mardi 15 juillet 2014

Changeons les Institutions qui nous enterrent :

CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N°129

MERCREDI  16  JUILLET  2014


Madame,
Mademoiselle,
Monsieur,

Depuis 1976, la « Conférence de la Jamaïque » pointe selon moi l'origine réelle de tout le problème devenu mondial en 2014. L'Etat républicain est devenu en dix ans l'état ripouxblicain, aisément pointable dès 1986. Il ne protège plus les peuples de France. Pire, il les enchaîne aux bancs de rames des trirèmes oligarchiques financières. Les usuriers professionnels euro-anglo-israélo-saxons fouettent les esclaves qu'ils lui ont acheté pour rien. Car acheter avec de la fausse monnaie inventée, ou prêtée contre rançon, est une escroquerie commise par eux sur un Etat consentant, soumis, qui lèche les babouches des gourous de la Franc-maçonnerie, Archi-démons de Satan. La seule motivation de l'état pseudo-républicain, outrancièrement anti-démocratique occidental type, est de maintenir à n'importe quel prix son pouvoir. Comme je l'ai dit dans ma Chronique de Politique Intérieure N°42 du 30 Mai dernier sur http://www.radio-silence.org : « A l'opposé de la recommandation faite par l'Eglise aux Catholiques de se mêler à la vie publique pour le BIEN COMMUN : IM MEDIA RE PUBLICA VERSARI, les partis sectaires et totalitaires qui monopolisent cette « vie publique » ne travaillent quotidiennement qu'à rester Maîtres du Gouvernement : REM PUBLICAM TENERE  » !

Les coups de fouets claquent et saignent à blanc les rameurs contraints et forcés. Une avalanche de nouvelles oppressions roule et projette les victimes au-delà de toute désespérance. Les morts s'accumulent au sens propre : économique, social et… physique ! Les usuriers traitent les épargnants comme s'il s'agissait d'une banque centrale et se permettent de rémunérer à 1% seulement dès le 1er Août prochain, le plus bas taux historique, leurs ressources en Livret A ! L'EDF se prépare à violer le Code Civil en réclamant un supplément de prix sur des produits et services déjà facturés et réglés dans le passé sur la base du prix qu'elle leur a pourtant fixé unilatéralement, sans jamais rien négocier avec ses supposés « clients » ! Telle entreprise, ici MORY-DUCROS, déjà en règlement judiciaire, se voit refuser son plan de licenciement par des tribunaux qui désavouent leur propre mandataire ! Toutes ces violations du DROIT FONDAMENTAL, commises en toute impunité, révèlent tous les jours davantage l'état du droit du plus fort, du plus vil, du plus irresponsable, du plus méchant, du plus sadique agent économique : l'état ripouxblicain, complètement vérolé, corrompu, déshonoré et qui n'est plus qu'un TYRAN, ne mérite plus aucune majuscule à son nom. Lequel TYRAN manipule les enfants,  les jeunes embauchés dans la gendarmerie pour racketter les automobilistes pour de fausses « infractions », avilit les adolescents par la propagande LGBT, et décerne à tous, en finale, des diplômes et des médailles sans valeur…

Toutes ces averses de coups de fouets, administrées par des fonctionnaires aux ordres de leurs Maîtres maçonniques, m'amènent donc aujourd'hui à en étudier quelques exemples dans le cadre de la :


« GEOPOLITIQUE de l'ESCLAVAGISME !… »



1) Dans l'ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :

« Le CHOIX INTERDIT !… »

Le 28 Novembre 2013, une nouvelle m'est parvenue de l'Ambassade d'Israël en France, via les NONDITS de wordpress.com : « BOYCOTT de produits israéliens : amendes avec sursis pour 12 militants de COLMAR »… Je l'ai retenue car, A PRIORI, refuser d'acheter des produits en raison de leur provenance n'est pas un délit !? La nouvelle a été rapportée par l'AFP la veille le 27 Novembre 2013 : « après avoir été « poursuivis » en correctionnelle à Mulhouse, où le TGI les a relaxé en 2011, saisie par le Parquet aux ordres du Gouvernement en la personne du « Ministre de la Justice », la Cour d'Appel a condamné les 12 membres d'un collectif à des amendes de 1.000 euros chacun pour avoir commis le « délit de provocation à la discrimination » en Septembre 2009 et Mai 2010. Qu'ont-ils fait ? Ils ont appelé les clients d'un supermarché à ne pas acheter les produits israéliens dans le cadre d'une action baptisée : Boycott, Désinvestissement, Sanctions (BDS). Leur action voulait voir refusés par les clients, les produits vendus sous le label israélien parce que provenants de colonies cisjordaniennes. Les parties civiles : LICRA, Association France-Israël et Avocats Sans Frontières se sont vues attribuées des milliers d'euros frappant solidairement les 12 inculpés, dont certains ont vu leurs amendes doublées ! La dépêche des NONDITS rappelle que plusieurs condamnations étatiques se sont également abattues à Alençon en Février 2010 pour « entrave à la vie économique » et, à Perpignan, je ne sais pas si les relaxés d'Août 2013 furent rappelés par le Parquet devant la cour d'Appel ? Ces « Appels » du parquet général révèlent toutes les tares du régime « inquisitorial » évidemment au service de l'état totalitaire contre les gens du peuple, qu'il appelle unilatéralement, et pour cause : des « justiciables »…

Conclusion d'ECO 1 : A l'opposé de l'ETAT de DROIT, le minable « état de droit » ripouxblicain condamne les simples « justiciables », outrageusement esclavagisés, s'ils osent refuser d'acheter tels produits dans un hypermarché. La jurisprudence est donc formelle : vous n'avez pas le droit de « discriminer » les produits selon leur provenance : de choisir français plutôt qu'israélien. Cette dernière provenance est protégée par les tribunaux aux ordres de la Franc-maçonnerie et vous êtes obligés d'acheter… israélien. Je me demande même s'ils vont maintenir l'étiquetage de la provenance quand elle est israélienne et s'ils ne vont pas les étiqueter « français » pour vous obliger à les acheter les yeux ainsi bandés, à l'instar de la statue de leur pseudo « justice », faussant les plateaux de sa balance féminisée ?… Voilà donc 12 coups de fouets de 3 sadiques sur les consommateurs qui osent appeler, délit suprême, à refuser les produits israéliens dont je me demandai dailleurs, ce qu'ils venaient « foutre » à Alençon, Perpignan ou… Mulhouse ! ? La réponse devait arriver avec l'information sur…


2) Dans l'ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :

« La COOPERATION STRATEGICO-ECONOMIQUE FRANCE-ISRAËL !… »

Dix jours avant cette pantomime qui devait déshonorer une fois de plus l'administration judiciaire, soit le 18 Novembre 2013, j'apprenais de la même source, à savoir les NONDITS de l'Ambassade d'Israël en France, par un communiqué de la veille (17 NOV) : « SNCF et ISRAEL RAILWAYS SIGNENT UN ACCORD DE COOPERATION STRATEGIQUE » !

On comprend mieux l'acharnement gouvernemental contre les rebelles à la consommation de produits israéliens ci-dessus rappelé, quand on se plonge dans cet accord « stratégique » signé en la bonne ville historiquement française (1) de JERUSALEM par le « Président de la REPUBLIQUE maçonnique antidémocratique de France », lors de sa visite officielle récente en… Israël. Signé par Guillaume PEPY, Président de la SNCF et Boaz ZAFRIR, Directeur d'ISR (ISraël Railways), cet accord renforce la coopération ancienne par un apport français supplémentaire à la formation des conducteurs, la multiplication et la modernisation des « Trains Stations (gares) », celle du matériel roulant de frêt et les systèmes d'informations des passagers… Il s'agit d'apporter l'expertise de la SNCF afin d'amener les ISR à réaliser leur ambitieux objectif stratégique d'atteindre 70 millions de passagers en 2020 contre seulement 12 millions en l'an 2000. « Par cet accord, AREP, la filiale de la SNCF, … contribuera au développement des grandes gares et à la modernisation d'une quinzaine de plus petites », ajoute les NONDITS. Notamment : « AREP appuiera le versant commercial des services aux voyageurs et la création de solutions d'intermodalités ».
 
Vous comprenez mieux, comme moi, pourquoi les consommateurs français, en France, sont sommés dix jours plus tard d'acheter les produits israéliens que leurs hypermarchés ont eux-mêmes acheté sur l'ordre gouvernemental, via l'oligarchie maçonnique. Ceci sans doute dans le cadre d'un protocole international « secret » signé, dès lors, par le Sieur Laurent FABIUS, Ministre des « Affaires étrangères ». Le fils du Maître a le droit de forcer les barrages de police sans être même mis en GAV, tandis que les coups de fouets s'abattent en correctionnelles sur les consommateurs rebelles qui revendiquent seulement leur droit fondamental à choisir, donc à discriminer, les produits israéliens en faisant leurs courses ! Un tel « gros contrat » des deux compagnies socialistes, israélienne et Française, vaut aux « cochons de payants » français la même discrimination qu'avec leur éjection, il y a quelques années, du TGV Chambéry-Paris pour laisser la place à la famille royale saoudienne. La France est soumise de force par son propre gouvernement sectaire à tous les peuples sémites depuis l'Atlantique jusqu'à l'Océan indien. L'épicentre intouchable restant officiellement l'Etat d'Israël…

Par ricochets géopolitiques dans le cadre du « Mitonnage actuel des bases de la IIIième guerre mondiale », comme je le signalais dans ma chronique de Politique Intérieure N°47 sur http://www.radio-silence.org , en sus du problème des deux frégates MISTRAL évacué finalement fin Juin, « le Gouvernement suédois ordonnait dès fin Mars 2014 au groupe VOLVO AB d'interdire à sa filiale RENAULT TRUCKS DEFENSE de poursuivre un contrat avec la société russe : URALVAGONZAVOD », nous rapportait http://www.latribune.fr . Laquelle ajoutait  le 2 Avril 2014 : « Marc CHASSAILLAN, Directeur de la filiale RTD rappelait la signature en Février 2013 au salon de l'armement IDEX d'ABU DHABI (UAE) prévoyant d'équiper d'un moteur diesel de 600 Hp (2), couplé à une transmission automatique, le nouveau char russe ATOM de 750 km d'autonomie à 100 km/h !… En Septembre 2013, au salon de l'armement Russia Arms Expo de Nijni TAGUIL circulait même la maquette du VB destiné à remplacer le vieux BTR-80 »…

Conclusion d'ECO 2 : On voit bien que l'épicentre israélien de toute la géopolitique économico-financière occidentale impose à la France et aux Français toutes les brimades, y compris les plus outrageantes, au service d'intérêts et d'objectifs étrangers presque toujours contraires aux nôtres qui aboutissent à fragiliser notre commerce extérieur, nos rentrées de devises, nos entreprises et donc nos emplois, avec toujours plus de dettes nettes envers ceux-là mêmes qui nous nuisent dans ce seul but ! C'est notre mort que l'on veut… Il est urgent de changer de Gouvernement, de Parlement et d'Institutions pour d'autres véritablement « nationales ».

2) Hp : HorsePower = Cheval vapeur (Cv).


3) Dans l'ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« OFFENSIVE GEO-MONETAIRE SINO-RUSSE CONTRE l'OCCIDENT !… »

Comme l'a déclaré à la télévision à l'Automne 2013, rapportée par PRORUSSIA.TV sur l'internet, le Président russe Vladimir POUTINE, « Nous ( sous-entendu « La Russie » ) n'avons jamais voulu cela » ! La réponse multiforme sur tous les terrains et dans tous les domaines à l'expansionnisme américano-otanesque en Iran, en Syrie puis en Ukraine dernièrement prend de l'ampleur tous les jours. C'est « la réponse du berger à la bergère ». Le Président russe vient d'opérer une tournée des Pays émergents d'Amérique du Sud, et sa visite en Argentine, qui a surpris nombre de commentateurs officiels, est, en fait, logique. Depuis l'Automne 2013, les fluctuations erratiques du PESO Argentin avec le dollar US parvenaient le 13 Février 2014, rapportées par 24HGOLD, à forger des déficits importants chez les sociétés de grande consommation comme PROCTER & GAMBLE provoquant une baisse de leurs actions de 8 à 10%. Le PESO étant stigmatisé comme le plus gros problème aux côtés des LIVRES Turques, RANDS Sud-Africain, REALS Brésiliens et même ROUBLES russes, les Américains nordistes réclamaient déjà la fixation du change USD/PESO à leur avantage. La Russie vient donc d'accrocher davantage le PESO à la nouvelle zone ROUBLE-YUAN RENMIMBI, de stabiliser les cours par des techniques de changes croisées (SWAPS etc… ) et donc de libérer suffisamment le Gouvernement argentin de la pression américaine. Voilà le pion argentin enlevé du jeu de l'adversaire américain dans la grande partie d'échecs mondiale en cours… TOC !

De son côté, la chine poursuit son plan depuis un an (Juin 2013) en accord avec le traité Sino-Russe, officialisé en 2014. Le Gouvernement chinois réoriente le crédit en fermant les vannes de la spéculation qui s'était mise à faire grossir des « bulles » dont la plus grosse et la plus dangereuse reste celle de l'immobilier. La Bourse de Shangaï a chuté de –5,3%. Mais, comme disait DE GAULLE : «  la politique du Pays ne se fait pas à la corbeille » ! Une baisse des taux de refinancement de la Banque Populaire de Chine (PBOC) de 11,62% à 8,33% encore très élevé, lui aurait, semble-t-il, permis d'injecter vers l'économie saine 40 Milliards de YUANS (4,88 Mds €) selon latribune.fr du 24 JUIN 2013. Le problème de la dette privée en Chine doit être recherché par une diminution du ratio avec le PIB. Dans le cadre de ce plan d'assainissement financier, crucial pour la Chine, la poursuite de la progression du YUAN vers une convertibilité internationale élargie est accomplie à marche forcée. Après une période de peaufinage de l'opération depuis 6 mois, le site : http://www.broker-forex.fr/forum/viewtopic.php?id=3636 et http://www.broker-forex.fr/forum/userimages/yuan-dollar-1.jpg , précise : « la  convertibilité totale du yuan chinois dans la zone de libre-échange de Shanghaï vient d'avoir lieu en Juin 2014. Les nouveaux décideurs chinois ouvrent progressivement le système financier du pays pour autoriser le flottement libre de la monnaie chinoise et permettant la pleine convertibilité du yuan chinois par la mise en oeuvre d'un système de comptes de libre-échange. Le mouvement vise à obtenir un financement moins cher de sources étrangères pour les entreprises locales. Après avoir permis à des employés travaillant dans la zone franche de Shanghaï d'ouvrir des comptes pour les investissements à l'étranger, geste ouvrant la voie à des réformes substantielles, le directeur adjoint de la zone, Dai Haibo, a déclaré que les réformes financières dans la zone franche devraient être également appliquées ailleurs en Chine dès… septembre 2014 ! L'économiste en chef de HSBC Chine, Qu Hongbin, a déclaré : « la Chine a une approche à trois volets pour l'internationalisation du renminbi :
- développer le rôle de la monnaie dans le règlement du commerce extérieur,
- dépasser l'euro pour devenir deuxième monnaie de règlement derrière le dollar, c'est déjà fait,
- Encourager l'utilisation dans les investissements transfrontaliers, et développer des centres renminbi offshore ».
La convertibilité du Yuan s'accélère et tous les yeux sont axés sur les résultats des efforts des décideurs chinois dans la Zone de libre-échange de Shanghaï. Le processus pourrait être accéléré par les autorités en raison du ralentissement de l'économie chinoise et du manque de demande intérieure.

Rappelons que le 11 Octobre 2013, un accord de contrat SWAP entre la PBOC et la BCE de 45 Milliards d'Euros ou 350 Milliards de Yuans (Currencies SWAPS Lines) a été conclu pour 3 ans ! Présenté comme un soulagement pour les entreprises européennes, généralement en difficultés pour changer des yuans et un renforcement de la place de l'Euro dans les transactions internationales, cet accord me paraît être en fait un déplacement en diagonale du Fou (Euro ) du Roi Américain : l'USD… Car du 12ème rang mondial dans les transaction internationales, le YUAN est passé au deuxième rang entre Octobre 2013 et Juillet 2014 ! ! ! Le Gouvernement américain se sert donc de l'Euro comme pare-feu, apparemment bien peu efficace… Il faut dire que la BCE est arrivée comme les « carabiniers d'Offenbach » derrière le Royaume-Uni qui avait déjà passé un SWAP avec la Chine à l'instar de Taïwan, du japon, de la Russie (évidemment), de l'Indonésie, de la Biélorussie et … de l'Argentine.

Conclusion d'ECO 3 : En somme, une offensive en règle, menée tambour battant par le couple CHINE-RUSSIE, se poursuit qui enlève mois après mois des cases entières de l'échiquier mondial monétaro-financier au dollar US. Le Rouble et le Yuan vont occuper sous peu la première place mondiale dans les facturations des échanges internationaux. Quant à la place de monnaie de réserves officielles et bancaires du USD, elle est en danger, aggravé par la faute commise par le Gouvernement américain de pénaliser les transactions en dollars off-shore (xéno-dollars : XUSD) (3). L'amende infligée à BNP-PARIBAS a été une faute du joueur d'échecs américain et le Russe en a immédiatement profité, ce que, peut-être, le Gouvernement français a fini par comprendre, l'amenant à livrer les deux MISTRAL malgré l'ordre d'OBAMA, d'évidence crispé autoritairement sur la perspective de perdre la partie qu'il a lui-même engagée ! Bien mal…

3) Les xénos monnaies furent d'abord appelées :EURO-MONNAIES, car souvent émises par des xénos banques en Europe. La plus célèbre xéno-monnaie restera longtemps l'Euro-dollar. Ce terme a disparu des écrans dès l'invention de l'EURO en 1996 qui remplaça l'ECU prévu à Maastricht dans la progression vers la phase III de l'U.E.M.



Ma Conclusion Générale du Jour : Les Français sont donc en  2014 des esclaves officiellement asservis à tous les Peuples Sémites par leur propre gouvernement, pour de sordides questions financières élevées au rang de « Haute Politique »… Dans une Europe servile, aux ordres américains, la France a raté toutes les opportunités depuis 1981. Le FOU-Euro a été déplacé trop tard par OBAMA pour contrer l'avancée monétaire et financière SINO-RUSSE. Les Anglais reprennent la main fort habilement, parlent de sortir du carcan bruxellois avec raison, jouent le jeu monétaire du moment en replaçant la LIVRE STERLING dans le jeu mondial, dont le dollar l'avait écarté progressivement entre 1944 et 1980. Le Royaume-Uni, qui a bien joué le jeu de l'allié inconditionnel des Américains, a su rester à l'écart du « centralisme bureaucratique bruxellois d'origine communiste ». La France, elle, a perdu tous ses atouts extérieurs et intérieurs, ses grandes entreprises ne sont plus que des filiales d'entreprises étrangères soumises à leurs gouvernements étrangers. Nos contrats sont toujours soumis à conditions étrangères. Nous n'avons plus de monnaie, celle que nous utilisons, imposée, joue son jeu étranger sans s'occuper des effets délétères en France. La finance française est le fait de l'étranger et elle est cotée à l'étranger. La finance anglo-américano-israélienne nous suce le sang, englués que nous sommes dans la toile de l'araignée mondiale dévoreuse des faibles, des handicapés. Les ordres reçus par nos Gouvernants nous conduisent au tombeau des civilisations majeures disparues, condamnées par leur incapacité à comprendre ce que les mémoires de DE GAULLE appellent à juste raison : « La LOI d'AIRAIN des NATIONS ». Une NATION comme la France n'a que des ennemis. Faute de l'avoir compris, les Français souffrent au-delà de toute expression. Il faut d'urgence renverser les Institutions et libérer le génie français enchaîné, comme nous l'avons proposé en 2002 sur grand écran à l'Opéra de Paris avec le FN… Et mieux encore, restaurer le meilleur ou au moins le moins mauvais des régimes : la MONARCHIE de DROIT DIVIN. C'est une question de vie ou de mort !



1)
http://fr.wikipedia.org/wiki/J%C3%A9rusalem
Etymologie :
Jérusalem est mentionnée pour la première fois dans les textes égyptiens dits « d'exécration2,3 » (XXe et XIXe siècles av. J.-C., à la période où l'Égypte a vassalisé Canaan) sous le nom de Rushalimu. La prononciation exacte du nom égyptien ne ressort pas clairement des hiéroglyphes (on trouve aussi Urushalimu ou d'autres variantes4,2). On peut supposer que le nom de la ville reflète le culte du dieu Shalem (en) ou Shalimu car il était courant alors d'appeler les cités du nom du dieu local4,2. Le nom de Jérusalem se réfère donc au culte du dieu des Cananéens, Shalem était un dieu populaire dans le panthéon ouest sémitique, divinité de la création, de l'exhaustivité, et du soleil couchant. Comme la première syllabe de Jérusalem vient de uru, qui signifie « fondation » ou « ville fondée par », le sens du nom primitif est donc « fondée par Shalem », ou « sous la protection de Shalem »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_J%C3%A9rusalem
Armoiries du royaume de Jérusalem :
Blasonnement : d'argent, à la croix potencée d'or, cantonnée de quatre croisettes du même.
Selon la tradition, ce blason est volontairement à l'enquerre (il contrevient aux règles héraldiques en disposant un métal directement sur un autre métal), pour mieux marquer le prestige tout particulier de ce royaume.

Histoire :
Le royaume à Jérusalem (1099-1187)

Le royaume de Jérusalem est né de la première croisade et de la prise de Jérusalem (15 juillet 1099). Godefroy de Bouillon en fut le premier souverain, mais se contenta du titre d'Avoué du Saint-Sépulcre. Il fallut d'abord combattre une première contre-attaque fatimide, qui fut battue à Ascalon le 12 août 1099. Le royaume se limitait aux villes de Jérusalem et Bethléem, du port de Jaffa et de la route reliant Jérusalem et Jaffa.

Plusieurs chefs croisés quittèrent la ville sainte, soit pour se tailler des principautés, soit pour rentrer en Europe. Il ne restait plus que Godefroy, Tancrède de Hauteville, Raymond IV de Toulouse et trois cents chevaliers. Tancrède conquit la plaine de Galilée et fonda la principauté de Galilée.
Les États croisés en 1102

Godefroy mourut le 18 juillet 1100. Se posa alors la question du statut juridique du nouvel état, liée à celle de la succession. Daimbert de Pise, patriarche de Jérusalem, souhaitait un état théocratique et appela son allié Bohémond, prince d'Antioche. Mais celui-ci venait d'être fait prisonnier par les Turcs et Baudouin, comte d'Edesse et frère de Godefroy, se présenta. Daimbert fut obligé de l'accepter, puis de le sacrer roi de Jérusalem.

Baudouin Ier passa son règne à conquérir le littoral et à repousser les contre attaques islamiques. Il réussit à faire reconnaître la suzeraineté du royaume de Jérusalem sur les autres États latins d'Orient. Il mourut en 1118 et les seigneurs du royaume lui choisirent comme successeur Baudouin du Bourg, comte d'Édesse et cousin de Baudouin Ier.

Baudouin II renforça la présence franque en Terre Sainte et remporta plusieurs victoires, mais ne put s'emparer de la Syrie intérieure, les villes d'Alep et de Damas restant aux musulmans.

Les succès de la première croisade étaient principalement dus aux divisions des musulmans. Foulque d'Anjou, successeur de Baudoin II, parvint à maintenir cet équilibre, mais la Syrie musulmane commençait à s'unifier sous la férule de Nur ad-Din. La deuxième croisade n'eut aucun résultat positif, les croisés ayant attaqué Damas, le seul émirat allié aux Francs.

Les règnes de Baudouin III et d'Amaury Ier sont marqués par la recherche d'alliances auprès de Byzance et de l'Égypte fatimide, mais cette dernière action se solda par un échec qui contribua à l'hégémonie de Saladin sur la Syrie et l'Égypte réunies, prenant le royaume en tenaille.

Baudouin IV le Lépreux, puis Raymond III de Tripoli, régent au nom de Baudouin V, réussirent à tenir Saladin en échec, mais le comportement de Renaud de Châtillon et l'avènement de Guy de Lusignan amenèrent la catastrophe : l'armée franque fut vaincue à Hattin (4 juillet 1187), le roi fait prisonnier, et Saladin entreprit rapidement la conquête des États latins d'Orient. Le royaume de Jérusalem se réduisit bientôt au port de Tyr, le comté de Tripoli se réduisit à la ville de Tripoli, au château de Tortose et au Krak des Chevaliers, et la principauté d'Antioche à Antioche et à Marqab.

C'est de Tyr que vint la contre-attaque. Conrad de Montferrat, un homme énergique et résolu, oncle de Baudouin V, y avait débarqué en juillet 1187, mit la ville en état de défense, et repoussa les attaques de Saladin. Pour contrebalancer cette réaction, Saladin délivra Guy de Lusignan, mais Conrad refusa à ce dernier l'entrée de Tyr. Tandis que Conrad épousait Isabelle de Jérusalem pour faire valoir des droits au trône, Guy de Lusignan se mit à assiéger Acre. Ce siège dura deux ans, les Francs de Lusignan se retrouvant à leur tour assiégés par une armée de secours de Saladin, et en proie à la rivalité entre partisans de Guy et partisans de Conrad. Ce n'est qu'à l'arrivée de la troisième croisade, conduite par Philippe II Auguste et Richard Cœur de Lion, que la ville put être prise.

Philippe Auguste rentra en France, mais Richard resta, fit la conquête de la bande côtière et négocia avec Saladin une paix garantissant aux pèlerins chrétiens l'accès à Jérusalem. Sous la pression des barons, il se résigna à reconnaître Conrad roi de Jérusalem, installant Guy de Lusignan sur le trône de Chypre qu'il venait de prendre aux Byzantins.

Le royaume à Saint-Jean-d'Acre (1187-1291) :
Les États croisés en 1196-1205

Jérusalem était perdue, mais le royaume garda le nom de royaume de Jérusalem, et son siège fut installé à Saint-Jean-d'Acre. Conrad de Montferrat, son nouveau roi, fut assassiné peu après. Se succédèrent alors les deux maris suivants d'Isabelle, Henri II de Champagne, puis Amaury II de Lusignan, frère de Guy de Lusignan et roi de Chypre. Il parvint à reprendre plusieurs ports et à reconstituer le royaume tout le long du littoral, de Jaffa à Beyrouth. À sa mort, ce fut Marie de Montferrat qui lui succéda, sous la régence de Jean d'Ibelin, le « vieux seigneur de Beyrouth ».

Lorsque Marie eut dix-neuf ans, Jean d'Ibelin la maria à Jean de Brienne. En 1218, celui-ci lança une expédition en Égypte dans le but de négocier la restitution de Jérusalem. Le 5 novembre 1219, il prit Damiette, et le sultan d'Égypte était disposé à échanger la ville contre Jérusalem. Le légat Pélage Galvani s'y opposa et marcha sur Le Caire au moment de la crue du Nil. L'expédition tourna ainsi à la catastrophe et les succès de l'opération furent réduits à néant.

Les États croisés en 1240

Pour obtenir des secours de l'Occident, Jean de Brienne maria en 1225 sa fille Isabelle II à l'empereur romain germanique Frédéric II de Hohenstaufen, lequel l'écarta du trône. Frédéric II, bien qu'ayant réussi à récupérer Jérusalem par traité, mécontenta les barons et la « guerre des Lombards » éclata entre les impériaux et les barons. Ce n'est qu'en 1232 que les barons l'emportèrent, ne laissant aux impériaux que la ville de Tyr qui fut prise en 1243.

Tout en maintenant la fiction des rois Hohenstaufen, les barons organisèrent un gouvernement collégial, dirigé par Jean d'Ibelin, puis par son fils Balian, mais l'anarchie s'installa. Jérusalem fut reprise par les musulmans en 1244. Saint Louis vint à la tête d'une croisade, mais fut fait prisonnier à Damiette. Après sa libération, il gouverna le royaume de 1250 à 1254 et le réorganisa, mais l'anarchie revint après son départ, aggravée par les rivalités entre les Gênois et les Vénitiens (guerre de Saint-Sabas), la double prétention au trône de Hugues III de Chypre et de Charles d'Anjou. Pendant ce temps, le sultan mamelouk Baybars reprenait petit à petit les différentes places fortes du royaume. La dernière place forte franque fut Saint-Jean-d'Acre, qui fut prise le 28 mai 1291.

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