mercredi 13 juin 2012

OPPOSITION FORMELLE à l'EVOLUTION vers la CARTELLISATION BANCAIRE EUROPEENNE

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CHRONIQUE ÉCONOMIQUE « FINANCES – VÉRITÉS »
N° 82


MERCREDI 13 JUIN 2012


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Les violations par l'État républicain français depuis 1871 de son propre « Droit fondamental » sont à ce point nombreuses qu'il est devenu impossible de les chiffrer. Et ce, d'autant plus que 90% des lois et règlements auxquels il a conféré une valeur légale garantissent, eux-mêmes, ces violations caractérisées dans l'exécution administrative quotidienne. Il semble que l'INJUSTICE engendrée s'explique par l'origine, en quelque sorte « génétique », de ce régime politique remontant à la période révolutionnaire de 1791-1794 qui en a établi les bases administratives en violation des LOIS, US et COUTUMES de France et au prix d'un régicide et d'un génocide franco-français épouvantable qui aura coûté selon CHATEAUBRIAND et nombre d'historiens qualifiés s'appuyant sur les archives militaires officielles, rien qu'en 1793 en Vendée militaire : 400.000 hommes de troupes régulières, 700.000 gardes nationaux, 500 pièces de canons et 300.000 fusils ! Les atrocités commises par les « Colonnes infernales », les massacres de populations civiles dans un but d'extermination ordonnés, par écrits, ayant donné lieu aux rapports militaires archivés des généraux républicains, prouvent la volonté des révolutionnaires idéologues d'exterminer une province entière parce qu'elle refusait la dictature et entendait conserver ses droits à la LIBERTE.

Depuis, c'est devenu une habitude de violer le droit fondamental, pourtant affirmé dans la Constitution, 14ème du nom depuis 1791, aboutissant à la situation actuelle où elle pratique quotidiennement :

 « Le MÉPRIS du DROIT des GENS !… »


1) Dans l' ACTUALITÉ ÉCONOMIQUE GÉNÉRALE : ECO 1 :

« La MISE sous TUTELLE d'office des gens !… »

Depuis le moment où un individu, Français ou étranger, commence à travailler en France et ce jusqu'à sa mort, il est placé sous la tutelle du « régime social », par des lois violant le droit fondamental ouvertement.

En effet, le travailleur se voit d'office retenue une partie des gains générés par son travail, sur laquelle il n'a aucune prise personnelle et qui dépens, dans ses proportions, de décisions collectives prises par des ministres et des syndicats officiels. Le Code Civil qui dispose pourtant que, pour qu'il y ait obligation, il faut qu'il y ait eu CONSENTEMENT, est violé, car jamais le travailleur n'a consenti expressément, par contrat, à ces prélèvements réputés « obligatoires ». Le jour il cessera de travailler ne lui appartient pas non plus ! C'est encore une décision collective signée de ministre et de syndicats, leur alliance ayant reçu la qualification de « partenaires sociaux ».

Puis, ce qu'il touchera en « retraite » est encore décidé en-dehors de lui sur la base d'une assiette, de modalités et de calculs sur lesquels il n'a toujours aucune prise et qui le spolient par « cotisations » en augmentations constantes et prestations en diminutions également constantes…

C'est ainsi que le mépris du droit des gens de décider eux-mêmes de la proportion de leur épargne consacrée à la retraite, comme aux assurances chômage ou maladie, est pratiqué depuis la soit-disant « Libération » à partir de 1946. Le mépris du droit des gens à disposer de leurs revenus et de leurs capitaux a reçu un alibi pseudo-légal dans la réputée pseudo-démocratie élective qui est devenu en fait l'obligation de remettre entre des mains ministérielles et syndicales non représentatives ses revenus et ses créances. Le résultat est que, depuis des décennies, les revenus confisqués sont dépensés et il ne reste rien du tout dans les caisses de prévoyance chaque fin d'année et même depuis des décennies, il ne reste que des dettes en expansions annuelles !

Il y a donc un « système », qui s'est accaparé le droit de prendre aux gens ce qu'il veut, et de ne leur donner ensuite que des prestations dont il décide seul. Il n'y a pas d'autre nom à un tel régime que : DICTATURE totalitaire !

Conclusion d'ECO 1 : Donc, le « régime social », animé par des « partenaires sociaux », sous la Haute Autorité de l'État, et le vote d'un Parlement, élu sur l'engagement de voter tous les textes présentés par le gouvernement du Président, en violation de l'article 27 de la Constitution qui stipule que « tout mandat impératif est nul », décide dans le plus total mépris des droits individuels de chacun, combien il va leur prendre de force. Il assure sa prise par le moyen de « la retenue à la source » d'abord ensuite il ne verse en cas de maladies, de chômage et de retraites que ce qu'il décide seul ! Sous un tel régime politique méprisant le Droit des gens tous les jours, il ne peut plus y avoir la moindre trace de justice en France ! Je rappelle que les gens ont le droit de gérer leurs affaires et que leur mise sous tutelle ne peut avoir lieu que par décision, de plus motivée sérieusement, d'un TRIBUNAL ! La mise sous tutelle collectiviste est donc à la fois illégale et illégitime depuis 1946 et constitue un acte de dictature inadmissible.


2) Dans l' ACTUALITÉ ÉCONOMIQUE FINANCIÈRE : ECO 2 :

« L'INSOLVABILISATION organisée des Banques !… »

Alors que depuis 40 ans, la cartellisation a progressé en France avant d'être officialisée depuis 1985, les faillites structurelles de la quasi-totalité des banques de la zone euro aboutissent à une déclaration commune orchestrée de José-Manuel BARROSO, Christian NOYER et Pierre MOSCOVICI venant à l'appui d'une recommandation de la B C E dans sa dernière revue sur la « stabilité financière » prônant : « l'Union bancaire » de la zone EURO. Il s'agit ni plus ni moins que d'officialiser ce qui existe déjà depuis 1999 à savoir le fait que la BCE n'est pas autre chose que la « Caisse Centrale des banques » de la zones euro et non pas un « Institut d'émission » traditionnel. BARROSO dans le Financial Times, NOYER dans le Wall Street Journal et MOSCOVICI depuis son ministère valident le fait que l'aide a apporter aux banques espagnoles est la première étape significative vers cette « Union Bancaire » officielle.

Sabine LAUTENSCHLAEGER, Vice-Présidente de la BundesBank argue du fait qu'une « crise bancaire » dans un pays provoquera le recours aux contribuables de tous les pays de la zone et donc plaide pour le préalable d'une union budgétaire. On lit encore dans La Tribune.fr que le 1er Ministre finlandais refuse une « Union bancaire » qui aboutirait à une union de transferts de fonds…

Toutes les réticences à la cartellisation des banques dans la zone euro seront balayées soyez-en sûrs ! La BCE ose même plaider le fait que cette « Union bancaire » aurait l'avantage, tenez-vous bien assis, de « briser le lien entre les banques et les États dont elles dépendent » ! On ne peut pas mieux avouer la volonté de libérer les banques de la tutelle légale des États afin d'asseoir leur pouvoir sur tous les Peuples sans qu'ils puissent ensuite échapper à la tutelle des Banques devenues toutes puissantes.

Conclusion d'ECO 2 : Toute cette agitation arrive parce que des dominos de plus en plus gros s'écroulent derrière les petits et que tout le monde estime qu'il y a bien plus d'une chance sur deux pour que l'Euro disparaisse au bout de l'effondrement général. On voit donc bien l'aveu officiel des organisateurs du « système » que tout leur est bon, au mépris des Peuples et de leur LIBERTE, pour sauver leur jouet idéologique imposé, il ne faut jamais l'oublier, par la force étatique et le mépris juridique des critères = conditions du Traité de Maastricht ! L'insolvabilité consolidée pour quelques temps des 852 banques de la zone euro n'aboutira qu'à priver les gens de disposer de leur monnaie au péril même de l'existence de la monnaie fiduciaire en voie de disparition, surtout en France.


3) Dans l' ACTUALITÉ ÉCONOMIQUE MONÉTAIRE : ECO 3 :

ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« La monnaie imposée !… »

Alors que depuis 8 siècles, tous les règlements s'effectuaient librement en poids d'Argent ou d' Or entre particuliers comme entre États, à la faveur de la guerre de 1939-45, a été mis en place un système monétaire qui a dépossédé les gens de leur droit à une MONNAIE LIBRE en imposant l'usage de MONNAIES FIDUCIAIRES matérialisées par des billets à ordre signées des Banques Centrales Nationales valant reconnaissances de dettes gagées par une encaisse-Or. Ce fut le « GOLD BULLION STANDARD ». Mais, très vite, il lui fut, d'autorité autoproclamée des gouvernements, substitué le régime du « GOLD EXCHANGE STANDARD » consistant à échanger des dollars réputés « aussi bons que l'Or » car défendus par la Réserve Fédérale américaine à une « parité fixe » ! Dès lors, les gens ne pouvaient plus échanger que des billets et les BCN convertissaient éventuellement leurs avoirs en DOLLARS US contre de l'Or prélevé à FORT KNOX. Le dernier échange de dollars détenus par la Banque de France eut lieu en 1973 contre de l'Or américain. Ensuite, le dollar est devenu inconvertible après avoir été dévalué plusieurs fois et depuis 1944 de 35 à 70 USD/oz. La raison en fut uniquement l'avalanche de dollars papiers imprimés de manière irresponsable.

Ceci rappelé brièvement, les gens se sont retrouvés d'abord avec une monnaie contrôlée et sans valeur intrinsèque. La facilité à émettre du papier a permis aux gouvernements de dépenser sans compter… Mais leur Banque centrale s'est trouvée très vite en faillite potentielle voire ouverte comme en France en 1985. Pour réduire la quantité de monnaie officielle de papier, afin de limiter les faillites des banques Centrales, les gens ont été progressivement contraints à les remettre dans des banques dont l'usage leur fut imposé depuis 1980 en France. Ce qui devait arriver… arriva ! Les banques mises en situation de CARTELS nationaux puis internationaux se sont mises à gagner leur vie en accordant des crédits convertibles en monnaies centrales fiduciaires, sans en avoir la provision ni préalable ni disponible. La monnaie-crédit est devenue une monnaie non pré-existante, non pré-gagnée, gagée sur des gains futures des débiteurs, ce qui a nécessité que les trésoriers des banques alignent les rentrées de monnaies légales escomptées dans le futur avec leurs dettes négociées auprès des banques centrales à chaque besoin provoqué par des retraits des bénéficiaires des crédits. Cette obligation de payer éventuellement en monnaie fiduciaire à VUE est nommée : « Facteurs autonomes de la liquidité bancaire ». Cette situation est devenue insupportable aux banques : devoir rendre en monnaie légale les dépôts provenant de leurs crédits, accordé en comptes sans monnaie légale pré-existante en coffres nulle part, leur a infligé l'obligation de tours de passe-passe à répétitions et en montants sans cesse en augmentations annuelles.

Les gens se retrouvent donc maintenant avec des lignes d'actifs en banques impossibles à récupérer en monnaies fiduciaires officielles, sauf à mettre, soit leur banque, soit la Banque Centrale, en faillite ! Du coup, tout est fait pour les empêcher de retirer « leurs » actifs ! Ils ne doivent plus utiliser que les comptes bancaires et des substituts de monnaie que les banques leur facturent en plus de plus en plus cher ce qui est un comble et inadmissible !…

Conclusion d'ECO 3 : Bref, à force d'irresponsabilités et d'escroqueries commises, aboutissant à une expansion fantastique de monnaie inexistante, non pré-gagnée et inventée, les gens se retrouvent piégés avec des réserves de monnaies inexistantes dont la valeur d'échange ne dépend plus que du bon vouloir des gouvernements et des banques, menacés tous les deux de banqueroute retentissante. La monnaie imposée est une fausse monnaie ! Les gens n'ont plus le pouvoir de disposer librement du fruit de leur travail et de leur épargne.


Conclusion Générale de ce jour : Bientôt, il sera officiellement et légalement interdit de disposer d'une monnaie libre, transmissible « par simple tradition », c'est-à-dire de la main à la main. Ils ne pourront plus non plus demander à retirer quoi que ce soit à leur banque mais seulement des virements entre banques consolidées dans un cartel d'où rien ne pourra plus sortir. Nous serons alors très prochainement entrés dans le fameux « meilleur des mondes » d'Aldous HUXLEY où les gens, qui ne peuvent déjà plus voir que très rarement une petite partie de « leur argent », ne verront plus rien, dépendront totalement de la tutelle des banques empressées à satisfaire toutes les décisions étatiques de prélèvements dits « Obligatoires » et de versements de prestations… La tutelle sur les gens sera alors totale. Il est donc évident que tous mes efforts depuis 35 ans pour avertir, prévenir, informer, alerter les gens n'auront donc servis à rien ! Cela me fait mal… Allez-vous enfin m'entendre ? Que faire ? n'envoyer au parlement que des députés LIBRES de toutes attaches partisanes et surtout non inscrits dans les Sectes, dont la pire est la Franc-Maçonnerie, cette fameuse « Secte au cœur de la République » tant de fois dénoncée par des gens courageux… Lesquels députés devront s'opposer à toute cette évolution et voter des lois contre le gouvernement redonnant aux gens le plein respect de leur majorité officielle ! Pensez-y Dimanche encore, nom d'un chien, c'est épouvantablement grave, si vous avez la chance d'avoir un candidat LIBRE disponible ! Malheureusement, le « régime » a tout prévu et n'homologue que des candidats encartés et partisans la plupart du temps sectaires en plus. On est bon comme la romaine pour une nouvelle révolution à faire…

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