Pour :
CHRONIQUE économique « FINANCES – vérités»
N°183
errare humanum est, PERSEVERARE DIABOLICUM
LOI d'A.D.L. MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS
basée sur celle de
POL GARGAM - Gouverneur Honoraire de la BDF 1973-86.
valant INCIPIT PERMANENT :
1) L'économie générale est l'ensemble des échanges de travail, biens et services entre
personnes physiques et/ou morales,
2) L'économie financière est l'ensemble des échanges de capitaux entre personnes physiques et/ou
morales, exprimés en biens ou en monnaies, lesquels peuvent, ou non, constituer
les contreparties des échanges de l'économie générale,
3) L'économie monétaire est l'ensemble des flux de monnaies émises ou détruites, constituant,
ou non, les contreparties des échanges généraux ou financiers, et possédant obligatoirement
les qualités monétaires requises : d'identité rigoureuse, d'inaltérabilité à
l'infini, de fractionnabilité et de fongibilité. La monnaie est toujours concrète sans préjuger de ses
représentations abstraites, devant alors toujours être convertibles à 100%.
POSTULAT : Toute confusion entre une économie et les deux autres abolit toute
validité au raisonnement exposé de n'importe qui, n'importe où et n'importe
quand, y compris moi-même. NOBODY is
perfect.
C'est la raison des trois parties toujours distinctes
de Ma chronique "FINANCES-vérités".
Mercredi
2 AOÛT 2017
(La prochaine est prévue pour le Mercredi 31 Août 2017)
Sauf blocage financier si je continue de ne
rien recevoir sur Paypal (seulement 20 euros reçus !), ou... de mort.
Madame,
Mademoiselle,
Monsieur,
Selon la dernière situation
du budget de l'État publiée le 7 JUILLET dernier sur le site intitulé " Performance publique
& budget de l'État " : " En
date du 31 Mai dernier, le solde s'établissait " déjà à –66,4 Md€,
pire de -0,7 Md € qu'en Mai 2016, ceci malgré une hausse des recettes fiscales de
+ 3 Mds € à la même date ! Vous parlez
d'une " PERFORMANCE
" ! Ce qui signifie que l'Agence France Trésor (AFT) a déjà dû trouver
cette somme à emprunter pour permettre les paiements à cette date, plus ou
moins le " termaillage " administratif ! Étant donné que l'horizon
est, à l'heure actuelle, chargé d'un déficit annuel prévu de -3,0 % du PIB (°),
lequel est bien entendu révisé ( = magouillé ) à la hausse pour y parvenir, soit
environ -66,885
Mds €, selon la Cour des Comptes, il est aisé d'apercevoir
l'augmentation de la dette publique générale de ce même montant, au 1er Janvier
2018 prochain. Le Gouvernement de prétentieux, d'arrivistes et d'incapables,
est inapte à corriger la descente aux Enfers, l'objectif des -3% du PIB était déjà atteint
fin Mai dernier ! Il ose conduire DEUX CENTS agriculteurs/an au
suicide, dont même quelques agricultrices, certes encore minoritaires dans la
statistique ministérielle, mais Marlène SCHIAPPA s'occupe du rééquilibrage,
faute de créer les conditions géopolitiques, économiques et sociales propices à
la vie - et j'ajoute qu'elle devrait être la plus confortable de toutes - de
ceux qui nous nourrissent ! J'ai même eu confirmation d'un éleveur de canards
du Sud-Ouest Samedi matin 29 Juillet 2017 que les violations de propriétés, en
plus confisquées et détruites, de 2015 sous motif d'intérêt général inventé (cf.
: mes chroniques précédentes) étaient seulement en cours de règlements partiels
et celles de 2016 annoncées pour... l'année prochaine 2018, peut-être !? Inutile
de préciser, je pense, que la révolte
gronde et va éclater violemment si le Gouvernement récidive. Voilà les R.G.,
devenus DCRI, prévenus...
La gestion budgétaire
des finances publiques apparaît ex abrupto comme irresponsable et ceci depuis
40 ans, chaque année pire. Mais c'est bien plus grave, car cela est voulu, délibérément
voulu, comme nous l'allons voir !
Conscient de la
difficulté des gens à voir l'évidence et à en tirer des conclusions idem, je
m'efforce aujourd'hui de vous rendre la compréhension de :
« l'économie
politique facile !... »
1) Dans l’ACTUALITE économique générale :
« ECO1 : socialisme et libéralisme inversé ! »
(Cela commence bien...)
Une réplique du film
" GREY GARDENS " me paraît bien adaptée à la démonstration cherchée :
" Avec tous ces REPUBLICAINS, il
faut payer pour que les ordures nous soient ramassées ". Édith
BEAL-BOUVIER et sa fille, incapables de payer faute de ressources, entassaient
leurs déchets dans les pièces de la maison, vivant dans un dépotoir immonde une
déchéance terrible. Supposément " DEMOCRATE ", comme sa nièce par
alliance Jacqueline BOUVIER-KENNEDY-ONASSIS, elle la vit arriver un jour pour
la secourir... Dans cette histoire très illustrative, les démocrates sont des
socialistes qui estiment qu'un service public doit être gratuit, donc comme
aurait dû l'être, selon elles, le ramassage des ordures, selon une périodicité
correcte. Malheureusement dans la vie, il n'y a rien de gratuit. Le matériel et
le travail se payent d'une manière ou d'une autre. Ici, les
démocrates-socialistes supposent que cela doit être payé par des impôts : de
qui, par qui, sur qui ? Pas sur elles, sur les autres, évidemment... Mais les vrais
socialistes-libéraux, que ne sont pas les DEMOCRATES, préconisent plutôt le
ramassage, gratuit pour les clients, d'une société qui retraite et revend les
déchets transformés avec profit sur concession publique la plupart du temps corrompue,
bien sûr. Tandis que les REPUBLICAINS-socialistes considèrent, eux, que le
ramassage des ordures ménagères est un service public qui doit être payé par
les clients, épargnant ainsi les frais généraux afférents à l'entreprise qui
retraite alors les déchets avec profit net, sans avoir besoin ni de coercition
ni de corruption. En somme le socialiste n'est pas celui qu'on pense, le
libéral non plus et l'économie ne gagne pas à être politisée car alors elle génère
des effets pervers et de la corruption. Madame BEAL-BOUVIER n'avait pas compris
qu'il valait mieux pour elle être cliente du service, qu'administrée sous
coercition. L'effet pervers aurait été alors de taxer les voisins pour la
servir elle ! Aux USA, les Citoyens n'admettent pas la taxation socialiste à la
française mais ils s'entraident. Les deux femmes auraient simplement dues
participer davantage à la vie de la communauté locale...
C'est ainsi qu'en
France pullulent tous les effets pervers possibles et imaginables par taxations
à tort et à travers !
- C'est ainsi que HULOT
vient de préconiser de payer une prime aux acheteurs de véhicules électriques,
si leurs ressources sont modestes. Prélevée
où ? Et puis distribuée ensuite selon quels plafonds-planchers ?
- Un Décret d'Avance (DA)
sur recettes défrayait les commentaires des réseaux sociaux, sites et blogs le
12 Juillet. Il fut justifié, outre la recapitalisation d'AREVA, par les
surcoûts récurrents depuis des années des OPEX (2) de l'ordre de 550 millions €
et par l'ALLOCATION pour DEMANDEURS d'ASILE (ADA) qui double littéralement
" les crédits initiaux ayant fait
l'objet d'une dotation manifestement
insincère " selon Roger KAROUTCHI, Rapporteur spécial de la mission Immigration, Asile et intégration
de 220 à... 315 Millions €, l'exécution devenue "hors contrôle" de
"l'effort d'hébergement d'urgence" car en augmentation de +28% en
2017, réclame + 167 millions €
supplémentaires (3) ! Prélevés où
? Et puis distribuée à qui ?
Mais... dans la grande
caverne au Trésor d'Ali BABA bien sûr, alimentée par toutes les rapines étatiques
et para étatiques que le régime politique appelle, " Bon sang mais c'est bien sûr " : Prélèvements Obligatoires divisés, comble de raffinement de la
torture, en recettes directes, indirectes et flottantes...
- Dans les recettes flottantes
nous relevons les amendes. Nonobstant les vagues, la marée monte par le
racket au moyen de 26 millions de flashes opérés par 4.398 radars routiers.
Elle a rapporté au syndicat du crime étatique : 920 millions d'euros en 2016
contre, je crois me souvenir, 730 millions en 2015. L'ensemble
matériel réclame 1,8 Milliard de Prélèvements Obligatoires... mais l'investissement
rapporte environ du 50% l'an ! Meilleur placement que le Livret A réservé aux
"cochons de payants", les radars posés sur les avenues, places,
boulevards, routes et autoroutes du MONOPOLY ripouxblicain, traient le lait des
vaches-automobilistes à chaque passage dessus...
Le Rapport
d'Information N°625, enregistré à la Présidence du Sénat le 12 Juillet que
j'ai reçu hier Mardi 1er Août de 67 pages, réalisé au nom de la
Commission sénatoriale des Finances sur " La Maquette Budgétaire de la Mission Remboursements et Dégrèvements
" par Madame Marie-France BEAUFILS, Sénateur, recommande :
- de
mettre fin à l'augmentation illimitée des crédits d'impôts,
- de
mettre en place une comptabilité analytique, plus fine,
- de
cesser d'imputer au mauvais chapitre comptable les crédits liés à la mécanique
de l'impôt*,
- de
renforcer l'information des Parlementaires dans les annexes des projets de lois
de finances (LFI),
- de
rattacher les crédits de remboursements et dégrèvements d'impôts d'État aux
bonnes missions budgétaires,
- de
ventiler lesdits crédits d'impôts locaux en fonction de leur nature,
- d'intégrer
les restitutions d'acomptes de CVAE dans un programme de concours financier
"Avances aux Collectivités Territoriales",
- de
revoir en profondeur les indicateurs de performance, leurs composantes et
cibles,
- de
systématiser l'évaluation socio-économique régulière des dispositifs fiscaux
d'ampleur...
En effet, il ya de... l'AMPLEUR
!
Dès l'introduction, le Rapporteur spécial annonce les deux aspects à
prendre en compte :
1) La LFI (4) pour 2017 a prévu 108,87 Milliards € pour la plus importante des missions budgétaires
de l'État en termes de volume de crédits !
2) *Les
Remboursements et Dégrèvements d'impôts ont la particularité de
venir en atténuation des recettes fiscales brutes de l'État, mais... ils
sont inscrits en dépenses du budget général !
Le grand
"foutoir" comptable révélé au Sénat, lequel s'explique, pour tous
ceux qui l'ont pratiqué et même enseigné comme moi-même, par la méconnaissance
du PLAN COMPTABLE général, ne permet plus à personne de s'y retrouver
clairement, nettement, précisément, rapidement. D'où les fameux " dix
jours de ZIGZAG fiscal de l'exécutif " où Édouard PHILIPPE a
jonglé avec les plus et les moins d'une comptabilité publique " où une
chatte n'y retrouverait pas ses petits " et où l'INSINCERITE règne. Les
MILLIARDS VALSENT !
Mais il n'y a pas que ça
à comprendre...
Le 20 Juillet dernier à
16h34 GMT, le
Figaro.fr révélait la mise en place en France d'un " BUDGET SENSIBLE AU
GENRE " ... Quès Aco ?
Tout a commencé, en
France par une circulaire d'Août 2012 suivie d'une tempête dans un sceau de
purin avec l'article 61 de la Loi du 4 Août 2014 qui oblige les collectivités
locales de plus de 20.000 habitants à " présenter un rapport sur la situation en matière d'égalité entre les
femmes et les hommes ", imposé suite à la signature de la Charte
européenne ad hoc par... 186 collectivités sur les 40.000 environ. Moins de
cinq s'en sont réellement préoccupé jusqu'à présent. Quant à l'État, un peu
moins de 0,057 % de la part des crédits de paiements
étaient consacrés à corriger l'inégalité hommes-femmes supposée en 2015.
Marlène SCHIAPPA a donc décidé de lancer en 2017 un projet pilote pour les
fonctionnaires du Ministère de l'Agriculture, lequel compte plus de
fonctionnaires que d'agriculteurs, rappelons-le en passant... avant de le
généraliser à tous les Ministères. Il s'agit d'intégrer la notion de
"genre" aux politiques publiques comme le souhaitent la Banque
Mondiale, le FMI et dans l'UE, la Commission et le Conseil de l'Europe. Donc
nos Présidents successifs ont approuvés cette ineptie discrètement. Il faudrait
restructurer les revenus et les dépenses publiques afin, tenez-vous bien,
" d'objectiver les différences (NDLR
: supposées) de traitement entre hommes
et femmes par un rééquilibrage des crédits budgétaires entre les sexes
" !
Un exemple bien
nécessaire :
Soit un club de basket
féminin comprenant une trentaine de membres dont 5 hommes. La subvention
publique à ce club étant de 10.000 euros il convient de la revoir sur la base
de la parité. Les 5 hommes reçoivent donc 5.000 € et les 15 filles 5000 euros.
Cela donne 1.000 euros par homme et 333,33 € par fille ?... Ah ! Non ! Ce n'est
pas ça ! 500 € par têtes c'est égal mais les filles ont alors 7.500 quand les
garçons n'ont que 2.500 !?... Ah ! Non ! Ce n'est encore pas ça ! Non, selon
Mme SCHIAPPA, les filles ou femmes doivent être pénalisées par hypothèse dans le
système habituel, forcément masculin, et donc doivent être avantagées par la
dotation budgétaire revue par LA Ministresse... Pas étonnant que moins de 5 Collectivités sur 40.000 ne s'occupent pas
de ce machin qui rend fou !
Le 3 Juillet, un
journaliste du TELEGRAPH de Londres, Charles
ORTON-JONES accusait l'UE de s'emparer de tout le système de taxation de ses
"gentils-membres" et de créer sa propre armée, sous le titre
: " Dieu MERCI, le Royaume-Uni s'en
va " ! " La République En Marche LREM! " avance en France
dans une pagaille, organisée par le nouveau système macroniste, vers l'État Unifié Européen (EUE) dans lequel le
Président français n'aura même pas le quart des pouvoirs du Gouverneur de
l'Arizona pourtant composé à 90% de réserves indiennes !
Conclusion
d’ECO1 : L'ETAT-PROVIDENCE, dans une comptabilité merdique, dépense à
tout-va, comme tout socialiste qui se respecte, de l'argent qu'il n'a pas, pour
subvenir aux besoins de logement, de nourriture, et d'habillement de tous les
intrus en provenance du monde entier. Dans le même temps, il réduit les
ressources de ce qui reste encore de l'Armée française, laquelle ne se
résignait pas jusqu'ici à mourir et qui va être intégrée à l'Armée européenne
après le changement de Chef d'État-major général. Un CINQ étoiles remplacé par
un simple général de Brigade, cela me rappelle l'HISTOIRE du Maréchal de Lattre
de Tassigny obligé d'obéir à un Charles DE GAULLE autoproclamé "deux
étoiles" en 1944-45 et 1961. Les Gouvernants ne cessent de jouer avec les
plus et les moins budgétaires. C'est le Trésor public alimenté par les 47
millions d'esclaves qui paye ! Le "foutoir", déjà grand, est augmenté
par une femelle, du genre incompris, mais de sexe évident, qui s'évertue à en
rajouter avec des équations à la... noix ! J'allais dire autre chose. Les
républicains libéraux gouvernent en étant plus que jamais socialistes. Les
Démocrates sociaux esclaves s'acheminent vers un sevrage brutal de l'État-Providence
en question qui leur redonnera la LIBERTE à un coût élevé.
Proposition : Il faut exiger des Gouvernants qu'ils servent
le DROIT FONDAMENTAL, lequel garantit l'Indépendance et la Souveraineté de la
France avant tout autre chose ! En dégrevant moins, voire plus du tout, du côté
des recettes et en supprimant toutes les subventions de l'autre, on règle à la
fois le problème du déficit, réduit à zéro, l'inégalité de traitement selon le
genre de sexe indéfini par l'idéologie féministe imbécile, et on peut même
réduire légèrement les impôts tout en revenant à l'équilibre budgétaire ! Il ne
reste plus qu'à rendre les comptes enfin "Sincères et Véritables"
comme tous les Chefs d'entreprises y sont contraints à la fois par la moralité
et les greffes des tribunaux de commerce ! CQFD !
2) Dans l’ACTUALITE économique financière :
« ECO2 : socialisme
avancé ! »
Le socialisme s'étant
avancé bien au-delà de ses frontières économiques, sociales et financières idéologiques
de naissance, la croissance exponentielle illimitée de ses dépenses s'avérant désormais
hors de contrôle, le maintien du déficit annuel dans les limites imposées
relève de la haute voltige sans filet avec l'assurance de tomber mortellement.
C'est ainsi que Bruno LEMAIRE, Ministre de l'Économie, " reconnaissait qu'il devra
prendre des mesures difficiles pour ramener ledit déficit sous la barre maastrichtienne
des 3% du PIB dès cette année 2017 ". LeFigaro.fr du 23 Juin
citait même cette prise de conscience
tellement nouvelle qu' " Il faut en finir avec l'addiction aux
dépenses publiques " ! THAT'S INCREDIBLE ! " Dans une étude complète et détaillée de
l'économie française par l'INSEE " au vu de l'année 2016, reprise par
LaTribune.fr du 11 Juillet dernier, on apprend que l'endettement
public, c'est-à-dire collectif général, s'élevait
à -2.147 Milliards d'Euros soit 96,3% du PIB, bien au-delà des 60%
maximaux requis par le Traité de Maastricht et, bien sûr, en augmentation sur
2015 de 0,7 points... Donc, le PIB était de 2.229,5
Milliards € (°). En complément au tableau, le déficit du Commerce Extérieur
(C.E.), chronique depuis 2003 sous CHIRAC où il connut son dernier excédent
connu, a aussi augmenté de 2,3 Milliards €. Cependant, et c'est là que
l'on voit que l'économie financière française ne tient qu'à un fil, on apprit
la légère amélioration de 700 millions dudit C.E. en Mai dernier,
revenant à -4,9 Milliards grâce à... la vente d'un paquebot de croisière
! Mais la solution finale est encore loin. LeFigaro.fr du 7 Juillet dernier
rappelait que sur un an nous en sommes à un déficit extérieur de -58,7
Milliards € contre -48,1 Milliards sur la même période en 2016, soit -22,04 %. Le bateau coule,
il prend l'eau de toutes parts, tout l'équipage et les passagers se noient. Il
ne reste plus à l'air libre que la passerelle du 55 de la rue du Faubourg
St-Honoré PARIS 8ème qui descend, qui descend...
Comment, en effet, maîtriser un PIB qui est passé (en euros courants rétropolés) de 13,2 Mds € en 1949 (5) à 2.229,5 Mds € en 2016 ? C'est
une augmentation de masse de +169 fois en 68 ans,
soit +2,48 fois par an (+ 148 %/an) totalement
disproportionnée d'avec la croissance démographique, laquelle a doublée
seulement sur la période ? Une telle croissance en valeur exprimée en signes
monétaires courants est dailleurs presqu'aussi disproportionnée d'avec la
croissance en biens et services exprimée en volumes concrets de poids, de
qualités et de nombre d'heures de travail...
Comment maîtriser une telle inflation de signes monétaires
pour équilibrer un même PIB ou presque ?
Eh ! Bien, en endettant tous les Français, bien sûr
! Comme cet
incroyable endettement à commencé à devenir inquiétant à la fin des années
soixante dix, je remarquais, comme Liliane HELD-KHAWAM sur 24HGOLD le 12
Avril 2017, qu' " il est passé de 74 Milliards € rétropolés pour l'ensemble des
administrations publiques en 1978 à près de 2.175 Mds € actuellement, soit multiplié par 29 fois
(+2.800,oo%) en près de 40 ans (+70%/an) " ! Je rappelle, encore une
fois, que l'endettement total des ménages français était constaté en 1986 à l'équivalence
avec le total de tous les impôts appelés par le Gouvernement depuis 1945 ! Ce
qui veut dire que pas un seul instant, les ménages français n'ont eu la
possibilité de payer ces impôts sur les revenus du travail ou du capital et
qu'ils ont dû s'endetter à même hauteur ! De nos jours, le surendettement
évident des ménages français est causé par le surendettement de l'État et de
ses collectivités subsidiaires. Le surendettement par les déficits
irresponsables vient se surajouter au surendettement endémique. La FIN approche
! Que DIEU nous aide à éviter la IIIème guerre mondiale qui se
construit d'évidence quotidiennement à coups de sanctions dictées par le cartel
mondial militaro-industriel financé sur l'endettement des peuples.
Conclusion d’ECO2 : Je
vais citer l'excellente introduction à l'article de Liliane HELD-KHAWAM, qui confirme
depuis hier son enracinement catholique, comme conclusion ici : " La globalisation a fait sienne la croissance
( NDLR : économique nominale ) par
endettement. Nous avons vu... le volume extravagant que représente le crédit
aux secteurs publics. Grâce à la financiarisation de tout ce que la planète
TERRE englobe, la finance s'est détachée de l'économie réelle et finit, de nos
jours, par exister par elle-même et... pour elle-même " ! Méfiez-vous
de la présentation des statistiques, des ratios, des graphiques. Le budget
2016, officiellement arrêté à 410 Milliards d'euros signifie en Francs Français
: 2689,4237 Mds FF. Il était de 250 Milliards FF en 1981. En 35 ans, il a donc
été multiplié par plus de dix fois, soit +900 % ! Rien que le déficit de l'ordre
-70 Mds € représente 460 Mds FF soit le double environ du budget total de 1981
!!! Mme KHAWAM constate que " ... quelque
chose de structurel s'est passé. Un système, installé et institutionnalisé,
gangrène manifestement les Finances Publiques non pas depuis 2006-2009 mais
bien depuis 1978. Un système qui ne peut aboutir qu'à la faillite de la chose
publique. Ces énormes trous financiers ont en contreparties des encaissements
et des bénéficiaires ". Les Echos.fr du 6 Juillet dernier dénonçait le
fait qu'un seul investisseur, restant anonyme bien sûr, venait de s'offrir la souscription de la
totalité de l'émission de dette australienne de 800 millions de dollars Australiens
(AUD). Croyez-vous que ce soit pour un rendement de 2% ? NON ! C'est pour le
pouvoir personnel de l'un de ces bénéficiaires de nos trous sur nos peuples !
Propositions : Supprimer les trous, les déficits et vous
rendrez service à vos finances individuelles, de vos ménages, de vos
collectivités locales, de votre Nation ! Et là, PATATRAC, devenu Président, je
suis assassiné par les mondialistes bénéficiaires de ces trous que je supprime
parce qu'ils y tiennent, les bougres, forcément ! Alors choisissez dans vos
élections des personnes courageuses qui vont faire, comme TRUMP, ce que vous
avez voulu et qu'elles ont accepté d'assumer... Et qu'il assume, gratuitement !
3) Dans l’ACTUALITE économique monétaire :
« ECO3
: pouvoir d'achat détruit ! »
L'inflation financière
n'a jamais eu d'autre objectif que d'utiliser la lâcheté des gouvernants,
assurée par la corruption, et encouragée par la bêtise incommensurable des
peuples. Les financiers globaux se rient de l'école qui apprend à compter,
dailleurs de moins en moins bien, c'est plus sûr, à des individus qui toute
leur vie ne sauront même pas calculer avec les quatre opérations de base... de
tête ! Réfléchir c'est calculer ! Ne pas calculer c'est accepter les œillères
politiciennes colorées, séduisantes, aux slogans attirants et aux réflexions
toutes faites. Ne pas calculer en Francs Français, pour nous personnes âgées, ne
pas l'apprendre à nos descendants, c'est se masquer volontairement l'inflation
par les prix, sauf à subir des rétropolations aisément falsifiables. Un repas à
18 euros, que la plupart trouvent pas cher, c'est en réalité un repas à 118,07
FF alors que le même repas coûtait au pire 18 FF en 1999 soit 6,56 fois moins !
Je vais vous donner un autre exemple : en 1851, au moment du coup d'état de
Louis Napoléon BONAPARTE, une propagande fut lancée contre les députés du
peuple à l'Assemblée Nationale par des agitateurs stipendiés pour dresser le
Peuple contre eux, laquelle disait la réalité qu'ils gagnaient 20 Francs-Or
d'indemnités par jour. Une cinglée de l'époque ameuta le quartier quand Victor
HUGO passa, en hurlant : " C'est un
20 Francs, C'est un 20 Francs,... ! " (Cf. "Napoléon le
Petit" de VH). De nos jours les députés touchent, dit-on, pour eux seuls,
environ 8.000 euros/mois, soit à 200 € la même pièce hier (199,74) environ 1,5
fois l'indemnité journalière de leurs collègues de 1851. Cela c'est l'inflation,
très faible, des indemnités parlementaires directes. Facile d'ameuter le
Peuple. Elle est cependant très inférieure à l'inflation par les prix depuis
lors ! Le pouvoir d'achet du député a donc fortement baissé en 166 ans !
Question : pourquoi,
jamais, vous n'êtes poussé à hurler contre l'endettement financier généré par les
votes de ces mêmes députés, les décisions de leurs Ministres et de votre
Président qui vous enterrent, eux, bien plus que lesdites indemnités
parlementaires !? Vous êtes poussés à réfléchir en vous appuyant sur une base
du raisonnement complètement détournée du sujet, exprès pour que vous hurliez
contre ceux qui pourraient, s'ils étaient mieux choisis, et mieux soutenus,
contrarier les bénéficiaires mondiaux des trous que vos votes stupides et ceux
de vos députés creusent !
Par ailleurs :
Le pouvoir d'achat des
monnaies est parfaitement connu. Je
vous indique l'étude wikipédia sur le sujet.
- En termes de pouvoir
d'achat des revenus, l'encyclopédie interactive cite le cas de cette
cuisinière du peintre Jacques Augustin Catherine PAJOU qui gagnait 350 Francs-Or
/an en 1828, son domestique 500, son jardinier 700. Le métal Argent coûtait
204,50 F-Or le kg. Le Franc fut défini de 1803 à 1914 par la frappe de 155
pièces de 20 F-Or nominal par Kg d'Or à 900/1.000èmes de fin
(environ 22 carats). Avant le coup d'État maçonnique qui inventa le Kg, on aurait
parlé d'une frappe à 155 flans le Marc à 900 millièmes de fin. Le Kg d'Or
valait donc 3.100 F-Or. En 1890, les femmes de ménage gagnaient 1,50 F-Or par
jour de 16 à 17 heures de travail. Pour la même durée, les cochers,
camionneurs, et autres conducteurs gagnaient 5,75 F-Or/jour. Les employés de
bazars 5 F-Or par jour ! Les mêmes salaires oscillaient donc pour la même durée
horaire de travail de 15 €/j à 57,5 €/j. Le député touchait donc 4 fois le
salaire d'un employé de bazar. Où était le drame ? Dans la propagande... Il
touche aujourd'hui à peu près le même ratio au SMIC...
La côtelette de porc coûtait 25
Centimes d'Argent à 900/1.000èmes de fin soit 0,80 €, le litre de
lait 0,10 F-Argent soit 0,32 €, une livre de pain soit deux baguettes
parisiennes actuelles 0,15 F-Argent soit 0,48 €, l'eau était gratuite à la
fontaine publique, les légumes et les fruits de saisons à environ 0,05 centimes
soit 0,16 €. On pouvait donc manger chaque jour pour 2,01 € soit 3,5 à 13,5 % de
son salaire d'alors ! Comparez avec ce que vous coûte aujourd'hui la nourriture
par personne rapportée à votre revenu net.
- En termes d'inflation strictement
monétaire comparée, 0,05 F-Or de 1901 sont devenus 1 Franc fiduciaire, soit
20 fois plus de signes monétaires en 1999, au moment du passage à l'euro
scriptural ! Multipliez ensuite par l'augmentation en euros depuis 1999...
Nous avons déjà vu
précédemment que la "grande dépression" fut causée par l'augmentation
keynésienne précédente de la masse monétaire qui engendra une hausse des prix
et une fonte des investissements par la dévaluation des créances et des titres.
Je maintiens d'ailleurs en annexe (1) l'article très bien fait sur le sujet.
Le DRAME est que le transfert à
la BCE, BANQUE CENTRALE de l'EUROSYSTEME, de l'émission de monnaie tend à se
désencadrer pour soutenir un système bancaire cartellisé dont le coefficient
multiplicateur est limité même s'il a dans les faits atteint déjà les presque
cent fois. La BCE songe depuis Septembre 2016 à faire sauter les limites
imposées à son accommodement monétaire, "quantitative easing" en
américain, de 60 devenus 80 Milliards € /mois. 24HGOLD du 10/09/2016 spécifiait
: " Pouvoir acheter des titres d'un
rendement inférieur à son taux de dépôt et plus que les 33% actuels d'une ligne
obligataire, libérerait déjà pas mal" ses capacités d'invention de
monnaie. " C'est ainsi que le cartel
bancaire pourrait émettre, ou garantir, ou souscrire, du "papier" à
un taux négatif, par hypothèse disons de -50%, pour 1 Milliard d'euros
encaissés de suite et ensuite encaisserait un intérêt de 500 millions par an "
touché encore par lui sur sa dette ! DINGUE ! C'est le monde à l'envers.
Nous apprenions, relayé
par réinformation.tv également le 6 Juillet dernier, que Janet YELLEN, Premier Gouverneur du Federal Reserve Board,
très optimiste, dansait allègrement sur le volcan ayant fait monter le niveau
des laves de dettes mondiales à 217.000 Milliards de dollars US (217
Trillions), obtenus grâce à la mécanique bancaire, relayée criminellement par
les banques Centrales et au premier chef, la sienne, la RESERVE FEDERALE ! Cet
encours mondial de monnaie-dette représentait 327 % du PIB mondial contre
"seulement" 276 % en 2007. Voilà le résultat du Keynésianisme
"en marche" (1) !
Conclusion d’ECO 3 :
En nous imposant un garrot de 60% de notre PIB d'endettement, le mondialisme
américain nous prive du bénéfice de son laxisme qu'il réserve à d'autres, et à
lui-même en particulier. L'austérité comparée au laxisme ailleurs devient
chaque jour plus insupportable. Mais voyez-vous, nous subirons moins
méchamment, de ce fait même, l'écroulement de leur "système". Cet
écroulement est garanti car ses causes sont similaires à celles de celui de
1929. L'inflation monétaire débridée de la Banque Centrale soutient l'inflation
monétaire inventée ex-nihilo par le cartel bancaire qui lui-même alimente les
déficits publics, et même tout court, aux prix actuels gourmands de signes
monétaires, la dépense publique dans sa quasi-totalité. Le monde entier est en
surchauffe et consomme le double de ce que la planète produit en une année.
Avec cette constatation que le 2 Août, la planète puise dans son capital, il
est facile de comprendre que la LOI NATURELLE va imposer une longue cure de
privations à l'Humanité qui devra se contenter à nouveau du seul REVENU
naturel.
Propositions : Dégonfler la masse monétaire, les dépenses,
les consommations sera à la fois un mal et tout de suite un BIEN pour
l'Humanité qui, si elle ne se l'impose pas d'elle-même, lui sera imposé par
DIEU ! Et du même coup les loups mondiaux gourmands de pouvoir absolu sur les
peuples seront eux aussi réduits à la famine.
Ma Conclusion Générale du Jour : Toutes les structures
collectives, et au premier chef l'État, doivent rendre des comptes sincères et
véritables, présentés suivant le PLAN COMPTABLE COMMUN, dans le DROIT COMMUN.
Le fait que certains postes seront garnis et d'autres non, changera la
physionomie des comptes dits "publics" par rapport aux comptes
"privés". Mais c'est une très grave faute qui coûte fort cher d'avoir
inventé une autre filière de droit avec des comptes présentés selon des règles
particulières différentes. Ensuite, les comptes doivent être équilibrés en
recettes et dépenses et s'il y a un crédit, il doit être limité au DROIT COMMUN
selon les capacités de remboursements communes à tous dans les mêmes limites.
Remettre tout le monde, personnes morales et physiques, collectives ou
individuelles dans le DROIT COMMUN servira le BIEN COMMUN dans le respect du
DROIT FONDAMENTAL. Dans l'immédiat il faut immédiatement réduire le déficit
"public" à ZERO ! Nous avons dit comment plus haut ! C'est facile
mais il faut en avoir la VOLONTE !
Supprimer les déficits
supprimera du même coup l'appel à la création monétaire ex nihilo bancaire qui
a seule permis aux budgets collectifs et étatiques d'exister dans leur
monstrueux total de 2017. Il ne sert donc à rien, comme l'a défendu Marine LE PEN
stupidement, d'attaquer le recours à la mécanique des banques. Car, sans elle,
il n'y a plus qu'un tout petit filet de financement sur appels d'impôts ou
d'épargne, encore payables sur un REVENU NATIONAL réduit des 9/10èmes au moins
! Ce faisant, remarquons que nous ne ferions qu'anticiper, et donc nous
positionner favorablement, avant le grand écroulement général du système,
conforme à la LOI NATURELLE, et dont DIEU nous prévient donc. Tenons-en compte
! Et vite !
Chronique
rédigée sur 6 Pages, plus les éventuelles photos et annexes.
Synthèse
de 104 pages de rapports officiels
plus
69 de notes = 173 pages
prises aux sources et aux actualités
sans parler des milliers de pages mémorisées
dans le PC...
prises
en marge de 125 journées de travail de 10 heures chacune partagées avec les CPI
!
Calculs
personnels !
Un travail de qualité PROFESSIONNELLE, comme à l'accoutumée,
j'ose le dire !
Annexes :
1)
NOTA BENE :
Pourquoi des théories économiques
erronées demeurent populaires
|
Publié
le 29 mai 2017
672
mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
|
Ludwig
von Mises et Friedrich Hayek, les économistes autrichiens les plus renommés de
leur époque, ont su anticiper le krach boursier de 1929 et prédire les lourdes
conséquences des tentatives des gouvernements de stimuler artificiellement la
croissance économique après l’effondrement. John Maynard Keynes, en revanche, a
été complètement pris de court par l’effondrement du marché boursier et le
désastre économique du début des années 1930. Et pourtant, ce sont les théories
de Keynes qui sont devenues populaires dans les années 1930, alors que le
travail de Mises et Hayek a été largement ignoré.
Pourquoi ?
Keynes est devenu populaire parce qu’il a dit aux puissants ce
qu’ils souhaitaient entendre. Il leur a apporté un soutien intellectuel qui
leur a permis de développer des programmes qu’ils avaient non seulement déjà en
tête, mais qu’ils avaient aussi commencé à faire appliquer. Bien que ses
théories soient truffées d’erreurs, Keynes a également séduit de nombreux
économistes, parce que l’adoption de ses théories était susceptible de leur
conférer une influence bien plus importante sur la confrérie économique.
Les
points soulignés dans le paragraphe ci-dessus, ainsi que le charisme de Keynes,
expliquent pourquoi les théories keynésiennes sont devenues les théories
dominantes. Mais ils n’expliquent pas comment elles ont
pu le demeurer malgré la montagne de preuves qui indiquent qu’elles ne peuvent
que mener à un déclin économique de long terme.
D’après
ce que j’ai pu voir, les théories keynésiennes
sont devenues populaires pour trois raisons principales.
-
Tout d’abord, elles s’accordent avec les objectifs de
tous les hommes politiques actuels, et il existe
aujourd’hui un appareil gouvernemental qui dépend de l’application continuelle
de ces théories. En d’autres termes, une
majorité des gens ont donc tout intérêt à perpétrer le mythe selon lequel le
gouvernement devrait gérer l’économie.
-
Deuxièmement, il est généralement impossible de réfuter
une théorie économique grâce à des données, parce que ces mêmes données
peuvent généralement être interprétées de différentes manières et utilisées
pour justifier de théories opposées. La vérité, c’est que la science économique implique de commencer avec la bonne
théorie pour pouvoir interpréter les données correctement.
-
Troisièmement, le Keynésianisme est plus un ensemble
d’anecdotes qu’une théorie cohérente, dans le sens où il explique l’évolution
des choses par des évènements imprévisibles et l’évolution de l’« esprit
animal ». Il est impossible d’invalider une position intellectuelle qui
est constamment changeante.
Un
bon exemple de la manière dont les mêmes données peuvent être interprétées de
différentes façons pour défendre des théories conflictuelles peut nous être
apporté par l’effondrement de l’économie des Etats-Unis qui a eu lieu entre
1937-39. Selon les Autrichiens, le fait que le gouvernement fédéral ait soutenu
les prix, accru ses dépenses, gonflé la masse monétaire et interféré avec les
industries – et donc fait de son mieux pour interférer avec le processus
correcteur survenu après le krach boursier de 1929 – a garanti une reprise économique
de court terme qui n’aurait pu que disparaître aussitôt que ces supports
artificiels se trouveraient réduits. L’erreur commise, selon les Autrichiens, a
été l’apport de ce soutien artificiel. Selon les Keynésiens en revanche,
l’erreur a été de retirer ce soutien prématurément. Ils sont d’avis que le
gouvernement et la Fed auraient dû continuer de faire le nécessaire pour
repousser l’effondrement, l’idée étant qu’avec une assistance gouvernementale
suffisante sous forme de nouvelle monnaie, de nouvelles réglementations, de
contrôles de prix et de création d’emplois sur le secteur public, l’économie
peut croître jusqu’à de nouveau devenir autonome.
Malheureusement,
le stimulus monétaire keynésien sous la forme de dépenses gouvernementales, de
crédit et d’inflation monétaire en période de récession économique ne peut pas
mener à une reprise autonome. Et face à cette réalité, les Keynésiens ont deux réponses
possibles : ils peuvent décréter que le stimulus aurait fonctionné s’il
avait été plus agressif, ou bien que l’économie s’en serait encore plus mal
tiré en son absence.
Qui
pourrait contester ça ? C’est une déclaration qui ne peut jamais être
invalidée, parce qu’il n’est jamais possible de revenir en arrière pour montrer
ce qui se serait passé dans le cadre de politiques différentes.
2)
OPEX : OPérations militaires sur Théâtres EXtérieurs.
3)
Source Assemblée nationale.
4)
LFI : Loi de Finances Initiale, ici pour 2017.
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