mercredi 30 janvier 2013

Altercompréhension keynésienne en faillite :



Pour :
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CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 96

MERCREDI 30 JANVIER 2013


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Le VENDEE-GLOBE a connu l'arrivée Lundi, à 3 heures de décalage, après 78 jours de course, des deux vainqueurs quasi ex æquo car arrivés deux jours devant le troisième arrivé ce matin après un peu plus de 80 jours. Le Premier est séparé du deuxième par un écart de 0,0016 soit 16 dix-millièmes ! De nombreuses questions restent suspendues, en attente de réponses à venir, mais cernées elliptiquement par un Jean LE CAM qui, constatant que François Gabart lui met « non pas une semaine mais 10 jours dans la vue » et qui se demande s'il n'est pas « condamné à rester tondre son gazon avec son tracteur » sauf à « suivre des cours de la part des deux détenteurs de la meilleure performance du monde » et par un Dominique WAVRE qui parlent d'eux comme étant des « extra-terrestres ».

Pour ma part, je me contenterai de relever que les deux bateaux de ces deux grands capitaines ultra-sportifs sont financés pour le premier par une Cie d'Assurances et pour le second par un groupe bancaire. Ces deux-là écrasent littéralement le suivant financé par une marque de cosmétique, un privé en perdition et un Jean LE CAM, cinquième encore ce matin, sur un bateau financé par un large groupe artisanal. Voilà donc l'illustration de ce qui se passe dans l'économie en perdition actuelle dominée par les groupes bancaires et financiers dont on finit par ne plus vraiment savoir qui possède l'autre des Cies d'assurances ou des banques. L'économie réelle étant écrasée par eux comme elle est dominée dans cette cours célèbre autour du monde. Je ne pense pas que cela soit anodin… Je pense même que c'est grave.

En matière économique, aucun « économiste » médiatiquement connu ne semble relever cette aberration. Ce qui m'a amené à retenir cet article de 24hGOLD : « La France, ce paradis des économistes d'opérette » :
http://www.24hgold.com/francais/contributor.aspx?article=4190996476G10020&contributor=H.+Seize
lequel stigmatise ceux qu'il qualifie de « Pipo-économistes » dans un style acide qui n'épargne pas une illustre inconnue qui serait «  à la pensée économique ce que les aphorismes d'un Jean-Claude VAN DAME sont à la philosophie hellénique : une source continuelle d'émerveillement goguenard mâtinée de consternation » ! Cette « passionaria de l'économie d'improvisation… consciencieusement inscrite au parti socialiste… affectionne la broderie altercomprenante  sur statistiques nationales qui aime tendrement piquer l'argent des uns pour le distribuer n'importe comment aux autres… Cette régulière des colonnes « d'Alternatives économiques »… en charge de la Mission sur la Réforme de l'épargne financière avec son camarade de coterie républicaine Dominique LEFEBVRE, lui aussi député, lui aussi socialiste, doit rendre son rapport, que l'on pressent palpitant d'exactitude et de pertinence, fin janvier ( NDLR : c'est demain ! ? ), lequel devrait aboutir à l'habituel bricolage législatif appelé « Loi de Finances » à l'Automne 2013. Dans son « interview » au journal bien connu de désinformation officielle « LE MONDE », la Frau Karine BERGER nous livre son argument principal : « L'Impôt, clef de voûte de la vie en commun » ! Le vrai souci de son parti « d'humanistes millimétriques… étant non pas tellement le partage et la redistribution que la ponction, sur l'art de laquelle, cette « pipo-économiste » est aussitôt intarissable. Bref, partageant le diagnostique, mon titre d'aujourd'hui ne pouvait pas être autre chose que :


 « La DICTATURE des CANCRES !… »



1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« Le Cinéma politicien !… »

Dans cet article de 24hGOLD signé H. Seize – Hashtable – du 21 Janvier, que vous lirez je pense avec beaucoup d'intérêt, l'étalage du Keynésianisme ressemble à celui de l'ignorance sur une tranche de pain noir réservé au Peuple qui devra toujours payer en fin de comptes toutes les dépenses publiques, soit-disant nécessaires pour sauver ses emplois, aussitôt détruits et à jamais perdus en même temps que son pain blanc.

C'est si vrai que les 5.000 emplois perdus dans l'agro-alimentaire en 2012 devraient être doublés par 5.000 autres en 2013 suivant une mise en garde, non pas une menace, du président de l'Association des Industriels du secteur, selon une enquête sur tout le territoire, où de très nombreuses PME sont en graves difficultés, plus particulièrement dans la viande et la charcuterie. Il annonce vouloir se battre pour que la LME (Loi de Modernisation de l'Economie) soit précisée et clarifiée sur le volet des relations commerciales. Ce secteur produit 150 Milliards d'euros de chiffre d'affaires consolidé annuellement, emploie 415.000 personnes, dans essentiellement 69% de TPE (Très Petites Entreprises) et 29% de PME. (Source FranceTVInfos du 14 Janvier 2013)

Menacés de raréfaction des produits alimentaires et donc de hausses des prix déjà ultra-élevés, les « contribuables imposés de force » vont devoir cracher 30 Milliards de Prélèvements dits « Obligatoires » supplémentaires en 2013. Dans ces conditions ils vont chaque année moins au cinéma (-5,9% en 2012 selon le CNC) et se contentent, avec un humour gourmand, de celui de leurs pantins politiciens sur les écrans quotidiens de leurs TV… La production cinématographique française chute là encore plus que l'étrangère avec –7,7% où les Américains dominent. On apprend, grâce à Capital.fr qui nous le répercute, en sus de ce qui précède, que le film à gros budget : « Astérix et Obélix : au Service de Sa Majesté » à fait deux fois moins d'entrées que le précédent de 2008 « … aux Jeux Olympiques ».

Dans ces conditions, on se pose évidemment la question : mais d'où peuvent bien provenir les énormes « revenus » des « stars » françaises comme le médiatiquement mis en scène Gérard DEPARDIEU ? D'abord, selon FranceTVInfos, les acteurs français seraient mieux payés que les Américains ! ? Trop, selon le fondateur de la Sté de distribution Wild BUNCH, qui fustige « l'exception culturelle française ». « La France détiendrait le record du monde du coût moyen de production : 5,4 millions d'euros pour seulement 3 millions en Amérique ». « Un Français François-Xavier DEMAISON gagnerait plus que Benicio Del TORO, Vincent CASSEL aurait perçu 226.000 euros pour Black SWAN qui n'aurait fait que 1,5 million de Chiffre d'affaires » ! « Pourquoi de tels salaires pour des films qui font souvent moins de recettes que les cachets dépensés pour leurs acteurs » ? Ce serait la faute du système de financement qui alimenterait une minorité de parvenus, « riches d'argent public » ! Tiens, tiens… La redevance aux chaînes publiques aboutit à des subventions directes aux films français. Elle est augmentée d'une subvention indirecte par obligation faite aux chaînes privées d'investir dans les films français. Les acteurs se retrouvent ainsi « en possession d'un pouvoir de vie ou de mort sur chaque projet en fonction de l'audience télé escomptée » ! « Ceci en dépit des contre-performances à la télévision »… Le Sieur Vincent MARAVAL propose donc la limitation du cachet à 400.000 euros par acteur, assorti d'un intéressement sur le succès du film, condition de l'investissement des chaînes… Une récente Convention Collective du 19 Janvier qui fait polémique, est contrebattue par 5 syndicats de producteurs représentant 95% des films produits. Bref, tout le monde semble en déficit sauf les acteurs qui, de plus, bénéficient d'une centralisation qui opère le recours au chômage mathématiquement organisé des intermittents du spectacle.

Conclusion d'ECO 1 : Bref, trop c'est trop, pendant que l'on ponctionne à tour de bras les gens qui recourent de plus en plus aux « Restos du Cœur », la redistribution de ces ponctions en hausses constantes bénéficie un peu trop ouvertement à une minorité de privilégiés. Nous assistons là à un des effets pervers bien connu des interventions étatiques qui désertifient l'entreprise privée, ici sous prétexte d'exception culturelle.



2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :


« le Cancre se tape la tête dans le plafond !… »

C'est aux Etats-Unis que le Président OBAMA, à peine réélu, grandi avec ses dépenses et en contrepartie avec ses dettes depuis 4 ans déjà, réclame le réhaussement de leur plafond constitutionnel, ce qu'on appelle d'habitude le mur budgétaire mais moi, je préfère l'image du plafond.

C'est en France que certains voudraient bien qu'il existe ce plafond ! Car à force de déplafonner, les cancres au pouvoir absolu maçonico-républicain obtiennent le résultat de leurs efforts keynésiens : la faillite. C'est le Sieur SAPIN, le même qui a déjà, sous MITTERRAND, réduit à ZERO les réserves obligatoires des banques, réétablies en même temps que l'Euro par la BCE à 2% seulement, qui stigmatise un Etat français « totalement en faillite » comme le rapporte Capital.fr le 28 janvier, avant-hier. Il ajoute : « La récession va s'aggraver, donc le chômage augmenter, il y a le feu » ! « Aussi longtemps que nous n'aurons pas fait accepter par les marchés financiers un ralentissement de la réduction de la dette, nous serons sous contrainte »… En somme il voit enfin que la France va devoir demander un étalement comme les célèbres : PIIGS, si stigmatisés depuis 5 ans. De l'étalement à la remise de dettes et donc à la banqueroute officielle, il paraît donc, qu'il n'y a plus qu'une question de mois, peut-être de jours. Ce faisant le SAPIN hérite de la même situation de François FILLON mais aggravée de trois fois… il faut bien le dire.

Dans cette situation de faillite frauduleuse, aggravée par l'équipe SARKOZY, mais déjà elle-même aggravée des équipes CHIRAC, elles-mêmes aggravées des équipes MITTERRAND qui ont mis, aussi avec Mr SAPIN, en faillite la banque de France et les banques depuis 1985, il est évident que l'Etat ne peut plus suivre EDF qui réclame des sous pour combler les déficits liés aux dépenses d'investissement dans les énergies renouvelables auxquelles la fameuse CSCE de vos factures ne suffit pas : 5 Milliards ! EDF a donc obtenu sans difficulté que ce soit … les CLIENTS qui payent ! Vous !… ET bien sûr, l'action EDF a clôturé en hausse de +5,16% lundi 14 janvier a cette nouvelle qui bénéficie en plus aux traders bancaires quand c'est vous qui allez cracher au bassinet pour une politique désastreuse, conséquence d'une idéologie verte qui méprise les faits.

Conclusion d'ECO 2 : La faillite de l'Etat continue de transférer ses obligations et ses dettes sur les « clients » de toutes les entreprises publiques, captifs la plupart du temps, eux-mêmes déjà ponctionnés comme imposés de force et d'autant plus qu'ils sont appauvris par la hausse des prix de tout, plus, de plus en plus souvent, la perte de leurs emplois… Même GRIBOUILLE s'apercevrait qu'il est chez KAFKA, dans son « château » de fous, mais pas les Cancres politiciens dont la taille prétentieuse grandit à due concurrence de la quantité de sottises proférées. Et le peuple retrouve les mêmes cancres au pouvoir en alternance… Tous tenants du Keynésianisme. DINGUE !


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :


ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« Les Cancres : Aux Pieds de l'Allemagne !… »

Je réserve pour le moment que je jugerai opportun, l'examen en termes d'économie politique des chiffres d'un bilan à venir de la BCE. Dans l'immédiat, je reprendrai pour l'essentiel l'article du 25 Janvier de 24hGOLD : « Que nous apprend l'évolution de la masse monétaire en zone euro ? ».

Le « 1er Bulletin de l'année 2013 de la BCE nous apprend que la quantité de monnaie distribuée depuis la « Crise » de 2008 n'a pas diminué. Tout au plus, la croissance de la masse monétaire M3 de signification allemande, n'a-t-elle fait que moins augmenter qu'avant depuis 1999 à 2007. Même elle recommence à croître davantage depuis 3 ans de 2008 à 2011. Autrement dit la croissance de la quantité de monnaie en circulation s'accélère. Nous serions dans l'économie générale, on parlerait d'expansion, laquelle est l'augmentation de la croissance. Ici l'inflation monétaire est patente. En contrepartie il se confirme que ce sont les créances sur les banques qui alimentent cette création supplémentaire de « monnaie » en circulation, ce que nous savions déjà. Maisvers qui les banques emploient-elles ce supplément de monnaie ? Eh, bien, le crédit aux entreprises et aux particuliers dit privé se contractant de –1%, c'est aux Etats que va la manne !  Les crédits aux gouvernements ont augmentés de +9% au troisième trimestre de 2012 par rapport au même de 2011. Ces financements servent à couvrir les déficits keynésiens. Ce qui veut dire que les officiels efforts de réductions des déficits, et autres « consolidations budgétaires » ne sont que « miroirs aux alouettes », flinguées, comme les Palombes dans Les Landes » à coups d'impôts…

Suivant 24hGOLD, je me demande aussi « dans quelle mesure la politique monétaire expansionniste actuelle retarderait la consolidation budgétaire, et donc les réformes structurelles tant nécessaires pour revenir à la stabilité des finances publiques et des marchés financiers » ?

Conclusion d'ECO 3 : La réponse est simple, le moteur keynésien bien pratique au système électoraliste en place ne s'arrêtera pas tant que nous n'aurons pas des gouvernants courageux, honnêtes, et déterminés à servir le seul « Bien Public » quitte à en perdre leurs jolies places. Tant que nous aurons toujours les mêmes politiciens à 100% fonctionnaires et Franc-Maçons, le moteur va continuer de tourner jusqu'à ce qu'il coule effectivement une bielle.  Comme l'Allemagne aperçoit la panne prochaine, elle vient de prendre ses précautions en vidant les coffres souterrains de la Banque de France des barres d'Or lui appartenant, rapatriées… au sec, à Francfort.

Conclusion Générale du jour : Je suis las des cancre(lat)s et de les entendre chaque jour travestir leur faillite en génie créateur, en employant des minettes dopées à la théorie keynésienne, reçues avec respect par leurs acolytes médiatiques aux ordres, pour hypnotiser les gogos télévisuels captifs, asservis et tondus.

dimanche 20 janvier 2013

Conduite gouvernementale forcée contre Nature :

Pour :
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CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 95


MERCREDI 16 JANVIER 2013


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

« Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué » ! ? Eh ! Bien… parce que « faire simple » nécessite une quantité énorme de travail, laquelle masque la complexité, ne laissant apparaître que le résultat clair, ce que Jean COCTEAU résuma de la manière suivante : « Le travail doit effacer le travail »... Les bénéficiaires de ce travail ne se rendent généralement pas compte de ce qu'il suppose… Par exemple, une littérature très « châtiée » par son auteur, très aboutie, donne au lecteur l'impression d'être intelligent car il comprend tout… sur le moment. Vous avez dit : illusion de l'intelligence ? Oui, en l'absence de travail personnel.

Les sportifs de très haut niveau, absolument uniques au monde, capables de soutenir durant 3 mois, nuit et jour, un effort titanesque de maîtrise des éléments « rugissants » et même « hurlants », qualifié cette semaine par Jean LE CAM, capitaine de « Synerciel », en course en solitaire du VENDEE-GLOBE, de « parcours du combattant » lequel additionne toutes les difficultés imaginables, ne suivent pas la route orthodromique, la plus simple. Pourquoi ? Parce qu'ils doivent utiliser les courants et les vents marins, rarement ordonnés suivant les Forces de Coriolis, dans le seul but de parvenir le plus vite possible au but, leur route ressemblent à des zigs-zags et jamais à une ligne droite… Bref, le plus simple, en apparence, pour les travailleurs n'est que très rarement leur intérêt, alors que la complexité, souvent difficile à comprendre en matière économique, apporte généralement richesse et plus-values. L'économie c'est la VIE elle-même, à la fois compliquée et très simple. Les milliards d'espèces et de variétés du VIVANT masquent une réalité : la « Loi de la dépendance » des espèces, entre elles. Aucune ne peut vivre sans manger les autres, nécessité impliquant obligatoirement complexité des apparences, des réalités, par multiplication des évolutions permanentes, en plus, sans pourtant rien changer à la simplicité du besoin.

En matière économique, le PEUPLE, depuis des milliers d'années, a toujours réclamé ce qui allait lui causer le plus de MAL sous prétexte souvent d'EGALITE, simplifiée à l'extrême, dans un « changement » rapide, avec les dirigeants, les « Riches », les « élites »… Chez les Egyptiens, le PEUPLE réclama donc le droit d'usage de la monnaie pour avoir les mêmes « droits » que les dirigeants. La monnaie, en Arabe se dit : « MAL ». Et c'est bien depuis plus de 3.000 ans, le MAL qui s'est répandu, dans les deux sens du terme. L'HISTOIRE nous sert de fil conducteur et nous aide à comprendre comment les peuples, depuis plus de 3 millénaires environ, sont prisonniers, pour leurs malheurs, dans :


 « TROIS CONDUITES FORCEES !… »


1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« 1ère conduite : La CONDUITE dépressionnaire !… »

Dans ma dernière chronique N°94, vous avez certainement remarqué que cet ouvrier de 1851-1871 qui gagnait 3 Sous la semaine, en gagnait donc par simple multiplication de ma part x 52 = 156 à l'année. Passons sur l'aspect monopolisation de la vie entière par le « temps de travail »… lequel ne laissait guère de place aux autres « temps » comme ceux des loisirs, de la famille, du repos, à l'exception des fêtes coutumières catholiques, doublées, par anticléricalisme, de « fêtes » républicaines… Bonus malsain, car dépressionnaire en quantité de travail, donc de production… Les dirigeants républicains, eux-mêmes, ont souvent dénoncé la multiplication des jours fériés comme explication à l'insuffisance de production, ou de productivité…

Le calcul coutumier procurait donc 156 Sous à l'ouvrier dans ce XIXème siècle dont Victor HUGO démontra dans ses ouvrages politiques (1) qu'il avait toutes les raisons d'être fier.

Les revendications populaires sont généralement contraires à l'intérêt véritable du Peuple ; en voici un exemple : si vous multipliez par 4 semaines (en moyenne) par mois, vous donnez mensuellement 4 x 3 Sous = 12 Sous le mois et donc x 12 mois = 144 Sous à l'année à l'ouvrier mensualisé, pour lui faire plaisir en lui donnant le même statut égalitaire qu'aux employés, eux mensualisés, et en lui laissant, en apparence, un bonus sous la forme de 4 semaines de congés supposés « payés ». Résultat, le « semainier » converti en « mensuel », ne gagne plus que 92,31% de son salaire antérieur et l'employeur fait ainsi une économie de près de 8% ! Voilà le « calcul » bourgeois par excellence. En répondant favorablement à une réclamation ouvrière portant sur la reconnaissance de son statut social, la bourgeoisie à fait une économie. Même si elle l'a dissimulé derrière un maintien momentané des 156 Sous annuels, la correction par l'inflation monétaire et des prix poussés à la hausse pour compenser les charges des entreprises aboutissant à une perte de pouvoir d'achat de ces 156 Sous revenant à celui de 144 Sous au bout d'un an, au pire ( pour la bourgeoisie ) en deux ou 3 ans…

C'est ainsi que le gouvernement, cédant en apparence à la pression populaire, aiguillonnée par les syndicats politisés et les partis dits « de gauche » revendiquant la mensualisation pour les couches ouvrières, soit-disant maltraitées socialement, a fait voter par les Parlementaires une loi, aussitôt promulguée par Le Président de la république en 1972-1973, obligeant à payer mensuellement les ouvriers et la majorité de la population travailleuse. Ce qu'on a appelé alors : la MENSUALISATION. Cette « réforme » n'apporta que des inconvénients : multiplication par 4 de la masse monétaire nécessaire ( ce que nous allons voir en ECO3 ), endettement de l'Etat auprès des banques de tous types y compris « centrales » indirectement ( ce que nous allons voir en ECO2 ), et baisse rapide du pouvoir d'achat des travailleurs. En effet, produire moins, aboutit forcément à la pauvreté. Ce fut la conduite forcée imposée par la Gauche triomphante de 1981 à 1986. Ce que le Peuple ne supporta pas provoquant une première « cohabitation » supposée, car uniquement politicienne.

En 2013, le gouvernement prétend accroître cette pauvreté à l'immédiat, en recherchant la seule croissance du PIB en valeur car destinée uniquement à lui faciliter l'endettement croissant de l'Etat, lequel refuse toute économie réelle des dépenses publiques donc recoure aux Prélèvements fiscaux en augmentations annuelles continues depuis 40 ans : 30 Milliards d'euros, un rien, cette année.

Citons :
http://www.latribune.fr/actualites/economie/20130111trib000742057/la-magistrale-lecon-d-economie-du-professeur-michel-rocard-sur-la-situation-de-la-france.html#xtor=EPR-2-[Morning+Briefing]-20130114

Cette recherche, Michel ROCARD, ancien 1er Ministre de Sa Majesté républicaine MITTERRAND, vient de la tuer d'un coup, le 10 Janvier : « …Vous dites qu'il faut : Faire de 2013 une année de croissance ?  Eh ! Bien, Je ne crois pas à la moindre croissance en 2013 » ! Il rappela le « constat de la part de la classe politique que certains rouages de l'économie française ne fonctionnent pas. Comme en témoignent la part croissante de faillites de ses PME, la baisse de la productivité horaire du travail, le mauvais état du commerce extérieur ou la perte de pouvoir vis-à-vis de l'Asie ».

Conclusion d'ECO 1 :
Bref, la recherche contrainte et forcée de la croissance du PIB au prix de la fabrication décennale de générations de nouveaux pauvres ne fait que démontrer le caractère dépressionnaire de la spirale enclenchée du tout-public, au détriment du tout-privé. Le tout-privé oblige tout le monde à produire réellement quelque chose tandis que le tout-public réduit la production réelle et donc le pouvoir d'achat réel des travailleurs, par leur trop grande proportion employée à ne produire que de moins en moins, relativement à leur trop grand nombre au frais d'une production réelle diminuant annuellement. Entre les apparences gratifiantes, sectaro-médiato-politiciennement entretenues et la réalité, il y a un cyclone ultra-dépressionnaire et ultra-violent.

1) « Napoléon le Petit » et « Histoire d'un crime ».


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :



« 2ème conduite : La CONDUITE BOUILLONNANTE !… »

C'est en plein au moment où les entreprises durent trouver auprès des banques 4 fois plus de monnaie le jour « J » des payes mensuelles que d'habitude pour les payes hebdomadaires, alors qu'elles devaient emprunter souvent pour ce faire aux banques, elles-mêmes peu ou pas refinancées alors par la Banque de France, que se produisit l'événement le plus terrible qui se soit jamais produit en matière monétaire. Ce fut une valse à 3 temps : 1971-1973-1976… 1971 : dévaluation du dollar US de 100% de 35 à 70 $US l'Once ; 1973 : fin du paiement en or de la réserve Fédérale des dollars présentés au paiement par les Banques Centrales créancières comme le fit en dernier lieu la banque de France ; 1976 : Institutionnalisation du flottement des changes et donc disparition de toutes les parités fixes entre monnaies occidentales, dominant le monde d'alors. Ce fut le commencement du bouillonnement monétaire, de la consommation du bouillon infernal, le début du BOUILLON pour les économies…

Citons à nouveau :
http://www.latribune.fr/actualites/economie/20130111trib000742057/la-magistrale-lecon-d-economie-du-professeur-michel-rocard-sur-la-situation-de-la-france.html#xtor=EPR-2-[Morning+Briefing]-20130114

« Août 1971 est la date qui fait entrer notre monde dans le désordre financier international », tranche Michel Rocard devant son auditoire de 500 professionnels de l'immobilier. Cette date, selon lui, « a marqué le passage d'un système de changes fixe instauré avec les accords de Bretton Woods en 1944, à un système de changes flottants ». Et ajoute-t-il : « … La mise en place d'un tel système de changes a engendré le développement de l'ingénierie financière laquelle se matérialisa, en premier lieu, par la création de produits dérivés censés assurer les évolutions malvenues de prix sur les marchés financiers (2)… S'en est suivie une multitude d'innovations qui ont dicté l'évolution de la finance jusqu'au désastre que l'on a connu en 2008 (3).

C'est bien pourquoi, moi, Conseiller Financier, surtout de la Haute Banque, j'ai toujours refusé de guider les gens vers ces produits aux dérivations scabreuses et en multiplications exponentielles. J'ai donc démissionné avec pertes pour moi et fracas prévus pour ceux qui acceptaient : professionnels comme clients, de s'engager dans ces voies aux périls masqués sous de mirifiques prévisions de bénéfices… en monnaies de singes !

C'est donc sur des refinancements fictifs, aux habillages magiques, que tous les crédits bancaires furent donc consentis aux entreprises et, plus grave encore, aux acquéreurs de biens immobiliers dont les prix furent lancés sur une orbite inflationniste circum-galactique ! Revoir à ce sujet le livre, dont jamais nous ne pourrons nous lasser, de François GILLES, ancien Sous-Directeur général, à propos de la sinistre affaire du Crédit Lyonnais…

Conclusion d'ECO 2 : La faillite potentielle des banques, cartellisées en violation du Code Civil, avec la complicité de l'impécunieux Etat français républicain, fut, dès 1973-1976 gravée dans le marbre de la réalité et de manière immorale, et même amorale, masquée par les décrets de LA République maçonnique. Vous comprenez mieux maintenant pourquoi CHIRAC a déclaré : « Nulle moralité ne doit passer par-dessus les Lois de LA République » ! Et pourquoi un être immoral, incapable, de notoriété publique, de s'engager dans le mariage, juge cyniquement sans aucun intérêt l'attachement du Peuple pour cette Institution… morale, d'essence Naturelle et Divine. Laissons-le faire : il détruit lui-même le régime politique en même temps que son « mariage civil » inventé par la Révolution. Et réfugions donc le Peuple dans le Mariage–Sacrement divin consigné dans le Livret de Famille Catholique qui restera en février 2013, le seul valable. Comme quoi, chassez, Messieurs les Adeptes de Satan la moralité et elle revient au galop par vos propres fautes. C'est ce qui va arriver aussi en matière financière avec la fin d'ici 2016 de la Corne d'Abondance monétaire artificielle.


2) Sous-entendu les hausses de prix ultra-spéculatives et non payables par l'économie productive, dans l'immobilier, secteur le plus gros consommateur de quantités monétaires…
3) Fin annoncée du crédit bancaire avec 3 ans d'avance avec menace de « crise » économique aussitôt expliquée comme d'actualité immédiate par tous les « médias » aux ordres des … banques. Je dénonçai alors cette manipulation. Cf. : mes chroniques précédentes.


3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :


ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« 3ème conduite : Le CONDUITE INFLATIONNISTE !… »

A'u bout de la tuyauterie, l'obligation de la BCN de mettre de plus en plus souvent toujours plus de monnaie en circulation pour payer les spéculateurs mais surtout les besoins étatiques depuis les guerres napoléoniennes engendrées par la révolution elle-même subventionnée d'abord par l'Angleterre puis par l'Allemagne d'Otto VON BISMARCK, tous deux irresponsables apprentis-sorciers, avec pour seul objectif de ruiner l'Empire français comme la colonie qui avait eu l'outrecuidance d'obtenir son indépendance avec le concours de la même grande responsable… Les guerres à répétitions depuis 220 ans, devenues mondiales ont ruiné la monnaie, comme nous l'enseigne déjà Saluste à propos de la fameuse guerre contre DJUGURTA et tant d'autres depuis des millénaires…

Le malheur est que l'invention de la monnaie-papier valant reconnaissance de dette BCN puis de la monnaie scripturale bancaire privée et commerciale permit de mettre en circulation 4 fois plus de monnaie qu'avant en un temps très court de quelques années depuis 1976, 1986… et depuis 2008 de la monnaie-comptable inexistante et sans contrepartie économique aucune grâce à des règles érigeant la banqueroute en méthode de financement. Ce sont ces règles-là qui sont historiquement complètement nouvelles.

Citons encore :
http://www.latribune.fr/actualites/economie/20130111trib000742057/la-magistrale-lecon-d-economie-du-professeur-michel-rocard-sur-la-situation-de-la-france.html#xtor=EPR-2-[Morning+Briefing]-20130114

Michel ROCARD n'oublie pas d'alerter sur les « 750 trillions de dollars de liquidités spéculati-ves encore présents sur le marché qui sont sans contrepartie valide » : 750.000 Milliards de faux dollars US en circulation ! Plus 59.000 Milliards de dettes publiques mondiales additionnées en 2011 !… Soit 93% spéculatives !

Le total est si énorme, et surtout, si totalement disproportionné des possibilités de la Terre à tout jamais, que la garantie de pouvoir d'achat de tous ces « dollars » est dores et déjà connue : NULLE ! Ce ne sont que grains de sables aux fonds des Océans, dans les déserts, et sur les plages…

Conclusion d'ECO 3 : Le cycle dépressionnaire enclenché par les guerres, l'irresponsabilité politique de deux grands Pays gouvernés par des malfaisants, la destruction du modèle français, a donc généré une masse monétaire sans aucune valeur et que les Peuples ne peuvent que rejeter prochainement, sans doute en guillotinnant les usuriers, les spéculateurs et les banquiers, et cela va se produire vite, je pense d'ici 2016 ?  Car le système est programmé pour s'effondrer d'un coup, d'une heure sur l'autre, entre 2014 et 2016.


Conclusion Générale du jour : Le Cycle dépressionnaire enclenché par des revendications populaires stupides entretenues par la haine étrangère contre la France, avec pour conséquence la généralisation de la pauvreté au plan mondial, l'incitation aux guerres multiples, le bouillonnement imaginatif des banqueroutiers professionnels ultra-spoliateur du Peuple, et l'affolement des banquiers centraux disqualifiant chaque mois davantage leurs monnaies, tout cela ne peut conduire qu'au Salut du Peuple par le rejet de tous ces fous-cinglés, de leurs tambouilles sectaires infectes, et donc le retour à une économie humaine saine basée uniquement sur le TRAVAIL productif vrai, avec pour UNITE oubliée à l'usage retrouvé : l'Heure de travail productif, sur une échelle des valeurs simple et dignement constatée officiellement. Tout doit être ramené en pouvoir d'achat horaire de travail comme le conseillait encore le B.I.T (Bureau International du Travail) dans les années soixante.

jeudi 3 janvier 2013

De la PAIX à la GUERRE, il n'y a qu'un chemin : la GALERIE des GLACES !

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- http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori
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CHRONIQUE ECONOMIQUE « FINANCES – VERITES »
N° 94


MERCREDI 2 JANVIER 2013


Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Tandis que nous assistons quotidiennement à la croissance ex-nihilo, toujours surprenante par sa rapidité et ses conséquences meurtrières, similaire à celle d'un cumulonimbus en phase congestus au milieu du ciel bleu profond de PHOENIX (Arizona), des prix pratiqués partout par l'oligarchie restauratrice, commerçante, financière, fiscale (1) et mensuellement aux efforts illégaux (2), et foncièrement illégitimes du gouvernement maçonnique pour tenter de voler la totalité de leurs revenus aux riches à 85 % (3) et aux pauvres à 120% (4), le « moral des Français » baisse au-dessous de la ligne de flottaison selon les sondages. Tout du moins chez les « producteurs » car, chez les fonctionnaires, c'est plutôt la crainte de se voir remis dans le « DROIT COMMUN » qui les effraye… Avec en plus le « MUR BUDGETAIRE », modèle américain, impliquant le licenciement immédiat de 90% des susdits au premier signe de rébellion des affiliés de la Secte Noire qui peuplent le « Parlement » dès qu'ils se souviennent qu'ils sont, quand même, aussi, des « élus » du peuple.

C'est ainsi que nous assistons à l'oppression de la caste des producteurs par celle des « Intouchables », pratiquée à l'abri d'un brouillard, épaississant quotidiennement, de centaines de milliers d'articles de lois. Pour ne pas s'aliéner la finance bancaire, l'Etat, gouverné par l'élite des « Intouchables », oblige les ménages à payer 20% d'agios sur les taxes prélevées par lui, aux banques reconnaissantes. Seulement voilà, les banques se refinancant à la BCE, insolvable, les Etats de l'Eurozone disputent le rôle de monnaie de réserve au YUAN, au YEN, à la LIVRE, au Dollar US et à tous les autres. Statut qui leur permettrait de ne jamais payer, suivant en cela le mauvais exemple américain dénoncé dès 1965.

Bref, nous filons dans le TGV de l'escroquerie généralisée vers une guerre froide des monnaies qui ne peut que devenir « chaude » entre ETATS à la première étincelle. La bombe atomique anti-monétaire sera bien plus meurtrière, en final, que la bombe atomique, même mégatonnique, de la « guerre froide ». Le titre de ma chronique de ce début d'année noire ne peut donc être que :


 « OPPRESSION => ESCROQUERIE => GUERRE !… »

1) Liste non exhaustive…
2) Censure du Conseil Constitutionnel sur les 75% individuels.
3) Lettre ouverte de G. DEPARDIEU…
4) Témoignage personnel !



1) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE GENERALE : ECO 1 :


« L'OPPRESSION à 29.280 Sous !… »

La politique de la marche forcée vers l'état totalitaire, de l'économique comme du social, affiche chaque jour davantage sa couleur, par exemple, avec la confirmation de la décision SARKO-FILLON par HOLLANDE-AYRAULT d'obliger les travailleurs des 33 régimes de retraites français à ne partir en retraite qu'à 62 ans au moins et automatiquement à taux dit « plein » à… 67 ans. Date confirmée d'entrée en vigueur de la « mise au pas » cadencé de 62 millions de Français plus les étrangers : 2017, après une période transitoire faisant progresser l'alignement arithmétique des têtes par paquets de quelques centaines de milliers, tous les 4 mois.

Tandis que l'alignement des têtes s'effectue ainsi, paraît-il « en douceur », laissant apercevoir un revenu en retraite encore inférieur, en moyenne, à celui de 2012… dans cinq ans, la hausse des prix pratiquée allègrement au pas également cadencé, mais accéléré sur une échelle logarithmique, porte actuellement la soupe de poisson, d'un litre, de notre ami le poissonnier, avant-dernier maillon de la chaîne dont je suis le dernier, celui qui doit tout payer, à… 5 euros. En augmentation de 25% sur l'année dernière où elle affichait 4 euros, dit-il : « depuis 25 ans ». Confirmation : 25 FF il y a 25 ans s'évaluent à 3,81 € depuis 1999… Ne chipotons pas. Il y a 25 ans, il m'affirma gagner largement sa vie avec, alors qu'en 2012, il commence à perdre des sous en en fabriquant encore au même prix, d'où l'augmentation forcée, à regrets me dit-il… à 5 euros, du fait des charges sociales et autres frais incompressibles et indépendants de sa volonté.

C'est alors que je lui fis remarquer que :
… 5 euros c'est aussi 33 FF, donc à 20 sous le Franc (5) : 660 sous la soupe. Donc, à raison d'une soupe de poisson consommée chaque Vendredi, en bon Chrétien, donc une fois seulement par semaine, cela provoque une dépense de consommation de 4 soupes de poisson par mois soit de… 2.440 sous ! Et par an de… 29.280 sous !

Dûment informé par moi que vers la fin du XIXème siècle, un ouvrier percevait un salaire de l'ordre de 3 sous la semaine donc de 52 x 3 = 156 sous par an, sans vacances, cela mettait la consommation de sa soupe de poisson, au demeurant à se mettre à genoux devant, tellement elle est sublime, à… 188 revenus annuels ouvriers. C'est aussi une dévaluation du pouvoir d'achat de l'ordre de 9.954 pour mille (6) si l'on considère que la soupe de poisson ne devait représenter que 1/10ème des dépenses ouvrières : autres nourritures, vêtements, enfants, femme sans revenu monétaire, limitées toutes à la pauvreté connue.

Conclusion d'ECO 1 : Bref, toute hausse des prix, sans doute justifiée par la croissance longtemps entretenue, et exponentielle depuis Juillet 2012, des Prélèvements Obligatoires étatiques et para-étatiques, se comprend, dans le même moment, comme une dévaluation du pouvoir d'achat de la monnaie, préalablement reçue en revenus, ou cession d'actifs. Ce qui impose de poser la question de la qualité de la monnaie imposée par ce même Etat qui joue avec… Envers laquelle la défiance est donc la règle ! La fameuse course en cercle vicieux entre prix et revenus est donc enclenchée et totalitairement bridée par l'encadrement des revenus seuls via le SMIC, par l'indice des Prix de l'INSEE archi manipulé par l'Etat pour la limiter officiellement à… rien, quand elle est énorme. L'Etat est donc en train de priver les gens de nourriture et de chauffage, de logement et d'emploi, sans aucun scrupule. Comment voulez-vous que l'ouvrier de 1870 paye sa seule soupe hebdomadaire annuellement au prix de 188 salaires totaux ! ? Et en plus qu'il travaille ! ? Comment peut-on imaginer vu de l'Elysée que le retraité de 2012 à 725 euros mensuels puisse encore payer 20 euros de soupe sur 4 vendredis ! ? Autrement dit à deux repas par jour à 10 euros : 310 € de soupes quand il lui faut déjà payer annuellement 128 euros de taxe sur les ordures ménagères, 131 euros de taxe audiovisuelle, 730 euros de taxe d'habitation, plus… 396 euros d'impôts IRPP et 1.500 euros de TVA, TIPP et autres… Comment voulez-vous qu'il s'habille ? Il va, tout nu, bientôt montrer sa pauvreté dans la rue, le retraité !

5) Lien ancestral du Franc avec le Sou. La pièce de 5 Francs était réputée aussi par mes grand-Parents comme pièce de 100 sous … Voir « mon histoire de la monnaie » incluse dans mes chroniques N°1 à 31.
6) 1/188 = 0,005 donc moins 995,4/1000 que redivise 10 = 9954/1000.


2) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE FINANCIERE : ECO 2 :


« La Guerre vicieuse à 20 % + TAXES contre l'Epargne !… »

Tandis que la SNCF envisagerait de « titriser », même si cela ne me semble pas le terme approprié compte tenu de l'opération, 7 ans d'avance de subventions d'ETAT attendues via le seul STIF (7), afin d'en disposer de suite pour boucher partiellement quelques trous magistraux, autrement dit envisage de tirer un plan sur la comète d'autant plus nuageux que l'Etat devra emprunter les sommes requises à des banques exsangues, elles-mêmes refinancées à court terme par la BCE qui n'a pas, pour ce faire, le premier dollar, le « CON-TRIBUABLE à MERCY » doit déjà emprunter à 19,71%, disons 20% pour arrondir, les sommes nécessaires pour payer lesdits emprunts, à ces mêmes banques à tout faire…

Car de nos jours les pauvres doivent emprunter à nouveau pour rembourser ce que l'Etat a déjà emprunté, lequel fait donc un transfert de ses dettes chez les pauvres. Et ceci depuis 1959 ! Avec une accélération logarithmique depuis 1986… Même si les riches se plaignent, à juste titre, d'être privé de leur richesse à 85%, comme le claironne le tonitruant Gérard DEPARDIEU avec raison, les pauvres eux, son privés de leurs maigres revenus à raison de... 100 + 20 = 120 % ! Bref, ils creusent leurs tombes tous les jours…

Conclusion d'ECO 2 : La faillite de l'Etat se transmet donc aux ménages, riches et pauvres, lequel est malvenu ensuite de reprocher, et sur quel ton, via ses tribunaux, aux dits ménages leur surendettement induit.

7) Syndicat des Transports d'Ile de France (STIF).

3) Dans l' ACTUALITE ECONOMIQUE MONETAIRE : ECO 3 :


ERRARE HUMANUM EST, PERSEVERARE DIABOLICUM

« La GUERRE entre ESCROCS est déclarée !… »

C'est au lien ci-dessous que l'aveu arrive : bête, irresponsable, lâche, de la base de raisonnement sur laquelle tout le drame en cours de développement laisse prévoir à coup sûr, des conflits terribles :

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20121226trib000739400/les-banques-centrales-ultime-recours-pour-promouvoir-la-croissance.html#xtor=EPR-2-[Morning+Briefing]-20121227

Extrait :

« Dans le même ordre d'idées, les critiques - souvent violentes - à l'encontre de la Réserve fédérale américaine sont malvenues et exaspérantes. Comment accuser en effet cet établissement de contribuer à la distorsion des conditions économiques et financières à travers ses multiples programmes de création monétaire, alors que les marchés, et la conjoncture, sont eux-mêmes si troublés ? Il est temps de se rendre compte que notre monde actuel n'est rien moins que dans une trappe de liquidités car il est devenu strictement impossible de résorber le chômage en réduisant des taux d'intérêts... lesquels sont déjà au niveau zéro. Dans de telles conditions extrêmes, le devoir de la Fed - comme de toute autre banque centrale - est de corriger ces distorsions avec un objectif prioritaire : le rétablissement de l'emploi. Seule son action dans le sens d'une augmentation des attentes inflationnistes contribuera de manière décisive à faire baisser le taux d'intérêt « réel » quand le taux nominal, lui, se retrouve au plancher. La posture la plus risquée - et certainement la moins responsable et la moins digne d'une banque centrale - étant de ne rien faire, la Fed (comme la BCE dans un monde idéal) doit donc se lancer dans des achats d'actifs afin d'éviter la liquéfaction de son économie et de juguler le chômage.

Voilà pourquoi la seule approche qui motive, en temps de crise, les entreprises de mettre leurs liquidités à la disposition de l'économie réelle et au profit d'investissements d'avenir est dans les mains de leur banque centrale.

*Michel Santi est un économiste franco-suisse qui conseille des banques centrales de pays émergents. Il est membre du World Economic Forum, de l'IFRI et est membre fondateur de l'O.N.G. « Finance Watch ». Il est aussi l'auteur de l'ouvrage "Splendeurs et misères du libéralisme" ». Tous ses titres expliquent sa position…

Vous constatez, comme moi, le fondement keynésien du « devoir » prêté par lui aux Banques Centrales encore dites « Nationales » (BCN). Eh ! Bien, NON, les BCN n'ont jamais eu à se soucier de quoi que ce soit d'autre que la qualité de la MONNAIE qu'elles mettent en circulation. Si plus de monnaie est réclamée par certains groupes factieux, et que la BCN ne puisse les satisfaire, même une demande justifiée de l'économie, notamment pour des causes d'expansion démographiques, qu'au prix d'une dévaluation de la monnaie, elle ne doit pas céder. Je rappelle que pour avoir été contraint et forcé, avec le même raisonnement, à dévaluer la qualité des pièces d'Argent de 8,5% seulement, le Roi, fils de PHILIPPE IV « LE BEL » a été amené à sacrifier injustement son Ministre des Finances absolument intègre : ANGUERRAND de MARIGNY ! Il serait certainement horrifié de voir la monnaie en circulation actuellement et les procédures de QE à répétitions suivies par les BCN…

C'est si vrai que Capital.fr titrait le 24 DEC, sourcé sur REUTERS : « Le SPECTRE d'une GUERRE des DEVISES plane sur 2013 » ! Ajoutant en sous-titre : « La GUERRE des MONNAIES… pourrait-elle se transformer en GUERRE OUVERTE ENTRE ETATS » ! ? Dans son commentaire d'Introduction, il prend le contre-pied de la thèse keynésienne soutenue par Michel SANTI : Alors que « … La Banque du Japon décide de donner un coup d'accélérateur à son programme d'assouplissement quantitatif pour la 3ème fois en 4 mois, le dernier en date des BCN occidentales pour soutenir leur croissance, en recourant à des outils non conventionnels » . Notez « qu'en termes galants ces choses-là sont dites » ! Et poursuit : « Les ETATS émergents pourraient avoir à payer le prix de cette politique monétaire ultra accomodante » ! Dans ces conditions il était superflu d'ajouter : « … nous assistons actuellement à une course à la dévaluation » comme croit devoir le préciser un Pays membre du G7… C'est le ministre chilien Felipe LARRAIN qui estimait entre le 17 et le 24 DEC dernier « que la décision de la FED ( NDLR : et des autres ) de prendre des mesures d'assouplissement monétaire encore plus agressives, pouvait légitimement inquiéter les Pays émergents, eux dotés d'une croissance solide et d'un taux de change flottant » ! Sous-entendu, leurs monnaies seront poussées à la hausse relativement à la dévaluation des monnaies jusque-là réputées fortes et donc leurs exportations contrariées…

Alors que l'on discerne immédiatement la volonté dévaluatrice du côté des débiteurs douteux, elle apparaît plus destinée à nuire aux Pays travailleurs, producteurs et exportateurs, dits « émergents », en croissance économique réelle, plutôt qu'à tenter classiquement de faire repartir les exportations des Pays occidentaux et à ralentir leurs importations. Ceci est dailleurs confirmé par l'exemple anglais qui montre que : « … Depuis que la Banque d'Angleterre a entamé une politique d'assouplissement monétaire et vu dévaluer sa monnaie de –25%, le déficit commercial du Pays n'a pourtant pas cessé de se creuser à 8,9 Milliards de £g par mois en 2012 contre 8,4 Mds £g par mois en 2011, en moyennes. Ce qui fait que les Pays occidentaux commencent à (re) découvrir que le taux de change n'est que l'un des deux facteurs seulement, déterminants la compétitivité des exportations d'un Pays ». L'autre étant le prix de revient de la production et sa sous-composante essentielle : les charges publiques imposées, complétées des rigidités structurelles du marché de l'emploi dues à une légalité d'obédience sectaro-judéo-marxiste.

Conclusion d'ECO 3 : Bref, entre « les tensions gérables » (Capital.fr) et celles, beaucoup plus massives qui ne le sont plus, lesquelles déportent les masses monétaires vers des explosions mégatonniques, c'est à qui, de ces escrocs étatiques, imposera sa fausse monnaie « nationale » au troupeau de moutons mondial ! Plaçant des complices aux postes de commandes internes du concurrent pour lui faire accepter SA fausse monnaie, en paiement d'abord, puis en réserve de change ensuite ! Une telle guerre des monnaies ne peut, dans ces conditions que déboucher sur une guerre mondiale ultra-chaude dans les années à venir, quand la pauvreté des Peuples leur sera devenue invivable !


Conclusion Générale du jour : Le maintien des trains de vies exorbitants des Etats totalitaires, dont la France occupe l'une des trois premières places mondiales, impose aux Peuples asservis des charges impayables que le transfert momentané, depuis 26 ans, sur l'appel au crédit bancaire, ne pourra bientôt plus camoufler. L'asservissement totalitaire socialo-communiste et sa composante keynésienne économico-financière, à la base de l'idéologie imposée, appauvrit les Peuples à une vitesse devenue exponentielle depuis 1986. La satisfaction des besoins de financements de ces Etats, en banqueroutes frauduleuses, emporte leurs Banques Centrales du salon de la PAIX à celui de la GUERRE en leur faisant, en ce moment, traverser la GALERIE des GLACES de VERSAILLES. LOUIS XIV, par cette réalisation magistrale, au but alors essentiellement diplomatique, nous a pourtant légué la vision supérieure de cette réalité éternelle imposée par « la LOI d'AIRAIN des NATIONS » redécouverte, comme l'eau chaude, par un DE GAULLE sidéré de sa présence à la tête de l'Etat le plus civilisé du monde, qu'il a pourtant livré « pieds et poings liés » au communisme.