mercredi 15 janvier 2014

Restons calmes avec une technique éprouvée depuis des siècles :

Pour :
http://www.radio-silence.org/

Chroniques reprises, ou citées, aux liens suivants :
- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
- http://www.cncombattants.org
- http://www.francisrichard.net/
- http://www.echodufrioul.eu
- http://wwwhttp://yvesdaoudal.hautetfort.com/
- http://soleil151.free.fr/reconquete/

CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N°117


MERCREDI 15 JANVIER 2014



Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Mon Professeur de Mathématiques de collège de la 4ème à la 3ème de 1962 à 1963, Mr GERARD mérite tous les éloges et toute ma reconnaissance personnelle. Je fus si bien renseigné, enseigné, motivé, qu'il me porta d'abord à 27 puis à 40/40 en mathématiques. Il me communiqua l'instinct en Algèbre et la rigueur absolue en géométrie. Je fis rapidement partie des 5 meilleurs du collège en mathématiques et Physique-Chimie, ses deux matières, ce qui me fit admettre dans cette section spéciale prestigieuse de 3ème de préparation normalienne directe, aux programmes fortement alourdis dans toutes les matières par rapport aux autres élèves de toutes les 3èmes. J'étais enthousiasmé. Au total, je fus parfois 1er mais, en moyenne, j'occupai la 3ème place de tout le collège. Je retrouvai alors ma place depuis le CP : Prix d'Excellence, 1er Prix ou 2ème Prix selon les années… Si je vous dis tout cela aujourd'hui c'est parce que j'ai appris alors quelque chose de fondamental que j'ai toujours pu vérifier : « Un problème, quel qu'il soit, est à moitié résolu dès lors que toutes les données en sont posées correctement ». Il ne suffit plus alors que de les classer hiérarchiquement pour trouver la solution, avec l'emploi des outils appropriés, et… un minimum d'effort. Voilà la base de tout, partout, toujours… Il faut garder son calme, poser les données, et la solution jaillit comme une sorte d'idée géniale, en totale liberté, comme une lumière puissante mais non agressive, dans une PAIX totale.

Je veux donc vous aider aujourd'hui, d'abord à poser le problème, puis à trouver les outils, et enfin à les employer de telle manière que votre vie ne souffre d'aucun changement négatif dans la pire situation attendue dans les semaines ou mois à venir, des conséquences horribles de la politique actuelle en Occident américanisé, bientôt en faillite frauduleuse, vous abandonnant dans un désastre épouvantable d'ici peu de temps, banques fermées, transactions bloquées, monnaie habituelle disparue. Voici donc le MIRACLE, VOICI :

« LA SOLUTION !… »


3) Dans l'ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :

« POSONS LES DONNEES du PROBLEME !… »

Nous savons que la monnaie voit son pouvoir d'achat érodé de toutes les manières additionnées : prélèvements à la source alourdis en nombre et en montants, bientôt augmentés du prélèvement des impôts directs sur les revenus, estimés sur des bases arbitraires où vous ferez même la trésorerie de l'Etat en vous voyant retenu toujours plus mensuellement - a priori - que le montant finalement calculé annuellement, a posteriori.

Nous prévoyons que nos revenus nets vont donc stagner puis baisser nominalement comme depuis 7 à 20 ans, avant de diminuer nets de l'inflation comme le font déjà les retraites. Dans cette situation, le moindre centime est précieux et nous en aurons besoin. Nous ne voudrons pas le perdre. Nous voudrons être payés de notre dû, même entamé à la source, le net deviendra absolument nécessaire. Impossible d'y renoncer. N'est-ce pas ! ?

Pourtant un prochain jour nous ne recevrons plus rien du tout : ZERO ! Comment faire alors pour payer la nourriture, l'eau, l'énergie, le petit commerçant, le coiffeur, l'essence, le pharmacien le médecin… bref tous les besoins quotidiens d'habitude déjà si difficiles à honorer ?

Conclusion d'ECO 1 : Avoir de la monnaie ou ne plus en avoir, telle sera la question sous peu de temps. Car les banques seront fermées, vos soldes confisqués, vos revenus n'arriveront plus. Plus personne n'étant plus ni payé ni défrayé, plus personne ne bougera. L'économie deviendra froide comme la mort. Plus rien n'y personne ne circulera comme durant deux semaines en 1968. Les magasins rapidement « pillés » ( au propre et au figuré ) ne seront plus réalimentés par aucune livraison. Vous n'aurez plus que vos pieds pour marcher, sans manger, buvant l'eau de pluie. Nous avons déjà presque atteint cette situation durant les fameux 3 mois de 1968 de Mars à Juin… La question cruciale sera donc : quel est le moyen miraculeux qui permettrait de faire que tout continue de fonctionner comme la veille du fameux jour où les billets de la monnaie officielle ne vaudront pas plus qu'un allume-chandelles entre des mains ignorantes du feu, au temps de « la guerre du feu » ?


2) Dans l'ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :

« Le MOYEN ; les OUTILS : les BILLETS monétaires !… »

D'habitude qu'est-ce que vous utilisez pour payer ?
Réponse : des jetons monétaires métalliques (cuivre, zinc, nickel, aluminium, fer…) formatés pour être reconnus des machines et des bouts de papiers colorés, sans aucune valeur par eux-mêmes, mais qui constituaient encore, au temps du Franc, avant 2002, d'à peu près « honnêtes » reconnaissances de dettes de la Banque de France. C'étaient alors des « Billets à Ordre », souscrits par la Banque de France, clairement désignée en toutes lettres, signés de son Gouverneur général et du Caissier général. On les appelle à cause de cela : des « Billets de Banque » ! Ils en comportaient les mentions obligatoires : Somme en toutes lettres et en chiffres, adresse du siège à Paris, rue Croix des petits champs, l'échéance parce que non mentionnée était donc légalement réputée «  A VUE », le bénéficiaire non désigné était, tout aussi légalement, réputé « AU PORTEUR ».

Les billets que vous utilisez actuellement sont devenus sans aucune valeur juridique de « billets à ordre » car il leur manque une signature lisible, la qualité du signataire, l'identification de l'émetteur ( des sigles ne sont pas une identification et ils sont ceux de plusieurs centaines d'entreprises rien qu'en France même… ), la somme en toutes lettres. Ces billets en euros sont des escroqueries juridiques (cf. : mes chroniques précédentes). Ils n'ont aucune valeur… ni matérielle, sauf de bouts de papiers colorés, ni juridique. Les billets en Francs avaient au moins une valeur juridique, les billets en euros : AUCUNE.

La question qui se pose tout simplement est donc la suivante :
- Si vos chèques ne peuvent plus être encaissés parce que les banques sont fermées, vos découverts annulés rendant toute émission précaire, et que les autres, de toutes façons, n'en veulent plus,
- Si vos cartes plastifiées ne sont plus utilisables, car les terminaux sont débranchés, l'électricité coupée, les banques fermées, les autorisations des cartes supprimées, les satellites tous bien seuls, en orbites,
- Si les billets en circulation habituelle et les pièces encore acceptés durant quelques jours ont disparu de la circulation et que vous ne pouvez plus vous en procurer car les DAB sont vides et vos cartes inutiles,
Comment allez-vous donc faire ? Allez-vous vous suicider ? Comment allez-vous faire vos courses ? Comment allez-vous acheter de l'essence, du gaz, payer vos factures d'électricité, vous nourrir avec les enfants, les vieux parents… etc ?

Eh ! Bien… C'est simple, utilisez d'autres billets à ordre, en plus des vrais, circulant entre tous les gens solidaires et un brin intelligents, désireux, comme vous, que tout continue de fonctionner… comme avant !

Conclusion d'ECO 2 : Si les faux « billets à ordre » de la Banque Centrale Européenne, imprimés à BORDEAUX, sous la délégation de la Banque de France, n'ont plus de valeur ou ne circulent plus, vous allez utiliser d'autres « billets à ordre », plus vrais et plus solvables, au bout du compte que ceux anciens de la Banque de France en Francs ! La solution géniale arrive… Comme toute solution géniale, elle est simple. ET je vais vous la simplifier au maximum.


1) Dans l'ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« LA SOLUTION MONETAIRE !… »

Comme n'importe qui et tout le monde, comme avant encore dans les années soixante, la circulation des « Lettres de Changes » et des « Billets à Ordre » était bien plus répandue entre les particuliers, les commerçants, les banques, les établissements comme le Comptoir National d'Escompte de Paris, où j'ai travaillé 3 mois, en stage, en somme, en 1963-64 après le BEPC renforcé normalien et avant de poursuivre mes cours en seconde que… les chèques… Les cartes n'existaient pas ! Je ne vous guide que sur le Billet à Ordre le plus simple : sans acceptation, ni aucune domiciliation, sans aval, sans protêt, à échéance simple libellée : « A VUE » et au bénéficiaire désigné, le plus simple également : « AU PORTEUR », évitant ainsi la chaîne d'endos. Bien sûr, toutes ces options resteront ouvertes pour les connaisseurs. Demandez donc à vos parents et grands-parents ou à de vrais « employés de banques » titulaires de leur CAP Professionnel, ou mieux encore de leur BREVET PROFESSIONNEL, diplôme d'études supérieures de niveau BAC + 2 et plus, comme on dit de nos jours… Sûrement plus en 2014 qu'en 1970…

LA SOLUTION, c'est de remplacer les billets à ordre officiels anciens et devenus sans valeur telle les euros actuels, par des Billets à Ordre signés de vous-même, toujours en euros ! Vous êtes bien plus solvable que votre banque, car c'est votre TRAVAIL et votre EPARGNE qui paye tous les : tiers, commerçants, banques, collectivités, associations, Etat… N'ayez donc pas peur. Oh ! Bien sûr, il y aura sans doute quelques bavures, un individu ne vous rendra pas le « B à O » que vous lui aurez pourtant payé… sur des milliers d'autres honnêtes. Un individu ne payera peut-être pas entièrement sa reconnaissance de dette le jour où tout remarchera… sur des milliers d'autres qui les honoreront… Rien, dans la vie, n'est jamais sans risque… Mais, dans l'ensemble, je vous fais confiance à tous. RESTONS SOLIDAIRES et nous arriverons du jour au lendemain à vivre sans Etat, sans monnaie officielle, sans collectivité toujours irresponsable et d'autant plus prégnante, de la manière suivante :



Maintenant que nous avons l'outil, voyons la méthode d'utilisation très simple… Copiez le formulaire ci-dessus en autant d'exemplaires que vous en aurez besoin. Pour payer votre commerçant, signez-le. Remplissez les lignes de vos Nom et Prénom(s), adresse postale complète, téléphone (pourquoi pas ?). Ecrivez avec soin la somme en lettres et en chiffres. Précisez bien la ville d'émission ( à :… ) et la date d'émission ( le :… ). N'oubliez pas de remplir la ligne du numéro avec un numéro alphanumérique de votre crû personnel que vous garderez en mémoire dans vos comptes ! Ne remplissez pas encore la case de domiciliation que vous ne pourrez remplir qu'en étant sûr, après la « crise », de l'endroit où vous payerez par prélèvement éventuel. Voilà… vous avez payé votre Carrefour-Market qui conserve votre « B à O » dans sa caisse. Il pourra l'utiliser en le remettant avec d'autres à ses propres fournisseurs, transporteurs etc… Lesquels payeront de la même manière leurs producteurs, lesquels vont revenir avec… payer à leur tour leurs propres courses, fournisseurs etc… Votre « B à O » va donc circuler comme les billets officiels le font d'habitude. Pour rendre la monnaie ? Simple : votre interlocuteur vous remplit un billet du montant de la différence entre celui que vous avez récolté quelque part et ce que vous lui devez… RIEN DE PLUS SIMPLE !

Dans cette économie solidaire parfaitement NON-BOULEVERSEE, vos billets ne sont pas encore remis à l'encaissement, via la poste, chez vous à domicile pour les payer enfin un jour, en espèces, comme on dit, quand elles seront redevenues disponibles, ou tout simplement pour vous demander alors de remplir la case de domiciliation sur votre banque où il sera alors prélevé (Banque, adresse, N° Cpte, IBAN). Ensuite, votre banque vous le renverra acquitté après encaissement au profit du compte du bénéficiaire : le dernier porteur… Ceci dès que vous recommencerez à percevoir vos revenus avec les arriérés, à recouvrer votre épargne etc… En vue de cette finalisation de la « crise », passée ainsi sans encombre, il sera toujours nécessaire de bien remplir la ligne de la CAUSE du tirage : « Mon salaire mensuel de TANT d'euros, du mois de XYZ, de telle année, ou ma pension de retraite, créances diverses sur les tels machins, tout cela par ou via tel organisme, société, ou collectivité, ou TP » etc… Bien sûr, vous resterez responsable, comme à l'accoutumée, de faire vos comptes et de ne pas vous engager au-delà de vos revenus attendus et alors encore bloqués ! Certains vont certainement découvrir là ce que les banquiers ont découvert déjà depuis 3.000 ans et surtout depuis 1973, mais pas vous, en général… Si certains s'engagent au-delà de leurs réelles créances bloquées, ils auront du mal à rembourser plus tard, mais resteront alors débiteurs et devront régler de toutes façons un jour. Mais je compte sur vous pour rester raisonnables. De toutes façons, vos interlocuteurs habituels vous connaissent et votre situation aussi…

Conclusion d'ECO 3 : Restons tous raisonnables, et responsables, et tout se passera très bien ! Sachez à ce sujet que c'est justement parce que les banques sont devenues totalement irresponsables depuis 1981-1984 que la « Crise » menace gravement depuis 2007 tout l'échafaudage des échanges financiers ! Leur insolvabilité s'accroît après une pause entre les années 80 et maintenant… Après la « réforme » du ministre communiste Jack RALITE sous MITTERRAND, portant à 8% seulement le ratio total du PASSIF d'une banque sur le sous-total de ses FONDS PROPRES, nous en sommes cette semaine à l'accord de BÂLE III qui le ramène à seulement… 3% ! Comme vous voyez, même si dans mon économie financière sociale et solidaire il n'y avait en final que 10% de malhonnêteté, le système des gens honnêtes de base serait solvable, lui à… 90 % ! Alors que le système que vous utilisez actuellement ne l'est, lui qu'à 3% officiellement, comptablement, mais souvent à moins de 0,2% réels en caisse espèces ! Hein ! ? Rendez-vous compte que votre voisin est forcément moins malhonnête que tout le « système » financier !


Conclusion Générale du jour : Je vous livre là la solution technique la plus simple, la plus éprouvée de tous les temps, encore en vigueur dans les années soixante pour régler sa mobylette bleue motobécane de chez Marcel DASSAULT, comme je le fis, sans avoir besoin d'avoir recours à je ne sais quelle monnaie truquée, électronique et intouchable. Prouvons à nos 601.000 « élus », à nos 5.600.000 fonctionnaires directs, à tous nos banquiers insolvables qui nous grugent, que l'on peut mieux vivre en respectant les rapports humains de base, entre gens de base, entre bons Chrétiens qu'avec eux ! 


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