à la
fois d'études universitaires dans les domaines dits "économiques", et
de niveaux équivalents, post-bac scientifique, dans les domaines dits "naturels"
avec, par exemple le Brevet de pilote d'avion, augmenté de ses "qualifs
(B,VN,QRI,ON TOP, PP-IFR)", et le permis mer hauturier. A 68 ans
prochainement, une leçon de choses s'impose à moi comme une évidence : l'humain
DOIT faire confiance à la LOI NATURELLE. Laquelle nous permet de voler dans
l'atmosphère, de naviguer sur les 7 mers. La gestion provisoire des affaires
collectives impose de la respecter totalement dans ce qu'elle offre de plus
salutaire : la certitude que l'équilibre de tout avec tout, et entre tout, est
NATUREL. Tout tend vers cet équilibre, qui résulte des lois de la Création,
lesquelles sont incontournables, quoi qu'on fasse. Obéir à la prétention de les
contrarier constitue la garantie absolue, indubitable, prévisible et prévue,
des MALHEURS individuels et collectifs qui résulteront de celle-ci. Je peux
résumer ma synthèse par cette formule de pilote : il suffit de "maintenir
la bille au centre et les ailes droites" pour que l'équilibre étant
respecté sans aucune contrariété, l'avion vole, et d'ailleurs seul. Ce qui
rejoint le fameux principe de LOUIS XVI : tout Gouvernement doit tendre à se
rendre le plus inutile possible au Peuple.
Mon postulat de
gouvernement est donc le suivant : " N'agir que sur les fondamentaux, dans
le respect des lois naturelles, en toute transparence et honnêteté. La LIBERTE
de chacun trouve sa pleine expression dans la concordance exigée par Dieu de
l'intérêt individuel, familial et collectif, lequel garantit le BIEN COMMUN
général, garanti en sus par les lois fondamentales". Ce qui veut dire que
le Gouvernant ne doit agir que par l'exigence du respect de sa propre LOI
FONDAMENTALE par tous, en tous lieux et circonstances, dans le cadre des DIX
COMMANDEMENTS. Ne jamais intervenir sur les symptômes, maintenir le cap de
l'essentiel.
Les derniers 30.000 ans
d'histoire de l'Humanité abondent en contraventions au respect absolu dû à la
Souveraineté individuelle, encadrée et soumise, pour le BIEN COMMUN, à la LOI
de la CREATION voulue par le CREATEUR de toutes choses. Les derniers 4.000 ans
abondent en exemples des conséquences terriblement néfastes qui sanctionnent à
chaque fois les prétentions humaines. D'où mon titre de ce jour pour ces temps
de dérapages prétentieux :
« La
leçon du passé composé,
oubliée au présent,
menace le futur simple
immédiat !… »
1) Dans l’ACTUALITE
économique générale : ECO 1 :
« 4.000 ans de traitements malheureux des symptômes !… »
24hGold faisait
paraître le 2 Janvier dernier 2014, un article très étayé de Tom DILORENZO, intitulé
: "4.000 ans de contrôle des prix ". Le singulier laisse
penser à une continuité que l'exposé dément. A chaque fois, les erreurs ont été
suivies de corrections ramenant au statu quo ante. Le "s" à
"contrôles", non seulement s'impose, mais explique bien mieux le
contenu de l'exposé. Quant aux "4.000 ans", il s'agit d'un arrondi,
puisque l'exposé s'appuie sur les supposées "lois" contenues dans le
"CODE d'HAMURAPI" dont je vous ai déjà parlé en détails, précédemment
dans mes chroniques, lequel date de -1750 ans environ avant Jésus-Christ, soit
donc de 3.764 ans, à peu près, en cette année commémorative de la mort du Roi
de BABYLONE. Par ailleurs, loin de contenir des "lois", il ne
collecte en réalité que 276 décisions judiciaires formant, en somme, une jurisprudence,
édictée comme telle, par le Roi HAMURAPI de Mésopotamie, désireux de laisser
une trace de sa sagesse de gouvernement pour... l'HISTOIRE. Son attitude fut plus
humble que celle des gouvernants des démocraties populaires et totalitaires
modernes. Cette thèse de la jurisprudence est celle des spécialistes de la
stèle de pierre haute de 2,25 mètres découverte en Iran. Elle est aussi la
mienne qui me conduit à orthographier HAMURAPI en conformité avec la
description linguistique la plus scrupuleuse, au contraire de celle, commune :
"Hammourabi", tirée du langage dit "familier". Ces
décisions ont comporté des références
indirectes de prix à cause des indemnités accordées aux uns, aux frais
des autres, par les tribunaux indépendants de tout le royaume, par exemple,
cités par l'auteur : "Travailler la
terre doit être payé l'équivalent de HUI GURS de maïs par an ", ou
encore : "Un berger doit être payé
SIX GURS de maïs par an ", et : "La location d'un bateau de soixante tonnes doit être payée un sixième
de Sicle d'Argent (-métal pur)... par
jour " etc.
Cette citation historique
ne me paraît en rien comparable aux "Grandes Inquisitions"
démocratiques périodiquement déclenchées qui constituent, elles, effectivement
des fixations autoritaires des prix
par des politiciens vaniteux, dont toute "Majesté " est
absente. A cet égard, CREON, souverain dans la tragédie politique de Sophocle
"ANTIGONE", incarne bien la soumission des gouvernants post-monde
antique, dits "modernes", aux lubies découlant de l'ignorance
populaire. Tom DILORENZO cite donc :
- Dans l'Égypte des PTOLEMEES du
IIIème siècle avant Jésus-Christ, post "Alexandrienne ", "...tous
les prix étaient fixés, à tous les niveaux", ce qui généra "une armée
de contrôleurs " !
- Plus tard : "La Grèce forma une armée d'inspecteurs du
grain chargés d'en fixer le prix selon les instructions d'Athènes. Ce qui mena
à une pénurie. Seuls les contournements des lois par des entrepreneurs courageux,
pourtant sous peine de mort, permirent de sauver alors des milliers de
gens de la mort ".
- Plus tard encore, en 284,
l'Empereur Dioclétien, répandant trop de monnaie en circulation créa une
inflation par les prix. Il décida alors de "fixer les prix maximum de la viande de bœuf, du grain, des œufs, des vêtements
etc... sous peine de mort pour les vendeurs stigmatisés, ce qui entraîna
une pénurie " qui causa famine et morts ! La loi fut donc abolie.
- "Georges WASHINGTON frôla la famine populaire en imposant des prix fixés
et contrôlés", rappelle aussi l'auteur de l'article, en PENNSYLVANIE.
La loi fut abolie par le Congrès des nouveaux États-Unis d'Amérique le 4 Juin
1778 !
- La Révolution française commit
la même erreur sous la plume de ROBESPIERRE qui édicta le "maximum
général" en 1793, imposant le prix du grain, et puis bien d'autres...
L'auteur rappelle que "les gens
étaient si mal nourris qu'il leur arrivait de s'effondrer de malnutrition en
pleine rue, dans certaines villes de France " ! Je rappelle que la
Constitution actuelle, dite de 1958, comporte bien des dispositions "Robespierriennes" ! Alors que
l'auteur rappelle que ROBESPIERRE fut accompagné à la guillotine, à son tour,
aux cris populaires vengeurs de "laissez
passer le MAXIMUM " !
- Après ces Vérités sur la
"Mère de toutes les Révolutions", l'auteur ose enfin dire une partie
de la vérité sur la seconde guerre mondiale, en rappelant que "Les responsables de la planification centrale des États-Unis d'Amérique étaient plus
totalitaires que les nazis en matière d'économie... Après qu'ils aient montré
un net attachement aux contrôles nazis après la fin de la guerre, Hermann GOERING sermonna Henry TAYLOR
(1), correspondant à la guerre américain à ce sujet : " Votre Amérique prend des décisions économiques
identiques à celles qui nous ont causé tant de tort. Vous tentez de contrôler
les prix et les salaires... Cela équivaut à vouloir contrôler la vie des citoyens,
ce qui est impossible. J'ai essayé, et j'ai échoué... Vous n'êtes pas meilleurs
que nous en matière de planification. Je pensais que vos économistes tireraient
les leçons de notre expérience" ! ... "Ludwig ERHARDT en 1948, abolit
les contrôles un Dimanche. Le "miracle allemand" découlerait de cette
décision" ajoute l'auteur.
L'HISTOIRE nous
enseigne donc comme une LOI naturelle incontournable que prendre des décisions
à chaud pour satisfaire l'ignorance populaire, dans la mesure où elle apparaît
comme une menace pour le siège du Gouvernant, conduit à tous les Malheurs
populaires d'abord et ensuite à la guillotine du dirigeant lâche ! Il est
pourtant évident, du point de vue du gouvernement que donner à l'avion une
attitude incorrecte ne peut jamais faciliter son vol. Des ailes penchées et une
bille décalée du centre s'appelle : tenter de faire voler l'avion en
asymétrique, freinant donc sciemment son avancée, décrochant les filets d'air,
précipitant sa chute, parfois moteur à plein régime en montée !
De nos jours, en l'An
satanique 2014, les contrôles de TOUS les PRIX et de TOUS les REVENUS, de
toutes les manières directes comme indirectes, constituent LA politique du
régime, lequel s'appuie sur pas moins de... 76 armées de fonctionnaires,
directs, indirects et assimilés pour les assurer quotidiennement, partout, à
tout moment ! 76 ARMEES de contrôleurs, inspecteurs, agents, de toutes sortes
et de tous uniformes, soit 7.600.000 hommes, féminisées aux deux tiers, qui
écrasent tout, tout le monde ! Pour les fidéliser, les lâches aux gouvernements
successifs n'hésitent pas à leur accorder, par exemple, des allocations
familiales doublement proportionnelles à leurs revenus et à leur nombre exact
d'enfants. Pendant ce temps, ces mêmes gouvernants criminels édictent des lois
rendant inversement proportionnelles les allocations aux "cochons de
payants-administrés-opprimés" et uniquement à TANT d'enfants... On parle
même de ne rien leur verser du tout en 2015 ! Autant les fixations de prix et de revenus par
tous les moyens, que le poids croissant du coût de ces armées d'inutiles - fonctionnarisés
à vies - à 99%, appauvrissent les producteurs, lesquels en arrivent même à
disparaître ! Le suicide des agriculteurs, par exemple, est un fait social
extrêmement grave qui suit généralement toutes les émeutes paysannes, depuis
des décennies... et encore ces derniers jours. C'est inadmissible en principe pour
tout gouvernant honnête, et très dangereux pour la vie du peuple dans son
ensemble, qui devrait comprendre que la famine le guette à court terme !
Conclusion d’ECO 1 : C'est ce "décrochage en
montée", plein régime moteur de la création monétaire pour payer, en
réalité, les armées de fonctionnaires, et officiellement pour rechercher une croissance
économique du seul PIB, truqué, donc une altitude croissante illimitée et parfaitement
absurde, qui s'opère sous nos yeux. Ce genre de décrochage, proche du sol en
2014, plein pot, tout cabré, raidi dans l'effort inutile et inutilement
maintenu par ignorance du pilotage, autant sinon plus, sûrement, que par
lâcheté sous la pression des ignorants-votants-électeurs, est toujours mortel.
Le CRASH est garanti ! C'est ce que l'on appelle en langage de pilotes de
planeurs : "aller aux vaches". Mais en langage de pilote d'avion à
moteur(s), cela s'appelle : "se planter", la tête la première, ou
encore mieux : "creuser sa tombe"... Comment un Gouvernement digne de
ce nom peut-il oser laisser avancer l'euthanasie des vieux, des malades, des
bébés décrétés en surnombre, l'avortement, la grossesse en batterie comme celle
des poules, la réduction des retraites imposées par des "cotisations"
inversement proportionnelles également imposées, de même que les soins !? Tout
cela c'est l'alerte au décrochage dans le cockpit que j'entends encore à
l'exercice : "AM-BU-LANCE ! T'es-FOU-TU !"... Conséquence prévisible
et prévue par la très pertinente observation de SOPHOCLE, il y a 2.455 ans, sur
"la FIN du MONDE ANTIQUE" et le début de l'ère de l'imbécillité...
comme on le sait d'expérience en 2014.
1) Il fut à l'origine du "taylorisme", postulat
économique d'une rentabilité accrue grâce à la division du travail qu'appliqua
Henry FORD...
2) Dans l’ACTUALITE
économique financière : ECO 2 :
«
Le ventilateur à imbécillités !…
»
On se rappelle cette
histoire drôle sur Chirac : " Arrivant à la Sainte Porte du Paradis, il
demande à St-Pierre ce que sont tous ces ventilateurs accrochés au mur ?
St-Pierre répond qu'il s'agit du nombre de stupidités, imbécillités, idioties,
crimes et délits divers commis en temps réel par tous les Gouvernants. CHIRAC
voyant que certains tournent vite et d'autres très lentement, voir même restent
à l'arrêt, s'étonne alors de ne pas voir le sien ? St-Pierre répond alors : "C'est parce que le vôtre tourne
tellement vite que Dieu l'a placé sur son bureau" " !
C'est ainsi que je suis
tombé sur cette ignorance diplômée, enseignant, bien sûr, en école de commerce,
auteur, bien sûr édité par l'oligarchie, de plusieurs livres, d'un blog et,
bien sûr, animateur de chroniques à la télévision régionale et à la radio. Tous
ces "médias" me sont évidemment fermés... Il doit donc forcément y
avoir une différence grave !? Ce Raphaël
DIDIER titra récemment : " Pourquoi
les déficits publics ne se réduisent (-ils) pas ? " Sa théorie,
archi-brûlée, repose comme toujours sur la nécessité du déficit des comptes
publics pour soutenir la "croâââssssance" ! Il parle, en expert, du
coefficient "multiplicateur des dépenses publiques", rapport entre la
croissance du PIB et la variation de la dépense publique.
En somme, le pilote
gouvernemental en titre appuie la manette des gaz, tire sur le manche, tout ça à
fond, pour provoquer quoi ? Une avancée nulle et une vitesse verticale en
réduction puis... négative, tout ça en se demandant pourquoi l'avion ne monte
ni n'avance plus ? Pire, le vent le fait reculer par rapport au sol, qui se rapproche,
malgré tous les efforts techniquement prévus au manuel pour le faire monter !
L'apprenti pilote qui n'a jamais fait le moindre exercice de décrochage avant
de monter aux commandes de l'avion "France", ne comprend évidemment
rien au pourquoi du comment. Il n'y a qu'à voir ce qu'il raconte dans le poste
:
Conclusion d’ECO 2 :
Quant au commentateur, économiste écouté, le sieur Raphaël DIDIER, il ignore simplement une toute petite chose : tant
que la monnaie est réelle, honnête, de bon aloi et qu'elle est simplement
utilisée par tout le monde à égalité de droits et de devoirs, une rentrée
future espérée d'un investissement immédiat, même par l'État, est bonne chose,
mais quand la monnaie est devenue tellement malhonnête qu'elle en est
inexistante, inventée, alors la dépense publique en fausse monnaie ne rapporte
que de la... FAUSSE monnaie ! L'hélice ne brasse plus que... du vide ! Et c'est
le trou d'air sans aucune possibilité de ressourcement.
3) Dans l’ACTUALITE
économique monétaire : ECO 3 :
« L'hélice en drapeau !… »
Cela fait déjà un bon
nombre d'années que le groupe motopropulseur de l'avion "France"
n'est plus alimenté qu'avec beaucoup de comburant par millions de mètres cubes,
et de moins en moins de carburant, même factice, et qu'il en est réduit à ne
fonctionner qu'avec quelques millimètres cubes de vapeurs de monnaie véritable.
Résultat, le moteur vient de s'arrêter en 2014. L'hélice est en drapeau,
l'avion descend, inexorablement. Chaque action du manche à cabrer pour le faire
remonter diminue la vitesse, le fait descendre plus vite...
Depuis janvier dernier (2014),
la FED sous le gouvernement de Janet YELLEN ne finance plus les découverts de
l'État fédéral américain. L'ère des Quantitatives
Easings est, au moins en ce moment, terminée. Ce qui se fait aux States est
immédiatement ordonné en Europe. Résultat, plus de Q.E. non plus de la part de
la BCE ! Et là, c'est carrément "la Guerre civile" au gouvernorat de
la BCE, titre latribune.fr du 6 Novembre dernier ! La BCE serait "devenue
une poudrière" ? En fait, lieu géométrique des affrontements entre :
- à Gauche les tenants du
laxisme monétaire avec, comme mobile du crime, la soit-disant nécessité de
financer les états pour qu'ils continuent à faire des déficits dits
"publics" en vertu du théorème rappelé par Raphaël DIDIER, au premier
rang desquels la France et l'Italie,
- à Droite les tenants de la
monnaie saine pour une gestion économique saine et sans déficit comme
l'Allemagne.
En somme, Mario DRAGHI est
contesté, il le prend de haut, déclare qu'il est le seul décideur. Mais deux
gouverneurs allemands de la BCE : le Luxembourgeois Yves MERSCH et l'Allemande
Sabine LAUTENSCHLÄGER, poussés par le vent de l'opinion allemande ulcérée, et
leur BUNDESBANK (la BUBA) avec Jens WEIDMANN en proue, lui mènent la guerre
interne, à outrance et sans quartier.
Dans son édition du 3
NOV dernier, le Contrarien-matin N°547 rapporte ce cri d'alarme d'Alan
GREENSPAN, ancien Gouverneur de la FEDERAL RESERVE BANK américaine de 1987 à
2006, durant donc 19 ans sous des Présidents des deux bords officiels : "Le dénouement sera douloureux : achetez de
l'Or... " ! Il stigmatise l'évidence soulignée plus haut : "Le programme de rachat obligataire de la FED
(QE) qui visait à réduire le chômage et stimuler une croissance économique plus
forte, n'a pas atteint ses objectifs ". VLAN !
Conclusion d’ECO 3 :
Bref, l'arrêt de l'approvisionnement en carburant inventé n'a fait qu'arrêter
officiellement en 2014 un moteur qui s'est déjà virtuellement arrêté depuis...
1965 ! La capacité des états, mêmes totalitaires, et dictatoriaux, à trouver du
crédit avec comme garantie cynique la totalité de l'épargne et même de tout le
travail, pour les trente ou cent ans à venir, de tous leurs
"Citoyens", reste surprenante. Elle l'est moins quand sait ce que je
ne cesse de vous expliquer depuis 35 ans, à savoir qu'ils sont maintenant intimement
liés, entremêlés, jumelés, emboîtés, dans un coït endiablé avec toutes les
banques, dont ils ont organisé la cartellisation oligarchique. Les deux époux
mariés pour le pire, l'Économie et la monnaie, ont cru pouvoir vivre d'amour
pornographique et de fausse monnaie... en oubliant la nourriture : les peuples.
Sans peuple, plus du tout ni de pouvoir d'achat chez les oligarques richissimes,
ni de solvabilité bancaire, ni d'état viable !
Ma
Conclusion Générale du Jour : sera empruntée en partie, mais corrigée, car basée
sur des clichés erronés, à Ludwig VON MISES : Une monnaie saine est essentielle à la LIBERTE. "Elle constitue l'instrument destiné à
protéger les libertés civiles des empiètements despotiques de la part des
Gouvernements ". Elle est une des Institutions destinées à garantir la
PAIX entre les hommes. Elle ne peut remplir son rôle que si elle est concrète,
inoxydable, et admise par tous, dans tous les échanges. La monnaie saine, ne
peut être que gérée honnêtement en toute transparence. La monnaie saine ne peut
exister qu'à côté d'un Gouvernement honnête, transparent, soucieux du BIEN
COMMUN. La monnaie ne doit en aucun cas subir la moindre fluctuation de son
pouvoir d'achat réel, mise à la disposition, en quantité adaptée exactement aux
besoins démographiques et de développements réels de l'économie, de manière à
ne provoquer aucun désordre économique comme la croissance, ou son inverse, la
récession. Le couple monnaie-économie est comme tous les couples humains, formé
de deux entités différentes, ayant une vie différente, pour pouvoir être
complémentaires. Une monnaie mal gérée, et même viciée, au pouvoir d'achat
fluctuant au gré d'abord des aléas de la vie et des ignorances, puis des
volontés d'enrichissements sans cause légitime d'oligarques sans scrupules,
anéantit les peuples, dont les malheurs s'accroissent jusque dans des
proportions insoutenables. Si je ne suis pas forcément d'accord avec tous les
éléments des développements du Contrarien-Matin, par contre, je le rejoins
forcément sur ce constat de John Fitzgerald KENNEDY (JFK) : "A vouloir étouffer les révolutions
pacifiques (NDLR : comme celle des
25 Armées, rassemblées en 3 fois, en France, contre la "loi Taubira")
on rend inévitables les révolutions
violentes " ! La fausse monnaie alimente l'instabilité du monde depuis
1963 et l'assassinat de Kennedy pour le financement des armes toujours plus
massivement mortelles. Rappelons-nous que Jean LARTEGUY a écrit un livre que je
possède : "Un million de dollars le Viet", prix de revient qu'aucune
monnaie saine ne pouvait payer. On nous parle maintenant de navires de guerre
sans aucun homme à bord, en somme des drônes géants... Tout cela est, ne peut
être que, financé par de la monnaie inventée. Si les allemands décident enfin
de déclarer l'euro anticonstitutionnel, toute la pyramide des escroqueries
conduisant à la IIIème guerre mondiale s'effondrera. J'en serai ravi ! Car
dorénavant, les retombées mortelles de la fausse monnaie sont devenues capables,
comme l'ensemble des bombes atomiques qu'elle a financé depuis 1945, de rayer
l'Humanité de la carte de la Création et même de détruire la planète en morceaux...
DINGUE ! VIVE LA PAIX ! A BAS la FAUSSE MONNAIE INVENTEE ! DROGUE et MORT des
PEUPLES...
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